Tout est dans le titre :3 Je vais traduire ledit jeu en essayant d'être le plus proche possible des vrais dialogues et textes. Et j'ajouterais des illustrations et parfois des bonus (genre les cartes postales ou les mini histoires).
Ensuite, petit m...
Nous venons donc d'entrer dans la bibliothèque après avoir vu Portia ouvrir les 12 serrures. (partie qui m'a pris 2:00 a traduire lol) Continuons ! -
Il y a des livres partout. Dans les étagères qui s'étendent vers le plafond. La comtesse nous attendait, assise sur une chaise inclinable. (comme une rocking chair je suppose) Ses yeux ont brillé d'approbation quand elle m'a aperçu.
Nadia : Hannah. Tu as l'air radieuse.
Elle a fait un geste vers les imposantes étagères autour de nous.
Nadia : Lis tu ?
J'ai acquiescé. La comtesse modéra sa surprise.
Nadia : Ah. Sans doutes pensais-je que tu ne le faisait pas. C'est un beau cadeau, de lire. D'où je viens, c'est un signe de partage entre tous les citoyens. Mais c'est tristement peu commun ici. Par ici, je t'en prie.
Elle me conduisit plus profondément dans la bibliothèque. Portia nous suivait en jonglant avec ses clés. Je ne peux pas décrocher mon regard de tous ces livres. Mes doigts me démangeaient, j'avais envie de les laisser courir sur le dessus des livres, mais j'ai résisté a la tentation.
Nadia : Hannah... Tu es mon invitée. Si tu dois revenir ici, tu n'as qu'a demander. Mais pour le moment...
La comtesse se stoppa devant un trou, niché entre deux étagères.
Nadia : ... Je voudrais toute ton attention là dessus.
Un bureau se tenait dans un mince rayon de lumière, projeté depuis la petite fenêtre. Des livres, des journaux, et des parchemins couvraient chaque millimètre de la table. Malgré le désordre, tout était minutieusement organisé. C'était le bureau de quelqu'un, préservé du temps.
Nadia : C'était le bureau du docteur Devorak. Il travaillait au palais, comme ton maître Asra. Nous les avons appelés pour créer une cure a la peste.
Mon sang se glaça. La peste rouge, comme elle s'appelait, avait envahit toute la ville comme un feu de forêt. Elle emportait les jeunes et les vieux, les frêles et les forts. Il n'y avait aucun moyen de savoir qui mourra. Les cas sont rares, maintenant. Je ne me souviens pas de la dernière fois où j'ai vu cette teinte de rouge dans les yeux de quelqu'un.
Nadia : Les physiciens, les scientifiques, les alchimistes, les voyants, les magiciens... Ils étaient tous invités, dans l'espoir que nos ressources puissent les aider dans leurs recherches. Peut-être qu'il complotait déjà a cette heure-ci... Mais Devorak a accepté notre invitation. Tout comme ton maître Asra.
Son regard s'est dirigé vers la fenêtre. Elle donnait vers un énorme saule, penché vers une fontaine dans le jardin derrière.
Nadia : J'ai laborieusement demander a examiner le bureau et son contenu. Rien d'important ne fut trouvé. Mais peut-être en feras tu un meilleur usage. C'est la meilleure piste que je puisse t'offrir.
Elle partit, laissant derrière elle un parfum de jasmin.
Nadia : Les recherches du docteur Devorak sont entre tes mains. Procède comme tu le voudras. Je demande seulement a ce que tu vienne pour le dîner.
Elle sourit sereinement et s'est éclipsée, Portia sur ses talons. Je suis désormais seule avec le bureau du docteur.
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