Naruto : Un monde parallèle au mien [Kiba]

Chapitre 4 : Cupidon égal observation

- Cupidon ? dit-il en rigolant. Pas besoin !

- Ah non ? Certain ? lui demandé-je

Il me regarde dans les yeux, n'osant pas répondre.

- Vois-tu, même si tu n'en a pas de besoin, peut-être voudras-tu mon aide ?

Il ne dévie pas du regard, il me fixe toujours.

- Alors ? proposé-je.

- Si tu insistes, finit-il par dire.

- Tu vas voir, on va bien s'amuser, lancé-je avec un clin d'œil

...

J'observe mon calepin en prenant soin de bien analyser les informations qui s'y trouvent. 

- Tu as dit qu'elle a quelques amis, mais qu'elles ne va que rarement les voir... Ce qui ne m'étonne pas.

- Hein ? Pourquoi ? me demande-t-il.

- Parce qu'elle est timide et n'a pas l'air du genre à vouloir s'imposer. 

- Comment tu sais ça ? Tu ne la connais même pas !

Je lui lance un sourire joueur.

- Je te rappelle que je suis cupidon ! J'ai un sens de l'observation qui surpasse la norme !

Il semble septique.

- Lorsqu'elle est venue plus tôt, j'ai pu observer sa démarche. De plus, elle avait l'air mal à l'aise de me parler, moi qu'elle ne connaissait pas. Aussi, sachant que tu revenais à peine de ton opération et que tu devais te reposer, elle a décidé de partir, d'où le : elle n'a pas l'air du genre à vouloir s'imposer.

Il inspire puis expire.

- Je dois l'admettre, tu as un bon sens de l'observation. 

Je lui lance le plus beau de mes sourires puis me tourne de nouveau vers mon calepin. Le cercle d'amis de cette fille semble fourni sans pour autant être très proche. Sa famille semble dans la même situation aussi si je me fit à ce que Kiba me raconte. En plus, son caractère timide n'aidera pas forcément.

Ça devrait être assez simple. Cependant, je dois rester clouée à ce lit d'hôpital pour un moment encore, ce qui limite grandement mes actions possibles.

Il va falloir que je tire quelques ficelles et que je fasse preuve de créativité.

- Tu vas voir, tu vas trouver l'amour, lui dis-je avec un grand sourire encore une fois.