Pokémon Épée/Bouclier OS

Le mot- Alistair x Reader

JE SUIS CONFUSE
Alors ouuuui je croule sous les commandes et je met 400 ans à écrire mais je les réalisent quand même! Hehe
Bien que je manque d'inspiration, les chapitres risquent de prendre du temps à sortir.. du coup voila un tit Alistair x Reader
-> ils sont adolescents, genre 15, 16 ans
Voilà pour le contexte Héhé bonne lecture!

Commandé par @RainRainColor

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Le bruit de la craie qui s'entrechoque avec le tableau résonnait dans la salle de classe.
Personne ne parlait et l'attente de la pause était insoutenable pour les jeunes lycéens. Alors qu'elle observait la fenêtre, [T/p] s'apaisait. Les rayons de l'astre solaire lui caressait la peau et cette douce chaleur remplissait la pièce d'une aura agréable. Appuyant sa tête dans la paume de sa main, elle admirait la journée estivale qui animait Old Chister. Les banderoles colorés dansaient au rythme de la brise et leurs mouvements hypnotisants fit somnoler [T/p]. Bercée par cette atmosphère délicate, elle était sur le point de tomber dans les bras de Crécelia quand une main effleura une mèche de ses cheveux [c/c]. Sans tourner la tête, elle vit du coin de l'œil son voisin de table plisser ses yeux de contentement. Sans pour autant se l'avouer, ce contact la fit frissonner jusqu'au os et ses pommettes prirent une couleur carmin.
Le voisin enlevait sa main de son espace personnel pour se remettre à écrire un mot sur un bout de papier préalablement déchiré. Attisant sa curiosité, [T/p] pencha légèrement la tête vers le jeune brun et l'observa plus amplement. Ses masques habituellement sinistres et ses joues rondes d'antan avaient fait place à un visage bien plus masculin. Sa mâchoire semblait sculpté dans le marbre et ses cheveux désordonnés gribouillait harmonieusement le visage du jeune homme. Ses pupilles animés par la passion des pokemon obscurs brillaient de milles feux et ses long cils adoucissait l'ardeur de ses derniers . Alistair dévoilait bien plus souvent son visage désormais adulte, pour le plus grand bonheur de la gente féminine. Bien que réservé et peu expressif, il était devenu en l'espace de quelques années la figure masculine la plus populaire de son lycée.
Se sentant observé, il leva les yeux et vis la curieuse [T/p] s'approcher de son bureau. Pris au dépourvu il cacha vivement son mot sous sa main et lança son plus beau sourire.
Malgré sa tentative de simplement lire le petit morceau de papier, elle voulu plus en découdre et attrapait la main de l'adolescent. Profitant de son moment d'inattention, elle fit glisser le mot dans sa main et y vit un gribouillage qui semblait être un mot.
Malgré son aspect soigné, Alistair n'avait rien à envier au écriture de médecin qu'il imitait à la perfection malgré lui. Chaque lettres faisais la taille d'une patte de mouche et la jeune femme du plisser les yeux pour essayer d'y déchiffrer le sens. Comprenant la situation, le jeune homme gloussa doucement avant de reprendre son mot, effleurant consciemment les doigts efféminées de [T/p].

« Si tu devine ce qu'il y a d'écrit, je te promet une surprise... » murmura le brun

Interdite, elle repris le bout de papier, le logea sur sa table et l'inspecta plus amplement.
Cela faisais plus d'une décennie qu'ils se connaissaient, et [T/p] avait toujours eu du mal à déchiffrer les mots de son voisin. Elle se concentra sur chaque tache d'encre qu'il lui semblait être des hiéroglyphes tant ils étaient indescriptibles. La voix du professeur en fond devint feutré pour la jeune femme et plus rien n'avait plus d'importance au monde que son bout de papier. Elle cru reconnaître une lettre et au moment où elle assimila cette information, elle prit une teinte rouge sur tout le corps.
En voyant sa réaction, Alistair se dit qu'il ne pouvait plus revenir en arrière et qu'elle avait compris le message. Ses mains humides tremblaient légèrement alors que [T/p] observait méticuleusement le mot. Il regardait alors à la fenêtre et ne pu s'empêcher d'observer la réflexion de la lumière à travers la fenêtre. Le faisceaux de lumière et le vent soulevait du grain et ce spectacle apaisa quelque peu le jeune homme angoissé. A ce même moment, le clairon sonna et indiqua la fin des cours. Les élèves se levèrent tous en même temps et le bruit assourdissant que se créait dans la salle emplit le jeune homme d'une énergie qu'il ne connaissait pas.
La jeune femme à côté de lui se leva en détournant le regard du sien. Il sentait une goute lui perle le long du front et il appuya son regard sur la porte de sorti au moment où il sentit une fine main se poser sur son épaule. Terrorisé, il ne fit aucun geste mais il entendit simplement dans un souffle presque inaudible

« Moi aussi je t'aime. »

Ses yeux s'écarquillaient et ses joues prirent une teinte rouge. Avant qu'il ne réponde quoi que ce soit, la jeune femme l'embrassa furtivement au coin de la bouche et s'en alla en pressant le pas. Sonné par ce qui venait de se passer, il posa ses doigts à l'endroit où avaient atterris ses douces lèvres qu'il aimait tant. Il prit son mot et étira un long sourire. Bien sûr qu'il était amoureux d'elle, cependant il n'avait aucunement fait référence à son amour dans ce mot. L'incompréhension de [T/p] remplit le coeur d'Alistair d'une chaleur certaine et se dit qu'il continuerait d'avoir une écriture peu significative toute sa vie.