Les archives!

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Fred l'emmena dans les archives, où il avait installer un canapé auparavant. Alice intrigué par l'initiative de son homme, elle le suivit et était surprise de constater qu'il l'emmenait dans les archives.
- Pourquoi tu m'emmène dans les archives Fred?(demanda Alice surprise)
- C'est ça la surprise (dit Fred en ouvrant la porte)
Il poussa délicatement Alice dedans et referma la porte derrière lui sans oublié de faire deux tour de clé pour ne pas qu'il soit déranger. Alice est étonné de voir un canapé dans les archives. Elle allait lui demandé mais elle fut coupé par des bras suite l'enlaçait autour de sa taille. Elle se retourna pour regarder Fred dans les yeux.
- Ça te plait? ( demanda Fred)
- C'est très jolie mais je comprends pas.
- Y a rien a comprendre Alice. Tu n'as qu'à te laissé faire.
Après la fin de sa phrase, Fred se mit à l'embrasser amoureusement et langoureusement. Il porta Alice et la posa sur ke canapé tout en continuant à l'embrasser. Il commença à l'embrasser dans le cou. Il déboutonna le chemisier de sa juge. Elle était un peu gêné de faire sa à la crime mais quand Fred déboutonna son chemisier, elle n'y prêtait plus attention et fit de même avec la chemise de Fred. Tout en l'embrassant, Fred déboutonna le pantalon d'Alice et Alice celui de Fred. Chacun enlevèrent leur pantalon. Il ne leur rester plus leurs sous-vêtements, Fred décrocha le soutien-gorge d'Alice. Puis le reste de leurs sous-vêtements vola dans la pièce. La suite suivi. Leur pose fut intense et très intime. Pendant qu'ils se rhabillent, Alice reçoit un appel de son proprio.

Appel téléphonique :
- Allô
- Bonjour Mme. Nevers
- Bonjour, que ce passe-t-il?
- Je vous appelle pour vous dire qu'il y aura des travaux dans l'immeuble le mois prochain et qu'il faut libérer l'appartement car la société qui fait les travaux ne veux personne dans les logements. Désolé si je vous préviens un peu tard mais on vient de me prévenir. J'espère que vous allez trouver un logement à temps.
- Merci de m'avoir prévenu. Au revoir.
- Au revoir Mme. Nevers.
Fin de l'appel

- C'était qui? ( demanda Fred)
- Le proprio de mon appartement.
- Pourquoi il t'a appelé?
- Pour me prévenir qu'il allait y avoir des travaux dans l'immeuble et qu'il fallait que je libère mon appart.
- Ah merde et comment tu vas faire?
- Bah je sais surtout que ton appart est pas encore libéré.
- Non mais moi c'est pas grave, c'est surtout pour toi. Tu vas faire comment avec Paul?
- Bah jsp.
- Bon Alice ça fait 1 semaine qu'on est ensemble, on pourrait peut être ne plus ce caché.
- Fred!
- Quoi Fred? Si tu veux plus être avec moi dit le moi tout de suite.
- Non Fred dit pas ça, je t'aime, c'est juste que j'ai pas l'habitude de mélangé boulot et vie privée. Mais si toi t'en as besoin alors ok.
- C'est vrai t'es d'accord.
- Si je te le dis!
- Merci, je t'aime tellement mon amour. ( dit-il en l'embrassant)
- ( en lui rendant son baiser) Moi aussi je t'aime Fred.
- Pour ton appart j'ai une idée. On a qu'à prendre un appart ou une maison ensemble! Si tu trouve que c'est trop tôt, dit le moi.
- (lui sautant dans les bras) Oui! Oui! Oui! Ça peut paraître tôt mais je t'aime comme j'ai jamais aimé personne. T'es l'homme de ma vie. Alors, Oui je veux vivre avec toi! ( en l'embrassant)
- Moi aussi je t'aime Alice. ( lui rendant son baiser)
Après cette émotion, nos deux tourtereaux s'embrassent amoureusement et langoureusement. Ils furent coupé par le téléphone de Fred qui se mit à sonner. C'était Kadiri.

Appel téléphonique :
- Commandant vous êtes où? Ça fait 15 min que je vous attends.
- Désolé, j'ai pas vu l'heure passé, je suis sur les quais de la Seine. J'arrive dans 5min.
- Ok et bah grouiller, parce qu'on a une piste.
- Oui bah j'ai compris Kadiri, j'arrive.
Fin de l'appel

- Putain, il fait chier Kadiri.
- Qu'est ce qu'il t'a fait encore.
- Il m'engueule parce que je suis en retard.
- Oh c'est bon chéri, il t'a rien fait Djibril, il te dit juste qu'on est un peu trop rester collé. ( dit-elle en se rapprochant de lui)
- Non Alice, arrête. Je suis déjà à la boure. Allez s'te plait mon coeur, on remet ça à ce soir. En plus on aura toute la nuit pour ça et en plus demain c'est dimanche et on aura toute la journée pour nous. Ton père est venu récupérer Paulo ce matin.(dit-il en se reculant d'Alice)
- Oh et bah si mon père est venu chercher Paul ce matin alors je suis d'accord pour arrêter mais à une seule condition.
- ( en se rapprochant d'Alice avec un leger sourire coquin) Ah oui et laquelle?
- ( en l'embrassant) Seulement si on reprend ce soir mon amour!
- ( en lui rendant son baiser) Alors ça oui, je suis tout oui. Avec plaisir madame la juge.
- Je n'aurais jamais pensé que vous pourriez attendre commandant, vous m'impressionné. Et comment ça se fait que vous accepté commandant, ça ne vous ressemble pas.
- Je sais, je chance et ça c'est grâce à vous madame la juge ( en l'embrassant passionnément) et si j'arrive à attendre c'est parce que je t'aime Alice et que si il le faut j'attendrai longtemps et ça c'est parce que je t'aime.
Alice avait les larmes aux yeux, Fred les essuya avec son pouce et l'embrassa amoureusement, langoureusement et passionnément. Fred l'a prit dans ses bras pendant quelques minutes. Ils sortirent des archives et rentrèrent dans le bureau de Fred en même temps. Kadiri qui attendais Fred depuis près de 20 min, se dépêcha de donner toutes les informations et ils partirent pour la perquise de l'appart de Mathieu Rousseau, leur principale suspect.

Suite...

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Désolé pour cette longue attente. Si j'ai pas pu posté la semaine dernière c'est que j'ai eu un gros soucis familiale. Si vous voulez être au courant de mon retard pour la fiction abonnez vous à mon insta ( @alice_nevers.fan ). Je préviens de mon retard dans l'avancée de ma fiction.

Le Commencement Where stories live. Discover now