Swole

Chapitre 4 : Le Dernier Rempart

Cela faisait une semaine que le debarquement avait été effectué et chaque soldat y ayant participé etaient au repos et les renforts avancaient qu'en a eux vers Paris... Doucement. Un matin un soldat raportit les journaux : La ville de Cean a été prise au Nazis. Un chemin vers Paris a été ouvert. A ce moment la chaque soldat apte au combat a été réquisitionné. La liberation de la France allait se jouer dans les prochains jours si tout se passait bien. Nos trois soldats, reposés, se sentirent prets a reprendre le combat. Paris, la ville lumiere, la ville de l'amour. Alex revait d'y emmener son amour. Elle lui manquait énormément. Toutes les semaines il lui ecrivait une lettre et tout les jours lorsqu'il avait le temps il regardait sa photo qu'il gardait précieusement. Une fois, Isaac le regardit et lui dit :

- C'est quiiiii?

- C'est ma copine. Dit alex en rigolant

- Eh bah ! Si une fille comme ca m'attendait a la maison je me dépecherai de finir la guerre et d'aller la rejoindre

- Alors Charleston tu serais pas sous le charme

- Moi? Nannn. Moi je suis célibataire mais je suis sur qu'il y a une parisienne qui m'attand.

Apres cela, les deux amis se mirent a partir en fou rire. Alex fut sorti de ses pensées lorsque Garrick lui tappa sur l'epaule. Il l'aida a se relever puis monterent dans un camion direction le front. Avant la fin de la semaine, les soldats devaient etre a Paris. En trois jours les soldats etaient arrivés a une dizaine de kilometres de la capitale francaise. Cepandant a cet endroit une résistance feroce etait en place. C'etait le dernier rampart. Apres cela la ville de Paris serait atteinte en moins de temps qu'il faut pour le dire. Mais il fallait dépasser se rempart. Plusieurs unités d'artillerie, de chars et de soldats attendaient les américains de pied ferme. La bataille commencit avec une ralfe d'artillerie qui reussit, par miracle, a détruire une brigade de chars ennemis. Les alliés étaient en surnombre. La charge commencit sous le feu ennemi qui etait nourri. Chaque soldat en avait pour sa vie sauf trois. Inséparables. Ils couraient a une intervalle de 10 metres entre chaqun lorsque un obus alla s'ecraser a la gauche d'Alex a 15 metres de lui. Il vit un de ses amis etre projeté:

- ISAAC ! Cria Alex.

Lui et Garrick alla chercher leur ami couché au sol quelques mertres a coté. Alex prit son ami dans les bras et commenca a lui parler:

- Issac, Isaac mon pote aller reveille toi tes plus fort que ca.

- A... Alex. Dit Charleston en ouvrant peu a peu ses yeux.

- Ouais c moi mon pote allez leve toi t'a des parisiennes a aller rejoindre.

- C'est vrai aller pour elles. Dit il en se relevant

Les trois amis repartirent de plus belle droit vers les lignes ennemies mais avec le temps qu'ils avaient perdus ils n'avaient meme pas remarqués que les troupes de chaque camp avaient étes decimées. Cepandant les chars alliés étaient superieurs en nombre et apres que le dernier char ennemi fut détruit, la dizainr de soldats Allemands restants se rendirent.

PARIS NOUS VOILA crierent nos trois soldats presque en coeur la route etait libre, la liberation de la france est la bas mais personne ne saiq vraiment ce qui les attend la bas....