Lucky Luke et moi? JAMAIS! (FINI, EN CORRECTION.)

Luc

Chapitre vingt-cinq

Luc :

J'essaye de ne pas le montrer, mais plus je m'approche de la maison voisine, plus je stresse ! Merde, je dois porter mes cloches, je suis un homme ! Je suis même l'homme le plus chanceux du monde.  J'ai retrouvé ma femme, bon oui je peux le dire même si nous ne somme pas mariés, elle porte mes deux enfants ! C'est encore mieux qu'un mariage.

Lola toque à la porte, un homme qui ressemble à un gros nounours apparaît. Quand il nous voit tous là il a le visage tendu, mais dès qu'il voit Lola, un énorme sourire apparaît et ce couple adore vraiment Lola.

- Viens m'embrasser petite. Alors comment se porte les deux haricots ?

- Super André. Je vais faire les présentations. Clara mon amie, Jacques tu le connais déjà et voici Luc, le papa des deux haricots.

- Et bien Lucky Luke porte mieux ses couilles, que toi fiston.

- André ! Laisse ses jeunes tranquille et viens m'aider à mettre la table !

Merci Gina ! Je sens qu'on va passer une merveilleuse soirée, surtout moi.

Lola me prends la main et chuchote :

- T'inquiète pas c'est un gros ours mal léché, dans le fond il est gentil. Et puis Gina est là pour lui faire fermer le bec !

- C'est fou comme ça me rassure, après je peux comprendre.

Elle m'embrasse et nous allons nous installer à table. Une fois tout le monde réunit, les conversations vont de bon train. Gina apporte le poulet et nous sert.

- Dis moi Luc, Lola m'a dit que tu repartais ce soir ?

Je lève ma tête de l'assiette, pour regarder André.

- Oui demain je démissionne, ensuite je vais contacter une société de déménagement et je remonte. Il y a eu trop de malentendu, des ont dit et des non dit. Donc assez perdus de temps, je ne compte plus la laisser partir.

- Donc tu vas prendre soin de ma petite Lola et des deux haricots ?

- Exactement, j'en suis déjà malade de partir ce soir.

Lola me sert la cuisse. Je pose ma main sur la sienne et lui fais un sourire.

- Elle a été seule pendant quatre mois, elle est plus à une semaine près.

- André, ça suffit ! On aime Lola comme notre propre fille mais là tu abuses !

- Très bien, très bien. Le principal c'est qu'elle soit heureuse ! Bienvenue dans la famille Luc.

- Merci André.

Le reste du repas ce passe à merveille, je suis plus alaise, mais l'heure du départ approche.

Nous rentrons tous les quatre chez Lola, je peux pas partir comme ça. Il faut que je la possède encore une fois avant de partir ! Je m'approche de Lola, la prend dans mes bras et me dirige vers la chambre. Je l'a balance sur le lit, pas fort mais pas doucement non plus !

- Mais qu'est ce qui te prends ?

- Hors de question que je parte dans cette état là.

Je pointe mon sexe du doigt, pour lui montrer.

- Mais tu yoyotes de la touffe, Jacques et Clara sont en bas et tu dois partir d'ici...

Elle regarde l'heure.

- Maintenant !

- Je yoyotes de la touffe ? Ce qui veut dire ?

- Bin que tu est fou !

- Justement je vais te yoyoter aussi et tu vas m'en redemander !

Une fois nos vêtements retirés, je me fais un plaisir de déguster sa fleure, elle est si réceptive que j'en peux plus moi-même. Je la goûte, la dévore. Jusqu'à ce qu'elle crie mon prénom. J'attends plus, je la retourne face contre le matelas. Je m'enfonce centimètres par centimètres, je sens ses parois s'écarter sur mon passage. Nous gémissons en cœur, j'accélère mes mouvements et ma main vas chercher sa petite bille rose, la pince et je sens Lola, au bord du gouffre !

- Plus fort Luc, c'est tellement bon. Vas y ! Ouiiiiii...

Rien que l'entende prononcer mon prénom et sentir sa jouissance autour de ma queue, ça me rend dingue. Je la pilonne encore et encore. Et j'explose, j'ai l'impression de me vider complètement et putain j'arriverais jamais à rester trop longtemps loin d'elle. Je vais faire ce que j'ai à faire et remonter le plus vite possible.

- Je t'aime Lola.

Je caresse son ventre.

- Je vous aime tous les trois, ma famille.

- Je t'aime aussi Luc. Reviens vite s'il te plaît.