2

97 5 0
                                    

Je me suis réveillé dans un endroit sombre et inconnu. Je ne pouvais rien distingué, une douleurs horrible à la tête et au dos. Je me leva, non sans mal de là où j'étais allongé et essaya d'avancer dans la pénombre. Le sol était...Terreux, avec des débris de verres et de bois.
À peine après avoir fais dix mettre en longeant le mur boisé, la lumière d'une lampe torche m'éclairat brusquement, me forçant a fermer les yeux. M'habituant à la lueur aveuglante, mes paupières s'ouvrirent doucement. C'était lui...Son sweat pale, sa cagoule au visage rouge...La première fois que je l'ai vu, il me faisait plus de la peine qu'autre chose. Mais là...Il était effrayant, comme si je savais que quelque chose de mauvais aller se passer. Et j'avais raison...
À peine j'eus le temps de le voir plus nettement, je put entendre une phrase glaçante sortir de sa bouche.
"Attachez le les gars."
J'eus un énorme frissons quand je sentis deux paires de mains se poser sur mes bras. Les deux hommes me forcèrent à m'assoire et ils lièrent solidement mes poignets dans mon dos. J'avais bien essayé de me débattre, mais mes efforts étaient vains. J'étais tout seul contre ces deux là, j'avais aucune chance.
J'étais essoufflé d'avoir donné autant d'effort pour quelques chose qui ne servait à rien. Je pouvais entendre le cagoulé lâcher un petit rire moqueur quand ses deux "sbires" l'eût rejoint. Je pouvais le comprendre sur le coups.. J'aurais fais la même à sa place..
Il tendit la lampe à un des gars derrière lui qui la prit, continuant de m'éclairer. Puis, il sortit doucement une scie de sa poche. Une putain de scie...
Mes yeux s'écarquillèrent et mes membres se figèrent en dicernant ça. Des petites larmes fraîches commençaient a couler sur mes joues et la sueur a perler sur mon front. L'homme au sweat jaune s'approcha lentement de moi, insistant bien sûr chaques pas qu'il faisait. Je voulut reculer, mais le mur m'en empêchait. Je tenta de le supplier, aussi bien de regard que de voix, mais ça ne marchait pas et il continua à avancer. Une fois à mon niveau, il s'abaissa calmement pour être à ma taille et posa sa main libre sur ma bouche, exerçant une légère pression, m'empêchant de sortir le moindre bribes de paroles. Ma respiration s'accéléra quand je sentit la lame froide de son arme passé sur ma joue. Les larmes coulèrent encore plus abondement de mes yeux clos. Au moment où je crus que c'était la fin, j'entendis ce son étrange...

[. . .] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant