Dionysos (Trilogie Hadès #1.5) [VF]

Chapitre sept - Dionysos

avertissement : je connais littéralement rien en italien exécuté bonjour lololol si une phrase ne vous paraît pas juste, ce serait très gentil de me le dire pour que je puisse corriger xoxo

Chapitre sept

—Hey Spencer !

—Spencer ! Ça va mec ?

—Spencer ! Bordel, pourquoi tu m'as pas appelé ?

Une variété de personne me saluent à la suite alors que je rentre dans le campus d'un pas nonchalant, ils se mettent autour de moi comme si j'étais un sapin de Noël avec pleins de cadeaux colorés. Je ne peux pas m'empêcher de sourire en fin de compte, cependant je refuse de leur adresser la parole. Au lieu de ça, je jette un coup d'œil furtive à mes fans et gratte mon nez avec mon pouce et mon index en fredonnant un air, je m'avance vers le bâtiment où mon cours d'italien est localisé.

Pour être honnête : j'ai pris ce cours pour m'amuser. Je sais parler couramment chaque langue connue par l'Homme, aussi bien les langues que l'humanité a décidé incidemment d'oublier. Donc les cours avancés de langues sont une grosses blagues pour moi. La moitié du temps, les professeurs ne connaissent pas la langue aussi bien qu'ils le prétendent, donc c'est toujours amusant de les défier et de les voir suer. Des fois, quand je m'ennuie vraiment, je prétends être aussi intelligent qu'une pierre et me mets tout devant pour regarder le spectacle intitulé : "Combien de temps faut-il pour faire exploser un enseignant de colère ?".

Je suis une personne terrible. C'est un vrai don.

Alors que je m'approche du bâtiment des langues, quelqu'un fonce sur moi et me cogne pratiquement. Je me retourne, une pique amère au bout de la langue, mais qui meurt quand je remarque qui s'est.

—Désolée, marmonne Kenzie en gardant la tête baissée en se précipitant devant sans me laisser de répondre.

—Fais gaffe ! lui dis-je pitoyablement, je suis trop paresseux pour faire plus.

Elle ne répond pas et trébuche pratiquement dans sa hâte de se précipiter à son prochain cours. Je ricane, roule des yeux et l'observe s'en aller. Habituellement, j'aurais été offensé qu'elle m'ignore si froidement, mais pour une certaine raison je trouve son désespoir de partir dans sa prochaine classe être peu à peu, curieusement, attachant.

Je m'arrête dans mes pensées, plissant mon nez de dégoût. Seigneur, à quoi est-ce que je pense ? Ai-je vraiment utiliser le mot attachant ? Je connais à peine cette fille ; pourquoi j'utilise le mot "attachant" dans mon vocabulaire ? C'est  grave, vraiment.

Je vérifie ma montre et soupire légèrement. En parlant de choses graves, mon cours est sur le point de commencer ; en fait, effaçons ça, mon cours a commencé. Si je veux continuer de prétendre être un bon petit étudiant, je dois vraiment partir en cours.

—Spencer !

Je souris, me pivotant avec lenteur sur mes talons. Quoi ? J'ai dis prétendre, je n'ai pas dit que je serais un bon étudiant. Et là tout de suite, je ne peux pas prendre la peine d'être un bon étudiant en partant à mon ridicule cours.

—Hey Ryan, souris-je alors que le brun qui m'a apostrophé s'approche de moi, deux de ses mains à ses côtés. Ça va, mec ?

—Spectaculairement, quoi de neuf ? ricane Ryan. Je t'ai pas vu depuis un baille ! T'étais où ?

—J'évitais ce trou à rats, fais-je un rictus et ils rigolent tous. Quoi, vous pensiez vraiment que je partais en cours ?

—Alors pourquoi es-tu là ? plaisante-t-il.