Dark Sky Tome II

Chapitre 15

Je ne compris pas tout de suite ce qui se passer, mais quelqu'un cria, je ne connais pas cette personne mais il a hurlé avec une telle puissance, c'était un crie de douleur atroce, je n'aurais pas aimer être à sa place. J'ouvris un œil puis l'autre doucement. Le gars qui me tenais en joue partait en courant en direction du cri, c'était certainement un de ses hommes.

_ surveillez les bien, je ne veux pas qu'ils bougent!ordonna-t-il au deux énorme armoire à glace sur notre gauche.

_ Bordel qu'est-ce qu'il se passe ? Demandais-je à personne en particulier, c'était comme une réflexion à moi même. Je me relevai, malgré mes liens, Jared fit de même. Les « gardes » ce sont approcher pour nous retenir, mais c'était notre chance, il fallait la prendre ; alors je rassemblai toutes mes forces et donnai un coup de pied bien placé, puis un autre dans les côtes du gars. Jared quant à lui, s'occuper de l'autre mec à peu près de la même manière. Pendant ce petit combat, mes liens s'étant déserré, je pus libéré Jared des siens. Les deux gardes étaient à terre. Un autre hurlement rugis d'une salle non loin de nous. Jared me tira par le bras vers cette salle.

What's the fuck ?

Les hurlements s'intensifiaient de plus en plus, avec à chaque fois plus de personnes. De la fumé sortait de cette salle. Jared cacha sont nez et sa bouche avec son bras, je fis de même. La fumé me brûlait les yeux, me faisant pleurer. C'était horrible même avec la bouche et le nez couvert j'avais la gorge qui me brûler, les poumons en feu, nous continuions à avancer à travers la fumé qui devenait de plus en plus opaque. Il n'y avait quasiment plus d'air respirable mais Jared continuer à me traîner à travers le dédale de couloir et de salle. J'avais fini par fermer les yeux, serrant des poings jusqu'au sang. Je toussais de plus en plus.

Bloody hell !

Je continuai d'avancer buttant quasiment à chaque pas, sur un corps ou des boites tombées au sol, il y avait toujours ces hurlements qui me déchiraient les oreilles. J'éprouve ce drôle de sentiments vous savez, comme lorsqu'un chien à mal et qu'il pousse des gémissements à en faire frissonner les os, vous ne voulez qu'une chose l'aider pour qu'il arrête, votre cœur se fend en deux à cause de sa douleur vous éprouver une tel empathie qu'elle vous fait vomir. J'éprouve ça, mais en même temps ils voulaient me tuer. Je fus couper dans ma course par deux bras, qui m’ont saisie à la taille m'attirant vers l’extérieur par un autre porte. Sous cette force, Jared m'avait lâcher. Je l'entendais hurler mon nom, par dessus les cries des autres. Je fus projetée à l'extérieur, mordant l'asphalte à pleine dents. Je pus entrevoir deux personnes, deux hommes avec des masque à gaz. Ils sont ré-rentrés dans le bâtiment. J'avais encore du mal à respirer, mes yeux me brûlaient, j'avais envie de criais moi aussi, mais je ne pu que gémir comme un chien, mes yeux me faisait atrocement mal, je ne pouvais pas les toucher tellement la douleur était insupportable. J'avais l'impression qu'ils saignaient. Mes mains elles aussi me brûlaient, c'est comme si on avait recouvert mes yeux mes main ma gorge d'acide, qu'il rongeait toutes parties qu'il avait pus être en contact. J'étais plié en deux au sol, les bras replié contre ma poitrine en croix, mes yeux fermer, je toussais à m'en décoller les poumons. Puis ce fus autour de mes pieds de me brûler aussi vivement que mes yeux.

J'entendais quelqu'un à coté de moi crié de douleur, puis des portes claquaient.

_ Putain, ils sont bien amocher eux aussi ! Donne moi les bouteilles d'eau !

Je ne reconnaissais pas cette voix, mais elle était jeune, un gars, un ado, il avait déjà mué mais sa voix était encore jeune. Quelque seconde après, je reçus de l'eau sur mes yeux, coupant quasi immédiatement la douleur, je pus ouvrir les yeux de nouveau. Il passa un filer d'eau sur mes mains et mes pieds, je bus le reste, me brûlant les organes internes, mais qu'est-ce que ça faisait du bien. Les autres gars au masque à gaz s'occupa comme moi, de Jared, tendis que l'autre me passait une paire de converse. Ils avaient toujours leur masque à gaz. Jared quant à lui, commençais lui aussi à s'en remettre, il c'était calmer, respirant profondément.