.Partie 41.

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Bonne Lecture.



                                                                  CHRIST.


Après qu'elle m'est viré de chez elle je suis resté dans ma voiture à réfléchir. Je n'ai pas écouter sa version des faits avant de lui porter main. Mais, ma mère ne pourrait me mentir. Maëlle a trop pris la confiance parce qu'elle était convaincu que je l'aimais. Mais je ne permettrai à personne de porter main à ma mère. Personne même pas mon père, ne peut se le permettre alors pourquoi je devrais laisser cela se faire.

Seulement, l'éclair que j'ai vu passer dans les yeux de Maëlle lorsqu'elle m'a dit ces mots m'ont fait réagir. Ma mère ne l'a jamais aimé et tout d'un coup elle demande à la voir. C'était sûrement pour arranger les choses je le sais. Alors qu'est-ce qui a bien pu se passer.

J'étais au bureau quand maman m'a appeler en pleurs me demandant de la rejoindre au plus vite. J'ai dû annuler une réunion urgente avec mon personnel pour cela. Arrive à la maison, elle m'a ensuite raconter ce qui s'est passé.

Maëlle a haussé le ton et a insulté ma mère de femme indigne et incapable d'apprécier le bonheur de son fils. Ma mère a voulu riposter selon elle mais, maelle est allée plus vite en lui donnant une gifle et en essayant de se battre avec elle. Comment pourrais-je rester impassible face à ce récit. La gifle que j'ai assené à Maëlle était le coup rendu à ma mère.

Mais là, je regrette vous ne pouvez pas savoir. J'ai ce sentiment au fond du coeur qui me pousse à m'en vouloir. Maëlle peut tout me pardonner mais jamais une faute aussi grave. Elle déteste être battu, elle en a peur et qu'est-ce que j'ai bien pu faire de cette information? Je l'ai transgresser. Mon Dieu.

Je roule par la suite pour me rendre à la demeure familiale. Je gare le voiture mais je ne descends pas tout de suite. Ma petite soeur était à la maison pendant la visite de Maëlle. Elle saura me dire clairement ce qui s'est passé. Pourquoi n'y ai-je pas penser plus vite avant d'aller chez Maëlle.

Je descends de la voiture. J'entends des éclats de voix provenant de la maison. Je m'apprête à rentrer pour savoir ce qui se passe mais la phrase que j'entends me glace le sang.

- Cette fille n'est pas faite pour lui et même si je dois lui mentir pour qu'il se sépare d'elle et bien je le ferai, alors tu n'as pas ton mot à dire dans cette histoire. Si j'entends que tu lui as raconté ce qui s'est passé ici je t'envoie en pensionnat. Dit ma mère a son interlocuteur.

Un silence s'en suit. Il n'y a que Davila qu'elle peut envoyer au pensionnat. Je rentre donc dans la maison. Je les vois toutes les deux arrêtées au salon, Davila en pleurs. Elle m'a vu mais pas ma mère. Je lui fais signe de se taire et de monter dans sa chambre. Je prends sur moi pour ne pas exploser.

- Bonsoir maman. Elle sursaute et me regarde peut-être pour sonder mon visage et voir si je les ai entendu.

- Bon...bonsoir mon fils. Elle me réponds en bégayant et se met à pleurer. Avec ça comment je ne peux pas douter de Maëlle.

- Tu as remis cette fille à sa place n'est-ce pas? Elle me demande.

- Oui maman. Nous avons rompus. Arrête de pleurer. Ça me mets mal à l'aise, je lui dis.

- D'accord mon fils. Tu as pris la bonne décision. Vous n'êtes pas fait pour être ensemble. Mets-le dans ta tête au cas où elle voudrais revenir.

Ça on ne le saura jamais, j'aurai voulu lui dire. Mais ce que j'ai entendu avant de rentrer dans la maison me trottine encore l'esprit.

- Je vais voir Davila. Je ne l'es pas vu ni entendu depuis ce matin. Je me dirige vers sa chambre mais ma mère me retiens Le Bras.

- Non laisse-la se reposer. Elle doit être entrain de ...de dormir. Laisse-la. Elle a cours demain en plus. Elle me dis.

Redemption.✨. ( En Correction).‼️🚫Où les histoires vivent. Découvrez maintenant