Farewell 1 / Mileven [Terminée]

009

-Bon, tu cherche quoi ? Demanda Maxine en voyant que Michael semblait vexé de sa remarque.
Il ne répondit pas, il fit comme si il ne la voyait pas.
-Mike !
Cette fois Maxine lui secoua l'épaule.
-Mike !
Il tourna sa tête vers elle.
-Quoi ?
Elle lui montra du doigt la direction devant eux :
-Regarde !
Michael regarda là où Maxine lui montrait.
-Le démogorgon. Chuchota-t-il.
-Le quoi ?
Michael lui fit signe de ce taire.
Elle se contenta d'hausser les sourcils.
Il réfléchit, il y avait sûrement un moyen de partir d'ici sans se blesser.
Il tapota sur l'épaule de Maxind, elle tourna sa tête vers lui.
-Viens. Chuchota-t-il à Maxine.
Pour une fois Maxine ne répliqua pas et partit doucement sans son skate et Michael laissa son vélo au sol.
Quand ils furent assez loin ils sortirent de la forêt.
-Quelque chose ne va pas. Commença Michael.
-Ça c'est sûre ! C'était quoi ça ?
-Le démogorgon. Je ne comprends pas il aurait dû rester dans l'Upside Down...Ça veut dire que le portail est ouvert !
Maxine ne sembla pas comprendre.
-J'en ai trop dis.
Eleven s'abaissa vers sa mère qui se balançait sur une chaise à bascule.
-Maman ? C'est moi, Jane.
Terry Ives tourna aussitôt la tête vers elle.
-Non.
Puis elle tira Eleven vers elle.
Soudain Eleven se retrouva dans cet étendue de noir qu'elle craignait.
Elle regarda autour d'elle, personne.
-Maman ?
Une personne tomba au sol.
Une femme qui semblait être enceinte se tenait le ventre.
-Mon bébé, Aidez-moi !
Eleven accouru vers elle.
-Maman !
Elle souffrait et elle pleurait.
Eleven cligna des yeux et elle fut téléporter dans une appartement, celui d'une université.
Sa mère en plus jeune faisait les cent pas dans le salon pendant qu'un jeune homme était assis sur le canapé et... Et il semblait essayer de la rassurer.
-Ma chérie, c'est tout ça qui te tourne autour de la tête. Il faudrait que tu aille te reposer.
Terry s'arrêta pour se mettre face à lui :
-Je n'arrêterai pas tant que je ne saurais pas la raison de tout ces expériences.
-Je t'aime tu le sais ça ? Dit-il avec un sourire au coin des lèvres.
-Andrew, c'est bien la seule chose où je ne doute pas.
Puis sans prévenir le décor s'évapora pour laisser place à un hôpital.
Terry était allongée sur un lit.
Elle était entrain d'accoucher, Eleven grimaça en observer la scène.
Bizarrement la personne à cotés d'elle n'était pas l'homme avec qui elle discutait avant. Eleven leva les yeux vers la personne en question... Papa.
Le docteur Brenner.
Elle eu un mouvement de recul en le voyant. Pourquoi est-ce-qu'il est là ?
La colère d'Eleven ne laissait aucune place pour la tristesse.
-Maman ? Dit-elle en prenant la main de sa mère.
Elle ne répondit pas on dirait même qu'elle l'ignorait mais enfaite elle ne la voyait pas.
-Alors Eleven, on mets son nez n'importe où ? Dit une voix en face d'elle.
-Papa. Dit-elle en le regardant droit dans les yeux.
-Tu es partis comme ça, je t'ai dis que tu étais malade Eleven. Tu as une blessure. Une blessure qui empute, et si ça continue elle pourrait te tuer. Dit-il d'une voix monotone.
Eleven se mit à trembler, pas de peur ni de froid mais d'angoisse.
-Dégage. Répondit-elle en essayant d'arrêter de trembler.
-Je te pensait plus intelligente, surtout plus méfiante. Un parfait inconnu vient à ta rencontre et il esquive la question "D'où viens-tu ?" .
Eleven serra les poings.
-Inutile de t'énerver. Il suffit de réfléchir. Qu'est-ce-qui s'est passé de l'Upside Down à chez ta tante ?
Elle réfléchit, elle ne savait pas.
-Je ne me rappelle pas.
-Alors il a fait ce qu'il fallait. Conclut Brenner.
Ce qu'il fallait ? Comment ça ce qu'il fallait.
-Que, quoi ? Ce qu'il fallait ?
-Je ne sais pas si on peut appeler ça piéger.
Eleven réalisa doucement ce qui venait d'être dit.
Five l'avait manipulé. Elle aurait dû... Sincèrement elle aurait fait quoi ?
Le décor de l'hopital s'effaça pour laisser place au salon de sa tante, sa mère se balançait toujours sur sa chaise comme si de rien était.
Eleven tomba en arrière, elle se sentit pousser en arrière et des mains l'attrapèrent pour la tirer vers la sortie. Elle savait que ces mains là n'étaient pas bienveillantes.
-Lâchez-là ! C'était sa tante qui se débattait.
Eleven se fit tirer en arrière vers la porte d'entrée puis elle fût conduit en dehors de la maison.
-JANE ! JANE ! LAISSEZ NOTRE FAMILLE TRANQUILLE ! Hurla sa tante à bout de voix.