Partie- 21
Les jours passent. On est en printemps. Le temps est magnifique, sérieux le printemps je suis toujours de bonne humeur, je sais pas
pourquoi, mais j’aime bien cette fraicheur et tout. Breef.
Les jours passent, et se ressemblent. Je suis heureuse dans mon taf, pendant mes heures de taf, j’ai comme l’impression que mes problèmes,
mes maux de cœurs, mes douleurs s’éclipsent, mais une fois arrivée à la tess, tous mes problèmes refont surface. Je ne me plains pas, non,
parce que des milliers de personnes rêveraient d’avoir ne serait-ce que, notre vie qu’on qualifie comme « minable ».
On est comme une petite équipe avec Asma Laura et Serkan. Esra toujours au top ma patronne, elle est heureuse qu’on s’entende bien comme
ça. Bref, on est déjà en fin mai.
Mes parents se portent bien, mon frère aussi , Aya est tranquille avec Hakim, qui la fait galérer de moins en moins, masAllah, elle a
tellement souffert à cause de son gars, mais elle a su être patiente, combien de fois elle a pleuré dans mes bras à cause de lui ..
Et Murat, celui que vous attendiez tant je suis sûre, vous vous disiez elle a fait un speach de 40 lignes, sans parler de Murat, et ben
voilà, il est là votre Murat. Alors lui, c’est l’ignorance totale, non pas totale, puisqu’à chaque fois que nos regards se croisaient, il
me lançait des regards noirs, de mort. On s’ignorait, je ne comprenais plus rien.
Je n’arrivais pas à mettre un terme sur mes sentiments, j’étais perdue, je me noyais dans cet amour excessif, de mes sentiments indéfinis.
J’avais beau dire que je voulais l’oublier, mais dès que je le revoyais, mes sentiments reprenaient le dessus. Je n’étais plus la
maitresse de mon cœur, c’était, lui Murat qui le métrisait..
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Un samedi, on était en bas avec la clique à galérer comme d’hab, à sortir des vannes et à rire pour rien, et on entends v’là les cris en
bas d’une tour, c’était pas des cris sauvage, mais plutôt de joie, enfin vous m’avez comprise.
Aya – Zehiii, y s’passe quoi ?
Yassine – Oh venez on va voir !
Mustafa – OP Ma gueule !
Et on se dirige vers la tour d’où provenaient les cris. On avance, et on voit un rassemblement de gens, qui cris, qui tapent v’là les
youyou, on croise Salma (une simple connaissance du lycée). On lui claque la bise, on s’parle viteuf et lui demandons ce qu’il se passe.
Salma – Y’a Elif qui se marie, vous êtes pas au courant ?
Moi – arrêteeee ?!
Salma – Si si !
Mustafa – Ah bah, masAllah !
Yassine – Venez on va la voir !
Elif est une copine du lycée aussi, on a toujours été ensemble, on était presque inséparables, mais elle, contrairement à nous, a continué
ses études, elle faisait un BTS je sais plus quoi, bref. Voilà, donc on se voyait presque plus.
Moi – Eliiiiiiiiif ! –en lui faisant un câlin-
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chronique de Hazal :J'AI BEAU SOUFFRIR MAIS MON COEUR REVIENT VERS TOI
General FictionChronique enregistrée REELLE THUG LOVE