Chapitre 6

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10 juillet: j'ai bientôt 18 ans

J'ai validé les premières années de médecine, je passe en candidat libre donc je fais pas les 11 ans requis mais je dois tout faire chez moi ce qui est excessivement difficile mais il ne m'en reste plus beaucoup avant d'être interne à l'hôpital ! 

Je vis maintenant dans le 91 dans les Tarterets avec Yanis et Anis les deux petits de l'orphelinat

Dieu merci je n'ai pas été violé mais j'ai dû fuir et je ne pouvais pas les laisser la bas

Pour survivre je me dois de trouver de l'argent, alors je travaille à JD en continuant mes études en parallèle. 

Je calcule personne à part mes deux bébés mais bon aujourd'hui j'avais envie d'avoir des amis phrase bizarre nan ? 

Je rentre et je vois les gars de d'habitude et si aujourd'hui je leur parlais ? 

Moi: salut

Gars : salut surpris

Moi: vous vous appelez comment ? 

Un gars: oula toi soit tu veux te faire soulever soit tu veux de la drogue dans les deux cas Tarik est là

Moi : c'est qui Tarik ?

Le gars : bah moi

Moi : soit clair aussi bref et vous

Tarik : là y'a mon petit frère Nabil, Lucas, Moha, Amine , Karim et Mamadou, c'est les QLF chica

Moi : commence pas a parler ma langue aussi

Nabil : t'es espagnole ?

Moi : espagnol marocaine

Mamadou : les marocains c'est des sorciers

Moi : On rigole bien avec toi en tout cas

Mamadou : j'ai mal à mon petit coeur

Moi : tu veux un bisou magique ?

Mamadou : ouiii

Moi : bah dommage mais ça fonctionne pas donc pleure en silence 

Après on a tous continuer à rigoler en vrai je les aime bien
Vers 3h ils sont tous parti donc je suis monté sur le toit

Nabil : c'est ma place ici

Moi : tu as tout un toit tu viens que là où je suis, toi aussi tu forces

Nabil s'assoit à côté de moi et regarde la lune puis tourne son regard vers moi

Nabil : il s'appelle comment

Moi : qui?

Nabil : celui que t'arrives pas à oublier ?

Moi : comment tu sais ça toi ?

Nabil : j'avais le même regard quand mon ex s'est barrée

Moi : ah oups * blanc* Anas il s'appelle Anas

Nabil : ouais bah maintenant tu penses plus à rien, tout ce qui compte c'est l'avenir 

Le lendemain : 11 juillet

C'est samedi donc je vais au travail habiller d'un sweat rouge d'un jean bleu de converse et d'une casquette 

Arrivée au travail après avoir pris le métro je suis appelé par mon patron

Femme de footballeur - Rien ne s'est passé comme prevuWhere stories live. Discover now