Imagine || Tom Holland & MCU [FR]

𝙿𝚎𝚝𝚎𝚛 𝙿𝚊𝚛𝚔𝚎𝚛

Pour : vilainpetitchat

☆ SECRET BY SECRET ☆
~

Le Queens... il fallait qu'elle choisisse le Queens. Tu n'as pas vraiment quelque chose contre cette ville mais c'est le fait d'encore déménager qui t'agace. Si sa continue, tu vas visiter la planète entière. Tu t'ai trouvée de superbe amies à Vancouver et voilà que tu dois encore leur dire adieux. Les voitures défilent sur ta droite et le vent fait virevolter tes cheveux de jais. Le soleil est aussi chaud que les enfers et certains oiseaux passent tellement près de la voiture que tu as peur qu'ils se blessent.

Mère: Tu es vraiment obligé de me faire encore cette tête Elea ?
Elea: Le jour où tu vas arrêter de me faire visiter la planète entière je changerais d'expression faciale.
Mère: *Soupire* Tu sais pertinemment que si je pouvais rester à un endroit fixe je le ferais. Je fais ça pour nous ma chérie.

Tu tournes ta tête vers la fenêtre sans continuer à argumenter. Pourquoi ce battre alors que tu sais que tu ne peux pas faire marche arrière. Tant que tu vis sous son toit, tu dois suivre ta mère partout. Le jour où tu auras la chance de partir tu n'hésiteras pas une seconde.

>>>TimeSkip<<<

Une journée est passée depuis ton arrivée au Queens et tu essaies du mieux que tu le peux de t'y faire. Rien n'est pareil que Vancouver alors c'est très dépaysant.

Mère: Je t'attends à la voiture.

La porte se ferme doucement et tu laisses sortir un long soupire. Seulement 8:30 du matin et tu dois déjà te rendre à l'école pour ta première journée.
Tu n'as même pas le temps de te faire au changement que tu dois aller te présenter à des gens qui se connaissent tous entre eux. Tu te regardes une derrière fois dans le miroir pour arranger ta mèche de travers et descends pour rejoindre ta mère à l'extérieur. Elle te conduit jusqu'à Midtown High School et arrête la voiture juste en face des grilles.

Mère: Tout va bien se passer.
Elea: Je l'espère autant que toi souris-tu faussement

Tu t'apprêtes à sortir mais elle t'interpelle juste avant.

Mère: Elea !
Elea: Oui ?
Mère: Je t'aime.
Elea: Moi aussi maman.

Tu sors de la voiture et ferme la porte. Tu regardes ta mère partir au loin et te tourne vers l'école qui te rends si petite. Les élèves sont tous en groupes ou en pair de deux à discuter de tout et de rien en rigolant. À ce que tu peux voir, personne n'est seule excepté toi. Tu commences à marcher vers l'entrée principale et cherche ton numéro de casier pour pouvoir déposer des effets.

Elea: 230...380... à voilà 405 murmure-tu

Tu examines tes premiers cours de la journée et chiale intérieurement. Sincèrement, tu ne pensais pas avoir chimie et sport un après l'autre. Tu fermes la porte de ton casier fermement et marche doucement vers ton cours.

~

La cloche à déjà retentit et tu cherches encore ta classe de chimie. C'étais la dernière chose que tu voulais car tu vas débarquer de nulle part et tout le monde aurons leur regards pointé sur toi. Après quelques minutes de plus, tu arrives enfin à te repérer et cogne trois coups sur la porte bourgogne. Une jeune femme d'environ 26 ans vient t'ouvrir avec un magnifique sourire collé au lèvre.

MmeStorman: Bonjour mademoiselle, tu dois être Elea. Je me doutais que tu allais arrivé un peu en retard, entre.

Tu lui souris d'un sourire un peu forcé et entre sans adresser un regard à la classe.

MmeStorman: Alors, la classe voici Elea, votre nouvelle compagne de classe.

Tu lèves pour une fraction de seconde les yeux vers la classe et aperçois un garçon au cheveux brun avec une petite mèche qui tombe parfaitement sur son front. Ces yeux chocolats te regarde assez intensément ce qui te rends nerveuse.

MmeStorman: Elea tu peux aller t'asseoir à la place vide ici.

Tu la remercies et part rapidement t'asseoir au fond de la classe près de la fenêtre. Tu jettes un regard vers le garçon qui t'examine depuis que tu es entrée et il se tourne encore vers toi pour poser son regard stupéfait en ta direction.

Pour ne pas paraître méchante, tu lui souris légèrement et commence à suivre les instructions du professeur.

>>>TimeSkip<<<

Elea: Oui j'ai compris maman.
Mère: Oublie pas du lait, du pain et de la farine.
Elea: Oui, c'est bon.
Mère: D'accord on se voit tout à l'heure ma chérie.
Elea: À tout à l'heure.

Tu raccroches et dépose ton portable dans ta poche arrière. Avec ta main droite, tu enfiles ton capuchon et marche sur les rues obscures du Queens les mains dans tes poches de ton manteau. Les voitures klaxonnent au deux secondes comme en plein coeur de New York et le roucoulement des pigeons se fait entendre un peu partout. Plusieurs femmes en talons hauts reviennent de travailler et des clochards demandent de l'argent au passant. Soudain, un cris de d'amusement te distrait alors tu regardes au loin et dans les airs pour arriver à trouver d'où sa vient. Ces cris parviennent par s'éloigner de plus en plus. Tu es certaine que cela venait du ci.....

Une main géante se pose fortement sur ta bouche et deux autres mains te prennent les jambes. Tu te débats de toute tes forces mais les hommes sont beaucoup plus fort que toi. Ils te jettent contre le mur de brique et l'un deux t'empêche de crier avec sa main appuyer sur ta bouche et de son corps lourd te maintien en place.

L'agresseur 1: Ne bouge pas ma jolie. Ont va seulement s'amuser un peu avec ton petit corps.
L'agresseur 2:  Ouaiiss, alors je t'en pris ne bouge pas trop rigole t-il

Le deuxième homme sort un couteau de sa poche et le donne à l'autre ducon qui t'empêche de tout. Il le dépose sur ta gorge et te demande de ne pas crier. Tu as l'air vraiment effrayé mais au fond de toi, tu bouilles de rage et à juste envie de leur arracher leurs yeux. Une bouffée d'énergie de vient spontanément alors tu donnes un violent coup de pied sur la partie sensible de l'homme alors il se penche vers l'avant. La première chose qui te vient en tête est de crier le plus fort que tu le peux. Ton cris résonne dans toute la ruelle et les deux hommes sont instantanément projetés dans les airs. Tu restes troublé par ton geste inattendu et magique. Les hommes se plaignent de douleurs alors que toi tu es pétrifié.

Comment suis-je arriver à faire ça ?

Maintenant tu as peur de toi même. Tu prends ton sac à dos en vitesse et court le plus vite possible chez toi. Qu'est-ce que tu es encore capable de faire ?

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