Prologue

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Malia en Média

J'ai toujours vécu dans les quartiers pauvre de Détroit. La pauvreté m'entours. Vivre dans un immeuble qui tombe en lambeau dès qu'une porte claque trop fort, c'est mon quotidien. Entendre tout ce que dis mes voisins, chaque crise de colère, chaque rapport sexuel, chaque pleure, chaque rire, tout ça c'est mon monde. Enfin, c'était mon monde jusqu'à encore quelque mois.

Ma mère, Lana Larson, pardon Lana Carter est une mère exemplaire. Elle enchainé les petits boulots plus merdique les uns que les autres pour que j'ai toujours de quoi mangé dans mon assiette. Lana est une femme très belle, grande blonde, yeux bleu océan, plutôt mince mais avec une poitrine généreuse. Voilà à quoi ressemble cette femme qui m'a donné le sein pendant les premiers mois de ma vie. Il y à quelque mois, des cernes couvrait encore la moitié de son si beau visage. Mais tout à changé à l'arrivé de Greg Carter,avocat renommé. Ma mère faisait le ménage dans ses bureaux, puis petit à petit, il l'a dragué, resto et tout le tralala. Voilà maintenant six mois que Greg et ma mère se son marié.

Je dois bien avoué que ma vie à bien changé. Fini l'immeuble lugubre où j'a grandis. Fini les fin de mois difficile. Maintenant, j'habite à Bloomfield Hills, toujours dans le Michigan. Bloomfield est la ville la plus riche en dehors de la Californie et de la Floride. Le contraste entre ici et Détroit est assez impressionnant. Je ne vois plus de dealer en sortant de chez moi, ni de règlement de compte en bas de mon immeuble tous les soirs.

Si ma mère c'est plutôt bien habitué à vivre dans une villa de dix chambres, cinq salles de bains, quatre toilette, une salle de sport, une salle de cinéma, une cuisine qui faisait la taille de notre ancienne appartement et un jardin de neuf hectares, ce n'est absolument pas mon cas.. Je ne tolère pas la différence qui peu avoir entre deux ville pourtant pas si éloigné l'une de l'autre. Je ne tolère pas vivre dans une maison de dix chambres alors que seul deux sont occupé. Mais pour ma mère, je ferme ma gueule. Elle l'aime, elle est heureuse et elle le mérite largement.

Je suis dans mon immense chambre faisant la taille de mon ancien appartement, j'écoute de la musique, comme d'habitude. Lorsque j'entend ma mère hurler mon prénom depuis le salon, je descend la rejoindre. Le salon est très spacieux, trop spacieux même. Ma mère assise sur le canapé, Greg à ses côté, à les larmes au yeux mais elle sourie tout de même. Encore une mauvaise nouvelle ?

Maman : Malia ma chérie ! Greg à une très bonne nouvelle pour toi !

On retourne à Détroit ? J'vais revoir mes potes ? On se casse de se monde de merde ? J'ai une maladie grave et je vais mourir ?

Greg : C'est tu qui est Lee Bollinger, Malia ?

C'est pas le président j'crois, ni le pape. C'est pas mon géniteur ni un gars de ma famille. Il ne porte pas le nom de Greg donc c'est pas un gars de sa famille non plus. J'pense pas que ce soit un chanteur non plus. J'ai jamais vu son nom à la fin d'un film donc j'pence pas qu'il taff dans le cinéma. Là, je sèche.

Moi : Un de tes clients ?

Greg : En effet ! Mais c'est surtout le président de Columbia ! De fil en aiguille, nous en somme venu à parler de toi. Malia, tu est accepter à Columbia !

Quand est-ce que j'ai demandé à rentré dans une université de gosse de riche moi ? J'ai toujours voulu aller à l'université pour ne jamais avoir la même vie que ma mère et qu'un jour mon gosse dise le contraire. Mais Columbia quoi ! Sérieusement ? L'université où vont tous les gosses de riche recalé à Harvard, Stanford, Princeton ou Yale ! Quand est-ce qu'il font comprendre que mon monde n'est pas le leurs ? Je suis pas faite pour trainé avec des gamins qui son nait avec une cuillère en or dans la bouche et qui s'invente des problème merdique pour faire croire que leurs vie est dure !

Maman : Bah tu n'est pas contente ma puce ? Par contre tu devra rester sur le campus car New York est loin d'être la porte à côté. Mais ne t'en fait pas, Greg s'occupe de tout !

Moi : Heu.. Si, si j'suis très contente. Faut juste que je réalise !

Greg : Réalise vite ma belle, la rentré c'est dans trois jours !

Trois jours ? Trois putain de jours ? Mais j'suis pas prête moi ! Faut que je m'achète le matériel, que je fasse mes valises et tout le tralala. Je me décompose et ma mère le remarque immédiatement. Elle se lève d'un bond et viens se posté devant moi.

Maman : tu à le droit d'avoir peur Malia, c'est normal ! Mais c'est une nouvelle vit pour toi ok ? Ca va bien se passé et tu va t'éclaté. Juste évite de rentré dans une sonorité. Tu disais quoi tout le temps à propos de ta vie futur ?

Moi : Je ne veux pas avoir la même vie que toi donc faut que je fasse tout pour qu'un jour mon gosse dise le contraire. Mais maman, c'est pas mon monde tout ça ! C'est pas moi !

Greg : Maintenant c'est ton monde Malia ! Je suis ton beau père mais je te considère comme la fille que je n'est jamais eu. Et je veux que ma fille sois dans l'une des meilleurs université. Qu'elle vive une vie où elle ne manque de rien et surtout qu'elle sois heureuse !

MAIS TU N'EST PAS MON PERE BORDEL ! TU NE SERA JAMAIS MON PERE ET SE MONDE NE SERA JAMAIS LE MIEN POINT BARRE !

The RockWhere stories live. Discover now