~ Emprisonné dans l'horreur ~

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Hey les gens ! J'espère que vous allez bien :)
On se retrouve aujourd'hui pour le huitième chapitre de cette fanfic, et on est toujours à peu près à la moitié de cette fiction xD

Je ne vais pas spoiler, mais ce chapitre pourrait éventuellement choquer les personnes sensibles. Il n'y a pas de scènes gores, ou d'horreurs détaillées, mais il s'agit d'un sujet sensible et de propos tenus qui pourraient en affecter certains.

N'hésitez pas à me laisser une review pour me donner votre avis, ça me ferait super plaisir :)

Bref, je vous laisse à votre chapitre ^^

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Bonne lecture !

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Chapitre VIII : Emprisonné dans l'horreur.

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J'avançais rapidement sur le bord de la route, perdue au milieu de nul part, enroulée dans mon trench-coat beige, trébuchant toutes les deux secondes, manquant de peu de m'écrouler de tout mon long dans le faussé. La pluie battante qui me tombait dessus se mélangeait à mes larmes, alors que je pleurais bruyamment. Je passais mes mains sur mes joues et me frottais les yeux, marchant aussi vite que je le pouvais, les voitures passant de temps à autre à côté de moi. Ils devaient me prendre pour une folle...

J'étais allé voir après quelques recherches, la famille d'accueil de Hippie : je n'en avais rien tiré d'important, d'après les deux adultes à la tête de ce foyer, il n'était resté là-bas que deux jours au totale, avant qu'il n'aille vivre selon eux chez son oncle. Evidemment, avec les nouvelles informations que j'avais eues, j'avais fait de nouvelles recherches.

J'aurais voulu ne rien savoir, j'aurais dû abandonner...

Même dans mes pires cauchemars je n'imaginais pas de telles horreurs.

Pourquoi je me retrouvais désormais là, comme une conne sur le bord d'une route abandonnée à une heure de Lyon ?

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. ~ Flashback ~ .

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J'avançais dans les couloirs gris du bâtiment, regardant autour de moi, accompagné par un policier. Il n'y avait pas de fenêtre, il faisait sombre et mes pas et ceux de la personne qui m'accompagnait résonnaient dans le couloir, faisant écho. L'endroit était à une heure de Lyon, pas loin de l'autoroute, et si j'étais venue dans un endroit aussi sombre et plein de mauvaises ondes, ce n'était pas par plaisir.

Une histoire à remonter le tempsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant