~Chapitre 8~

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Moi : je pense qu'elle préférerai te voir en train de te reconstruire plutôt qu'en train de te détruire... Bonne soirée.

Après avoir dit ces mots j'ai quitté sa chambre silencieusement sans lui lancer un dernier regard.

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Lorsque j'arrive dans ma chambre, enfin cel de dylan, il semblait m'attendre sur le lit. Dans son regard je comprend rapidement qu'il a tout entendu.

Moi : par pitié ne me dit rien.

Dylan : Lisa tu sais je sens que tu a envie de te confier. Tu sais je ne te juguerai pas.

Moi : crois moi tu le fera. Même intentionnellement. Je pense même que tu partira en courant.

Oui j'ai envie de le confié j'en creve d'envie même... Je n'est jamais pus avoir cet personne à qui on peut tout dire sans avoir peur qu'il le répète à qui que se soit.

Dans la mafia on n'a pas d'ami, seulement des hypocrite qui sont gentil avec soit parce que l'on est la préféré du chef.

Tout ce qui les interressaient c'était de trouver un argument pour me faire tomber de cet place de guerrière.

Avant mes 15 ans les gens ne savais pas qui j'etait, je pouvais donc me permetre de pleure sans retenu.

Mes a partir de cet âge j'ai compris qu'il fallait que je me montre forte et courageuse et que je devais cacher mes larmes.

Ils creuvaient tous d'envie de me voir pleure !

Ce que j'ai vécu personne ne le sais à pars mathias. Même Leo ne savais pas tout.

Ce soir là Maxime n'est pas allé au casino... Heureusement, j'aurais été vraiment énervé et dieux seule c'est que c'est vraiment dangereux de m' énervé.

***

Moi : c'est 150 € du coup.

? : OK tient.

Il me tent un billet de 100€ et de 50€ et je lui tent le petit sachet que cocaïne.

Moi : merci.

Il ne dit rien et se bars en courant.

En retournant à la voiture qui était gare un peut plus loin j'ai longuement réfléchi à la manière dont il est parti. Je suis entre dans le vanne et on est rentré à la base.

En rentrant mathias et leo m'attendais dans le salon. Je leur est rendu les deux billets fière de moi mais à peine mathias les eu dans les mains il m'assema une énorme gifle.

Leo : QUOI ?! Qu'est-ce qui ne va pas ? Elle t'a ramené l'argent non ?

Mathias : ce billet est un faux ! Et elle ne l'a pas vu !

Moi : mais vous ne m'avez pas appris à les reconnaître !

Mathias : et bien espérons que la prochaine fois tu saura le fair !

Il se tourna vers 2 hommes qui n'étaient pas loin et leur dit :

Mathias : emmenez la dans le bâtiment c, elle y restera 3 jours, quand à l'arnaceur trouver le et torture le pour tiré des informations. Si il ne dit rien tuer le et si il parle dite merci et tuer le.

Moi : NON! JE T'EN SUPLI TOUT MAIS PAS LE BÂTIMENT C !

Les larmes me montait au yeux... J'avais peur, j'etait terrorisé.

Mathias : cesse de supliez sa te rend faible ! Et je déteste les faibles ! Tu y restera 4 jours.

Les larmes perlaient sur mes joues pendant que les deux hommes était en train de m'emmenez de force au bâtiment c.

Je me mise à crie et à supplie Leo de m'aider mais il ne pouvais rien faire...

Moi: NOOOOOOOON !!!!

Je me réveille en suheur et mon cœur bas à 100 à l'heure. Dylan est à côté de moi complètement affolé.

Dylan : ce n'est rien ce n'est qu'un cauchemar. Calme toi.

Moi : je... J'ai besoin de prendre l'air.

Il devait être 4h du matin mais je n'en ai rien à foutre. Je suis parti enfiler un jean et une veste en cuire et je suis parti avec une des moto de Dylan sans lui demande. J'ai du rouler pendant une heure pour tenté de faire disparaître ces souvenir sombre.

Mais rien y fait, il sont accrocher à ma peau. Mais la plai  est encore trop profonde pour cicatrise.

Je me suis arrêté dans une forêt et je me suis installer dans un arbre. J'ai attendu la pendant une heure, à regarder les feuille s'envoler avec le vent.

Après cet petite balade nocturne je suis rentré. Il est 6h57 lorsque je pose enfin un pied dans la maison.

Aujourd'hui je ne préfère pas aller en cour. Je suis trop fatiguée pour sa.

Je retourne dans la chambre et je voit Dylan plutôt paniquer qui semble au téléphone. Il se tourne vers moi et son visage se detent. Il semble soulagé. Il me prend dans ces bras en soufflant.

Moi : heu...

Dylan : tu était ou ?! On t'a cherché partout !

Moi : on ?

Dylan : moi et mon gang.

Moi : ah... Ba j'etait dans la forêt sur un arbre en train de médite sur la vie passionnément agacente.

Dyaln : sérieux ?

Moi : ba ouai ! C'est torp mon kif ce genre de truc. Enfin bref si t'avais pas remarqué j'ai passé deux heure dans le froid du coup je suis un peu énormément fatiguée du coup je vais secher aujourd'hui.

Dylan : OK ba je vais resté aussi alors.

Moi : non pars si tu veux sa me va, je saurais me débrouiller.

Dylan : c'était pas vraiment une question.

Moi : j'aurais du m'en douter.

Dylan : au faite Lisa, je tenais à te remercier. Grâce à toi mon frère n'est pas aller au casino hier et sa fessais longtemps qu'il n'était pas rester à la maison le temps une soirée.

Moi : une soirée c'est rien. Je vais esseye de le convaincre pour l'année voir sa vie mais c'est pas gagner. Il est en dépression, il n'a pas réussi à oublier cet histoire avec euh... Comment elle s'appelait ?

Dylan : anais...

Moi : il n'a pas réussi à faire son deuil et je pense que tu ne la pas non plus trop aider...

Dylan : il ne voulais parler à personne... Alors je n'est pas chercher à l'aider. Il était dévasté. Il passait c'est journée dans son lit à pleure et a se lamente sur son sort. Il n'a pas mangé pendant 3 semaine puis il a fait un malaise. Il a passer 2 semaine à l'hôpital mais il ne voulais toujours rien avalée. Et puis un soir il est parti de l'hôpital et il est allé au casino. Il a passé sa soirée la bas. Il est devenu adict et alcoolic par la même occasions.

Moi : c'est compreansible...

Dylan : non ce n'est pas compreansible ! Rien est compreansible ! Il n'a pas le droit de faire sa !!

Moi : si c'est compreansible. Lorsque l'on perd quelqu'un on a envie de se noyer dans quelque chose pour oublier sa peine. Il a choisi de se perdre dans les jeux d'argent, les pute, et l'alcool...

Je me suis noyer dans mes propre larmes après la mort de mes parents.

Et je me suis noyer dans les meurtres... Après la mort de Leo...

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