LA TCHIZA 👅💔

vengeance 🍆👅

#LA_TCHIZA

 
      #Episode_09

  Je roulais à vive allure, si je voyais un membre de ma famille, je serai passer sur lui.  Ces gens m'enervaient.  Pendant que je conduisais, Aïcha m'a appelé :

• Oui Priscille tu es où ?

• Occupée !

• S'il te plait monte me voir, pardon je ne me sens pas bien !

• Tu as quoi ?

• Je ne sais pas, je me sens trop faible, on dirait que je suis enceinte. 

• Ah mama ! Est-ce que la grossesse c'est la maladie toi aussi !

• Non mais j'ai du mal à respirer. 

• Ok.  Je vais envoyer Carla, je ne suis pas là !

• Hum tu es où ?

• Occupé.

• Priscille si tu es entrain d'aller faire ce que je pense à ceux que je pense, fais demi tour. Je te connais, et je sais que tu vas les tuer sans hésiter. 

• Orrr c'est quoi avec toi ? C’est quoi ? Laisse moi ! Tu aimes trop me moraliser merde ! Pour moi si ils meurent ça ne me fera rien au corps.  J’ai failli fermer mon salon à cause d'eux je te dis .

• Mais priscille c'est le passé nor, s'il te plait rentre à la maison avec nous, tout le monde est inquiet ici, ta mère pleure déjà.

• Donc tu es déjà chez moi hein ? Tu n'es même pas malade. 

• C'est pas important.  Rentre on trouvera une solution. 

• Ok mais d'abord je vais faire ce que j'ai à faire. 

     J’ai raccroché et cinq minutes plus tard j’étais déjà à deido.  Je suis descendu de la voiture et j'ai pris le bidon de gasoil.  J'ai escaladé par derrière et j'ai commencé à verser le gasoil partout à l’arrière, je suis allé devant et j'ai versé même sur la véranda, sur les murs,  même sur les herbes.  J'ai béni leur maison.   Au moment où je voulais allumer le briquet pour finir avec eux, il ne s’allume pas, j'ai essayé mais rien n'a donné. 

  J'ai commencé à penser à mon père, je ne savais pas pourquoi je pensais à lui à cet instant.  Quelques minutes plus tard, je me suis résolu à ne pas les brûler, l'image de mon père me revenait trop.  J'ai commencé à trembler et avoir des palpitations comme quand j’avais vu ma boutique cambriolée.  C’était la deuxième fois que ça m’arrivait.   Je me suis mise à pleurer et à parler seule :« pourquoi tu ne veux pas me laisser tranquille hein, papa sort de ma tête s’il te plait, vas t-en.  Pourtant j'ai toujours été gentille avec eux, mais eux ils veuillent me tuer, pourquoi ? Je n'ai pas déjà assez souffert comme ça ? Si tu m’aimais vraiment tu allais me laisser les brûler vif, ça m’énerve vraiment tu ne peux pas savoir.  »

  Pendant que je parlais mon oncle est sorti , avec la bougie, on a coupé la lumière.  Il criait :« Qui est là ? Hein qui est là »
• C’est moi monsieur et si j’étais toi, j'eteindrai cette bougie toute de suite.  J'ai imbibé votre maison de gasoil donc si tu veux mourir jette la au sol. 

• Ehhhh nyango ! Pardon arrêtes ! Quest ce qu'on t'a fait ? Werrr

• Vous avez cassé et volé mon salon ! N'essaye même pas de nier.  Ouvre cette porte !

• Non nyango je ne peux pas te laisser entrer. 

     Je suis arrivé vers lui et j'ai cogné tellement fort qu'il était obligé d’ouvrir.  Je suis entré dans la chambre de ma cousine , elle dormait.  J'ai torché à l'aide de mon téléphone et elle avait mes perruques.  J'ai ramassé tout ça , je  suis entré dans la chambre de ma tante j'ai porté tous mes produits.
   Je suis sorti avec tout, et j'ai jeté ça au sol, j'ai versé le gasoil dessus et j'ai allumé le feu.  J'ai dis à mon oncle :« Si j'étais à ta place, j'eteindrai ce feu parce que quand ça va prendre de l'ampleur, ça brûlera toute la maison, et vous allez prendre feu.  Chose qui ne me déplairait pas»