Chapitre 30

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Vous pensez quoi de la nouvelle couverture? Belle ou pas??
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Chapitre 30

*Harry*

Nous étions dehors, sur un trottoir et nous attendions depuis un moment qui me semblait interminable. Personne ne semblait savoir ce qu'il se passait, même les agents de la police ne comprenaient rien. Tout de même, ils faisaient leur boulot. Ils avaient reçu des ordres et ils les exécutaient sans rien dire. J'en avais assez de ne pas me faire dire la vérité. Ils nous cachaient quelque chose et cela paraissaient. Ils n'étaient peut-être pas au courant de tout, mais ils savaient en gros ce qu'il se passait et j'étais écœurer qu'il me cache des choses. Aucun garde du corps n'avaient quitté le bâtiment depuis que Sky nous avaient fait décampé. Si certains étaient sortis pour escorter les vedettes en toute sécurité et étaient resté dehors jusqu'à l'arriver des policiers, ils étaient vite rentré à l'intérieur en vitesse. J'avais beau ignorer ce qu'il se passait, je savais que c'était bien plus gros que tout ce qui pourrait ce passer dans un film d'action. Principalement parce que ce qu'ils essayaient tant bien que mal de cacher à tout le monde était extrêmement sérieux et surement dangereux, à en juger par les pompiers qui sont arrivés, il n'y a pas si longtemps. Y avait-il un feu à l'intérieur? Bien sur que non, sinon les pompiers seraient déjà au travail et tous les gardes du corps auraient quitté le bâtiment.

Sky allait-elle bien? La seule pensée qu'il pourrait lui arriver quelque chose me rendait fou. Je me faisais un sang d'encre pour elle. Pour sa sécurité. Pour sa vie. Elle avait beau m'avoir rejeté devant tout le monde et m'offrir une claque en signe d'adieu, je l'aimais encore et je l'aimerai toujours et à jamais. Une chose est sûr, elle m'avait faite ces adieux, mais ja n'avais pas fait les miens et il était hors de question que je les fassent. Plutôt mourir que de la laisser filer entre mes mains.

Les garçons avaient l'air aussi paniquer et inquiet que moi, mais personne n'osait parler. Les vedettes encore présentent sur le trottoir en face de l'hotel se faisait bombarder de flash et de lumières. Elles étaient non seulement en larmes ou prisent de peurs, mais aussi étaient-elles aveuglés par les caméras des paparrazzis. Nous de même, toute les célébrités y passaient. C'est à croire qu'ils n'ont aucun scrupules. Ils continuaient et continuaient toujours et encore a appuyer sur le bouton de leurs appareils, s'émerveillant quasiment de voir autant de stars attrister par un événement ruiné. Personne ne comprenait ce qu'il se passait, mais tout le monde avait peur. C'est bien normal, puisque la peur est humaine.

Énervé par ce nombre si grand de personnes irrespectueuse, je ne pus contenir ma colère. C'était comme si à chaque secondes que je restais là à les regarder sans rien faire, le monstre à l'intérieur de moi avait de plus en plus de difficultés à ce retenir. Je fus donc la chose la plus idiote que j'ai dus faire dans ma carrière; je me suis agripper à la veste d'un de ces arrogants, le retourna sur lui-même de sorte qu'il soit devant moi et que nous soyons face-à-face et je lui apportai mon poing à la figure. Un petit bruit aiguë se fit entendre et tout devint silencieux.

Se silence encombrant me fit reprendre mes esprits et je me couvris le visage de mes mains recouvertes de sang, lâchant du même coup le photographe à qui j'avais fait du tord et les paparazzis présents se fit une joie de prendre des tonnes de clichés de mon acte violent. Je ne savais point quoi faire. Moi-même, j'étais sous le choc de mon propre comportement. Je venais de commettre l'irréparable, c'était impardonnable. Je voulu me retourner et monter dans la limousine avec les garçons pour pouvoir enfin rentrer à l'hôtel et finir cette atroce soirée, mais la vie en décida autrement. À ce moment précis, un énorme bruit se fit entendre et une force invisible propulsa tout le monde par terre.

Les gens ont d'abord criés, prient par surprise et puis nous avons tous eux le même réflexe; regarder derrière nous la source de cet étrange événement. Mon être se fondis dans l'horreur de l'image à quelques pas de moi.

L'hôtel où l'événement avait lieu, juste au bout de la rue, était recouvert d'un énorme et épais nuage de fumé noir, tandis que des flammes dominantes d'orange se propageaient à chaque étage, sans manquer aucun recoin. Faisant de la probabilité d'avoir survécu à un tel impact impossible ou du moins presque quasi-impossible.

Moi: SKYYYYYYYYYY!!!!!!!!
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C'était Harry! Yeah!!

Qu'en avez-vous pensés? Que pensez-vous qu'il va arriver??

À suivre... ;)

Sasajada

Garde du corps au fémininOù les histoires vivent. Découvrez maintenant