Chapitre 14 : Einstein.

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La jeune femme regarde timidement le numéro de la chambre de l'Anglais. 

- C'est dans ma valise. Dit-il rapidement. 

- Oh, vous m'en voyez rassurée. 

Elle sourit un peu. L'auteur ouvre la porte de sa chambre et entre rapidement dans sa valise, ne souhaitant visiblement pas s'attarder. Diane referme la porte et entre à son tour dans la valise. L'homme a déjà retiré son manteau et sa veste. 

- Venez par ici, vous allez les adorer. 

Il sort de ma cabane et se dirige vers le terrier du Niffleur. Diane le suit, lentement, regardant émerveillée les animaux. Elle arrive finalement à côté du magizoologiste et s'assied à côté de lui. 

- Il a encore fait une bêtise? Demande-t'elle amusée. 

- Je ne pense pas que vous le considérez comme une bêtise quand vous allez voir. Einstein! Vient ici! 

Une petite boule de poils grise arrive à la sortie du terrier et Diane lâche un petit cri, émerveillée.

- Oh par toutes... Il est adorable! 

Newton sourit et lui prend la main pour y déposer le bébé Niffleur. 

- Quel âge-a-t'il? Demande Diane. 

- 1 mois... Ce sont encore des bébés mais ils sont insupportables. 

- Ils sont? Il y a plusieurs bébés? 

- Bien sûr! Mais je n'ai pas encore de noms pour les autres. 

- Je pourrais vous y aider! 

Newt sourit et la regarde alors qu'elle caresse le bébé. 

- Tu es adorable, tout simplement adorable. 

Le bébé couine et s'allonge sur sa main en s'endormant. 

- Il fait souvent ça, ça veut dire qu'il se sent en sécurité. 

- J'en suis flattée alors. 

Elle le regarde et semble surprise. L'Anglais semble beaucoup plus épanoui, entouré de ses animaux. Ça ne l'avait pas frappé à New-York, c'était peut-être juste le mal du pays. Mais là, à Paris, il semble bien et dans sa valise... Elle le voit se mettre à rougir. Diane l'interroge du regard. 

- Pourquoi me fixer...? 

- Oh, désolée... J'étais... Perdue dans mes pensées. 

Newt acquiesce et se relève. 

Je Suis Tellement DésoléeWhere stories live. Discover now