RIVERDALE [[Sweet Pea]]

Chapitre 8

PDV Sweet-pea :

J'arrive au lycée, mon message d'hier a dû faire son effet. Thylaine comprendra quand j'aurai gagné ce petit jeu. Toni me regarde arriver, et je lui fais un hochement de tête en retirant mon casque. Elle semble être tendue Probablement à cause de la rouquine. En retirant les clés du contact, elle s'approche vers moi en secouant la tête.

-Tu vas vraiment le faire Sweet ?

-Oh que oui.

Je lui souris légèrement et m'avance. Je n'ai pas encore une clair idée de comment se terminera le jeu, mais c'est terriblement amusant. Quand je vois les boucles blondes, j'ai un début de sourire puis je vois les cheveux roux de l'autre bulldog. J'ai un peu les nerfs qu'il soit déjà en train de la serrer et ensuite de la secouer.

Je monte les marches deux par deux, les gens s'écartent. Bats-les pattes le rouqin, c'est mon nouveau jeu. Je le regarde de haut, je glisse une main sur ses hanches, et je retire celle de son ami.

-Arrêtes-ça. Ordonne-je avec une voix sérieuse.

Elle se crispe sous ma main. Elle soulève son menton pour me regarder, et ces deux petits yeux taquins prennent une teinte de crainte et de surprise.

-Sweet-pea, je...

Oh, hors de question que je te laisse dire un seul mot à cet instant princesse. Je glisse ma deuxième main dans ses cheveux puis j'atteins sa nuque. Elle ne bronche pas quand je l'embrasse. Elle reste ballante dans mes bras pendant les premières secondes puis elle s'accroche à mon bras. Je stoppe le baiser et murmure.

-Bonjour princesse.

Elle reste muette. Elle cligne plusieurs fois des yeux et ouvre la bouche sans rien dire. Point pour moi. Sa seule action c'est de serrer ma main, et d'y glisser ses doigts. Je fronce a mon tour les sourcils et regarde ses petites mains toutes fines et douce. Ses mains sont si petites dans les miennes. Elle me regarde avec un léger sourire en coin, et elle comprend que je ne suis pas à l'aise avec les contacts physique, autre que dans les combats. Egalité.

-Archie, je te laisse je dois avoir un discussion.

Elle me tire par la main et je la suis. Je regarde fièrement le roux qui semble être légèrement jaloux. Puis je reconcentre mes pensées sur ses deux petites fesses qui sont devant moi. J'en ai marre de me faire trainer, alors je stoppe sa course- -facilement- et l'attire vers moi.

Elle trébuche en mêlant ses propres jambes, et s'écrase contre moi. Elle recule presque instantanément.

-Mais tu n'es pas bien ? demande-t-elle avec une voix enrouée, presque.

-Je vais parfaitement bien.

Elle lève les yeux au ciel. Elle m'insupporte à faire ça, ça la rend encore plus mignonne. Je la regarde, elle marche d'un bout à l'autre du petit patio dans lequel elle nous a mis. Plus je la regarde et plus je me dis qu'elle est belle.

-Ecoute, je conçois que tu sois frustré à propos d'hier, mais...

-Frustré ? J'explose de rire et elle me regarde, les bras croisés sur sa poitrine. Pourquoi je serais frustré ?

-Parce que... j'en sais rien, tu pourrais l'être parce que hier je... J'ai... on...

Elle s'arrête et fais des signes de mains. Elle ne veut pas dire ce qu'il s'est passé.

-Quand tu m'as embrassé sans aucune raison ?

Elle rougit aussitôt. Elle est gênée et ferme les yeux pour se cacher. Princesse est sans doute téméraire mais pas dans l'extrême.