S'affrontent le regard d'une si belle museEt celui plus discret d'une âme qui refuse
De renoncer encore à l'objet de ses songes
Feindre l'indifférence, quel ignoble mensonge !
Quand tremble tout son corps devant chaque
parure,La finesse des traits qu'il voudrait en peinture,
Prennent alors la fuite les dernières convenances
Ô belle âme libérée, goûte à la Renaissance
De t'avancer enfin vers cette peau d'albâtre
Que caresse un fin drapé d'Italie blanchâtre
Pour enlacer la taille de cet ange déchu,
Et découvrir alors qu'elle n'était que statue...
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Ces maux qu'on ne dit pas
Poetry« L'amour ? Le manque ? Le bonheur L'impuissance ? La tristesse ou la peur ? Vous connaissez, n'est-ce pas ? Vous les avez connus, un jour. Ou une nuit. Ou une vie. Alors, vous comprendrez. » Laisse un mot. Un vote. Un rire. Une larme. Ce que tu as...