Destiny

sorry not sorry

La nuit a été agitée pour Éric, il se lève et regarde sa montre posait sur la table de chevet. Il est encore 5 heure du matin. Pourquoi rêve-t-il de la directrice d'hôtel? Merde il ne sait même pas son nom.

Il prend le téléphone et appel à la réception, une douce voix se fit entendre.

- Hôtel Daïsaï,  bonjour.

- bonjour, je voudrais savoir si le gym est ouvert?

- bien sur monsieur. Mais il n'y aura aucun coach sportif à cet heure... l'informe la réceptionniste.

- c'est pas grave. Merci.

- de rien monsieur. A vôtre service.

Il raccroche, c'est bien il pourra se défouler un peu. Il enfile un short de sport et son débardeur fétiche, sort de la suite en mode furtif pour ne pas éveiller ces deux abrutis.

Il descend les escaliers pour s'échauffer. Il traverse une vaste séjour et pousse la porte du gymnase.
Il ne s'attendait peut être pas à ce que ce soit aussi grand,  séparer en deux partie. Il se dépêche d'aller vers les machines de musculation mais s'arrête en regardant droite devant lui au fin fond de la pièce une silhouette se dessine.

Elle est de dos mais à voir ses atouts physique, il ne mit pas longtemps à comprendre que c'est la directrice. Qui ne remarque pas des fesses aussi bondis et des jambes aussi canons.

Il se mit presque à se gifler mentalement, lui qui est venu avec l'espoir de l'effacer de sa tête et voilà qu'elle est là devant lui en tenu moulant, son legging et son petit soutif sportif. Il se retourne et prit la direction du tapis, il fallait qu'il court un peu.

Mais il ne pu s'empêcher de la regarder alors qu'elle se courbe en avant. Ne l'a-t-elle pas entendu rentrer?

Il l'observe attentivement oubliant de faire ses exercises. Elle écarte les jambes et se met à se pencher plus en avant. Des idées pas trop catholiques commencent à affluer dans sa tête.
Il se voit derrière elle, ses fesses contre son engin. Ses mains caressant  son dos et les mouvements sont brutaux, il bute contre ses fesses alors qu'elle gémis.

Manquant de se renverser sur le tapis, il s'arrête et détourne les yeux. Merde son penis est dressé et il essaye de décompresser, il inspire puis expire. Ça marche pas.

Bon il doit essayer autre chose, à l'opposé d'elle, pour ne pas la voir. Il traverse la pièce et se concentre sur le sac de boxe. Il prend un pair de gants et l'enfile. Il commence à taper dessus quand du coin de l'oeil, il croit l'avoir vu bouger.

Elle est à fond sur la musique bien sur il n'y a qu'elle qui peut l'entendre. Elle  aime bien venir la le matin, il y a personne et c'est bien car déjà d'une, elle est une fille donc pas c'est pas trop bien vu ici et de deux, elle peut s'entraîner comme elle veut.

Elle finit ses exercises et son stretching, direction le sac de boxe mais en se retournant elle l'aperçu, mais bordel qu'est-ce qu'il fout la a cet heure?

Mine de rien elle se déplace et continue de le mater. Quand meme il   n'a rien perdu pendant tout ces années. Il est toujours aussi sexy et son cul est toujours d'enfer. Elle enfile des gants et vient se placer à sa gauche. quand le gars se retourne vers elle. Elle le regarde dans les yeux, ces même yeux qui l'avait fait chavirer des années auparavant.

Il l'observe, son corps dégouline de sueur mais putain qu'est ce qu'elle est sexy. En plus jamais auparavant une femme ne lui avait fait tant d'effets. Il se mit à coincer son engin entre les jambes, marquer plus qu'elle le remarque.

Elle s'arrête un instant, retire ses écouteurs et se lance.

- Bonjour Éric.

- bonjour répondit-il. Mais perplexe comment connaît elle son nom. Mademoiselle...?

- c'est bon tu ne me reconnais pas...

Éric semble réfléchir, embrouiller même. Réfléchissant merde il n'aurait pas pu oublier une femme comme ça.
A moins que ce soit lor d'une soirée bien arrosé.

- non, pas vraiment. Mais ton visage me dis quelque chose.

Elle baisse la tête. Mais à quoi pense-t-elle, que le grand sexy Éric se rapellerai de l'insignifiante petite Heather. Elle se sent humilier enfin du moins elle seule connaît ce sentiment.

- tu me donnes un indice, fini par demander Éric.

Heather lève sa tête et lui fit un sourire digne d'une hypocrite et lui montre un doigt, le majeur et réplique "kaboom".
Elle prend la direction de la porte, marchant tout droit et fière.

Éric est sous le choc, il n'arrive pas à  croire ses yeux.
Ne lui dite pas que c'est elle, la collante du lycée. Enfin la mocheté donc tout le monde se foutait. Non mais dite lui qu'il rêve.