"chez moi on dit qu'au fond du trou jette un homme, il ressort avec une arme."
N A M I R A
Moi - Il est revenu après 4 mois de disparition, et toi tu débarques aussi, j'pensais que ça n'était pas une coïncidence.
Zahid - Je suis simplement revenu d'où je viens.
Mais oui, j'avais raison.
M E N N E N
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Je me tenais assis dans un hangar, avec mon acolyte Kazim.
Kazim - Kho (frère) tu nous a foutu dans un bourbier putain !
Moi - Mais non, on va vite s'en sortir sahbi (mon pote) laisse moi gérer.
Kazim - J'vais pas passer toute ma putain de vie à fuir pour toi ! Assume tes conneries wesh !
Moi - On bouge à Cancún, mais avant ça... On va leur prouver qu'on a pas peur d'leur menaces.
3 jours plus tard.
Nous étions tous les deux cagoulés et gantés dans une voiture aux vitres teintées. Il ne manquait plus que cette option pour qu'ils nous lâchent. A l'ancienne, j'avais douillé le cartel (gang) de Belgique en leur volant une somme très importante d'argent ainsi que d'la drogue pure.
Depuis ce jour, j'suis sûrement le plus recherché de Belgique, alors j'fais des allers-retours dans tous les pays possibles, j'reviens quelques fois d'où je viens pour voir ma mère que j'admire réellement.
Kazim m'a fait un geste de la main pour me dire de sortir. On a foncé pour ne pas se faire remarquer, j'ai encerclé un hangar d'essence pour qu'ensuite Karim enflamme l'essence, ce qui fit brûler en une fraction de seconde cet hangar rempli de drogue qui appartenait au clan ennemi.
N A M I R A
22h30
Je me tenais assise face à Zahid qui me racontait ce qu'il était devenu. Adel pensait que Zahid était un client ordinaire, alors il ne m'avait pas embrouillé sur le fait que je restais un peu en sa compagnie.
Zahid - Et toi depuis que je suis parti tu deviens quoi ?
Moi - Bah comme tu vois pas très grand chose, j'ai eu mon bac, je travaille tous les matins avec ma mère au marché et je suis au Molenbar les soirs.
