Monster/BlackButler

Chapitre 4 : Vivre dans l'ombre.

Cela va faire un peu plus de deux jours que je suis au manoir. Autant le dire tout de suite : je m'ennuie énormément. Il est vrai que j'ai pus récupéré mon portable, ce qui, en soit, était déjà un bon point, le seule hic est qu'il ne me servais presque à rien à part jouer à des jeux ennuyant. Mon inspiration c'est fait la malle ; résultat, je n'écrivais plus rien et ça m'agace assez. Il n'y a pas de télévision ici et Ciel passe ses journée enfermer dans son bureau, ne me faisant la conversation que pendant le repas du soir. Sebastian est toujours coller à Ciel et ses serviteurs ne me parle jamais ! Même l'hôpital me semblait moins nul.

Je marche calmement dans les immenses couloirs du manoir, soupirant de désespoir. Mes parents me manque, mon téléphone me manque, mon inspirations et, tient, ma liberté ! Étonnant non ? Ciel m'a sauvée la vie et je lui en suis reconnaissante d'ailleurs, mais ne m'avait-il pas dit que nous étions une famille ? Je croit que nous n'avons pas la même définitions de ce mot.

~

L'après-midi touche à sa fin lorsqu'un blond habiller d'un costume mauve élégant ouvrit les portes du manoir en criant le nom de Ciel à tout va.

- Excuser moi, je peut vous aider ?
Vivement,il se tourne vers moi et me secoue comme un cocotier.

- Oui ! Je cherche Ciel !
Il hurle dans mes oreilles.

- J'ai cru comprendre. Je me défait de son emprise. Et pourquoi diable le cherchez vous ? Je demande agacée de le voir courir partout.

- Mon stupide de majordome n'est pas rentré et la dernière personne à l'avoir vue est cette idiot ! Il hurle et s'arrache les cheveux.

- Et qui est votre majordome ? Je demande en tapant du pied.

- Qui tu me demande ?! Mais c'est Claude ! Le plus merveilleux de tout les majordomes, le plus beau, le plus grand ! Il me répond des étoiles pleins les yeux. Il m'énerve, je ne l'aime pas.

- Et bien vous voyez bien qu'il n'est pas la ! Ciel est occupé, alors si vous voulez bien vous dirigez vers la sortie.. Je le pousse légèrement vers les portes du manoir, aillant perdue le peu de patience qu'il me restais. Sauf que cette idiot me donna un coup d'épaule qui me fit valser contre les portes.

- Hors de question que je parte sans Claude ! Et ce n'est pas une domestique comme toi qui va me dire se que je dois faire ! Petite impolie ! Hein ? Je rêve ou il vient de dire que j'était une domestique ?! Je me relève, n'en pouvant plus de cette homme énervant.

- Non mais je rêve ! Je suis pas une domestique, merde ! Est ce qu'on en parle de VOTRE impolitesse ?! On FRAPPE à une porte avant d'entré, et on attend que l'on vienne ouvrir ! Sans m'en rendre conte, mon poing partit vers le mur.

- Et qui est tu si tu n'est pas une domestique ! Que fait tu la ! J'allais lui répondre quand Ciel arriva Je pousse un soupire de soulagement. Il peut arrangé la situation maintenant.

- Tu parle à ma fiancée Alois, alors si tu pouvais la traiter comme il se doit, cela serais parfais. Hein ? Attendez, quoi ??

- Elle ? Ta fiancée ? Laisse moi rire ! On la croirais tout droit sortie d'un asile ! Sur le coup il n'a pas totalement tord.

- Au pire, je t'emmerde le blond. Je répond du tac au tac. Il me regarde, les yeux grand ouvert, l'air ahuris. Je lève un sourcil, fière de lui avoir bouclé la bouche.

- Comment ose tu.. Doucement il s'approchait de moi, prêt à m'étrangler. Mais c'est sans compter Ciel qui me pris le bras pour que, en plus je sois en plus dans ceux-ci. Mais qu'est ce qu'il branle au juste ?

Je ne vais pas dire que ça me dérange forcément hein, mais j'aurais préféré qu'il m'explique le pourquoi du comment d'abord !

- Alois, je te prierai de bien vouloir ne pas manquer de respect envers ma fiancée. Et, entre nous, le sortis d'asile serais plus toi, dans cette situation. Alors maintenant, tu va sortir d'ici et ne plus revenir sauf si je te le demande, s'est à dire jamais. Les yeux du malade se remplirent peut à peut de larmes.

- Mais Ciel.. Claude a disparus ! Je me sens seul, il n'est plus là que vais je faire ?!

- Je n'en sait strictement rien Alois et honnêtement j'en ai rien à faire, alors maintenant en revoir. Sebastian apparue comme pas magie et emmena notre inviter surprise dehors.