dark mind {chanbaek}

CHAPITRE 9

Je me réveille en sursaut dans le lit, quelque peu déboussolé. Ma respiration est coupée et je n'arrive pas à laisser l'air envahir mes poumons. Ma respiration ce fait donc sifflante alors que je me lève, personne n'est à mes côtés. Essayant de me tenir aux quelques meubles et aux murs de la pièce j'avance jusqu'à la porte ouverte. Mais très vite mes jambes me lâchent. Je griffé le sol comme pour avancer alors qu'une douleur au cœur me paralyse. Ma tête me brûle et mes membres sont pris d'une soudaine douleur. Dans un dernier souffle, je laisse un léger cri franchir mes lèvres sèches. Mais malgré ça je ne sombre pas. Je continue de souffrir en silence. Quelques secondes plus tard qui me semblent être des heures, je commence à sentir mon sang pulser dans mes veines alors que je serre les dents. Avec une dernière poussée d'adrénaline je prend un objet non loin avant de le lancer dans le salon, celui ci se brisant en un bruit strident. Quelques instants plus tard des pas précipités ce font entendre. Je continue de respirer bruyamment entre mes dents serrées. Je vous L'ai arriver en courant vers moi avant de me prendre par les épaules. Je vois ses lèvres bouger mais je n'entend rien. Seulement un sifflement continuel. Mes mains sont serrées sur ses avant bras alors que je le regarde dans les yeux. Des pics de douleur me tiraillent le cœur. Complètement paniquée, Kai me prend dans ses bras avant de courir le plus rapidement possible vers la sortie. Il cour dans les rues alors que ma respiration ce fait de plus en plus brillante. Quelques minutes où je souffre le martyr plus tard, nous nous retrouvons devant un grand bâtiment.nosu entrons alors que je plante mes ongles dans ses épaules en grognant de douleur, balançant ma tête en arrière. Ma vue est le seul sens qui est opérationnel, je n'entend rien, ne sens rien, juste cette douleur. Ma vue ce fait plus floue alors que je me sens déposer sur une surface molle. Je m'accroche au barres de lit alors qui réel cri de douleur fait vibrer ma voix. Je sens en suite soudain des mes mains se positionner dans ma nuque. Je repousse la personne d'un force qui m'était inconnue en continuant de chercher quelque chose qui pourrait m'aider. Une piqure ce fait ensuite sur mon coup alors que je me tend brutalement. Un sifflement brutal ce fait dans mes oreilles alors que je plaque mes mains sur celles-ci. Mes sens me revenant peu à peu. La piqûre qui m'a été administrée fait ressurgir d'horribles souvenirs.

Tout défilé devant mes yeux noirs de terreur, confondu dans mes larmes. Les rires, les lames, les piqûres, la douleur, la souffrance.

Mais tout cela est couper par des éclats de voix soudains. Tout s'arrête lorsque je sens d'un coup de grands bras chauds s'attacher à moi. Je suis coller au torse de cette personne. Je ressens les battements du cœur de cette personne.

Chanyeol ? Je demande, apeurer.

Un torant de larmes dévalé mes joues lorsque celles-ci sont prise en coupe. Le visage de Chanyeol apparaissant sous mes yeux. Automatiquement mes lèvres se détendent alors que m'accroche à lui a criant mes sanglots. Il me chuchote des mots doux en me serrant toujours plus. Seulement ma respiration elle ne veut pas se calmer.

Une seconde voix que je reconnais résonne dans la salle.

Il ne se calme pas comment on fait !? Dit Kai, complètement alarmé.

Je dirige mon regard vers lui. Quand nos regard se croisent, je vois son regard s'illuminer.

Euh... Lay, Suho chantez ! Crie kai. Tous se retournent vers lui avec de grands yeux. Vous dites qu'il ets comme un enfant perdu ! Et quand nous étions jeunes et perdus qu'est ce que faisait nos parents !? Demande Kai précipitamment.

Je sens un pique de douleur me reprendre alors qu'un léger gémissement sors de mes lèvres. Immédiatement je vois le visage de Lay se poster devant moi. Je tend ma main vers lui, complètement apeuré. Chanyeol m'allonge tous en restant à mes côtés, un de ses bras soutenant sa tête et l'autre sur ma taille. Lay vient passer délicatement sa main dans mes cheveux avant que sa voix ne vienne éclairer l'ombre dans mon esprit.