𝐏𝐑𝐄𝐅𝐄𝐑𝐄𝐍𝐂𝐄𝐒 ― ᴹᵃʳᵛᵉˡ ✓

Votre 1er "je t'aime"

Steve Rogers :

Tu étais chez Steve et pendant que celui-ci prenait une douche, tu l'attendais dans la cuisine, sur ton téléphone avec une tasse de café. Depuis un petit moment, tu avais envahie son appartement sans même habiter avec lui. C'était quelque chose dont vous aviez parlez mais pour le moment, tu préférais garder ton chez toi. Sait-on jamais.

Faisant défiler la page d'accueil de ton instagram, tu n'entendis pas Steve arriver derrière toi. Il posa sa main sur ton épaule, te faisant sursauter si violemment que tu en lâchas ton téléphone. Ça le fit rire alors que tu marmonnais.

-Tu râles encore. Te dit-il en se servant une tasse de café.

-Comment ça ''encore'' ? Et je ne râle jamais.

-Ah oui ? Il se pose contre le plan de travail et te fixe. C'est qui, qui a dit hier « bon sang Steve, tu ne fais jamais le ménage chez toi ? » ou encore « J'en ai marre de faire la vaisselle »

-Oui bon peut-être mais c'est pas tout le temps.

-Au moins trois fois par jours. Se moque t-il et tu grognes en baissant la tête. Mais, c'est comme ça que je t'aime.

Tu te figeas en entendant ces mots. Tu relevas la tête dans sa direction pour le voir rougir et détourner les yeux. Tu souris, te levas avant de fondre sur lui pour l'enlacer.

-C'était niais, hein. Te dit-il et tu ris.

-Non, c'était mignon. Tu l'embrasses. Moi aussi, je t'aime Steve.

Bruce Banner :

Tu n'avais pas revu Bruce depuis votre première fois il y a deux semaines. Tu n'avais aucune nouvelle et cela t'inquiétais. Tu te demandais si c'était de ta faute ou s'il ne voulait plus te revoir. Si c'était le cas, il aurai au moins pu avoir le courage de te le dire au lieu de t'ignorer.

Et puis, ce n'était pas comme si tu n'étais pas amoureuse de lui. Maintenant que tu l'aimais, il n'avait pas le droit de partir comme ça, sans rien dire. Comme tu connaissais son lieu de travail, tu t'y rendis après le boulot.

Bien sûr, à l'accueille, la secrétaire n'a pas voulut que tu montes dans les laboratoires. Il fallait une carte de visite ou l'approbation d'un des scientifiques. Hors, ce n'était pas le cas, ce qui t'énerva encore plus.

Tu fis alors le pied de grue devant le laboratoire, faisant les cents pas sur le trottoir pour te réchauffer. Tu regardais ton portable toute les trente secondes, espérant avoir un message de Bruce mais rien du tout.

Vers onze heures et demi du soir, le scientifique sortit enfin du laboratoire et se dirigea vers le parking ou sa voiture était garée. Qu'elle ne fut pas sa surprise de te voir, assise contre la carrosserie de sa voiture, endormie. Bruce se sentait à la fois honteux et gêné.

-[Y/N] ! Il te secoua et tu te réveillas en sursautant. Hey, tout va bien.

-Bruce...

-Salut.

-Salut ? Tu te levas, soudainement bien réveillée. Tu m'ignores pendant deux semaines et là, tout ce que tu trouves à me dire c'est : « salut » ? Tu n'es pas sérieux.

-Euh...qu'est-ce que tu aurais aimé entendre ? Te demanda t-il de sa voix douce.

-Rien laisse tomber. Tu reprends ton sac à main. Si tu ne veux plus qu'on sorte ensemble, il fallait me le dire tout de suite Bruce et non m'ignorer comme tu l'as fais. J'ai...je suis déçu, je ne te pensais pas comme ça. Il resta silencieux. Pourquoi ?