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Après une douche, qui le requinqua vivement, il se dirigeait affamé, vers la cuisine. Après plusieurs, fouilles infructueuses, Akihito se décida à préparer le dîner, en soupirant.

Plus d'une trentaine, de minutes plus tard de brûlure, et de regret dût aux oignons. Il s'assit a la cuisine, et pris ses couverts, l'eau à la bouche.

Deux heures plus tard, Asami arriva. Akihito lui était trop occupé, a déguster un repas maison, qu'il n'avait pas eu depuis des lustres. Mais il fut sortie, de son répit lorsqu'Asami passa, une main dans ses cheveux. Akihito se retourna en se levant, aussitôt vers son aîné et enchaîna:

-Je veux rentrer chez moi.

Asami se contenta, de retirer sa veste, en répliquant :

-Oublie cette idée.

Il fut coupé dans son élan, Asami avait l'air d'humeur différente, et fatigué. Il partie vers la chambre, sans un mot de plus. Akihito se sentait, encore plus frustré et repris, son repas énervé. Son plat finit, il se dirigea, vers la chambre, pour parler a nouveau a Asami.

Mais retrouva, celui-ci déjà endormie, résigné il décida de se coucher, sur le divan a côté en soupirant. Mais essayant, de prendre un oreillers,  Asami l'attira rapidement, et il fut contraint de s'allonger, contre son torse.

Légèrement rouge, il essaya de s'échapper de son étreinte, mais rien. Décidément, il n'avait plus beaucoup de force ces temps-ci .

Il abandonna, après s'être tortillé en vain, et décida de dormir, demain il chercherait un moyen, de s'enfuir. Et d'une façon, ou d'une autre il réussirait, a partir.

Il était hors de question, qu'il reste enfermé dans, cette appartement, toute sa vie. Il fallait fuir, et vite avant de s'y habituer.  Même si sa signifiait, ne plus jamais rester, dans les bras d'asami. Son coeur se serra a cette idée, et il enfouies son visage, encore plus profondément, dans sa poitrine et inspira.

Le Matin il se réveilla, dût au soleil, qui l'eblouissait vivement. il s'etira grandement, et se dirigeait vers le salon, y trouvant Asami, au téléphone très irrité. une fois, son appel terminé, il dit :

-je ne veux, en aucun cas que tu sorte aujourd'hui, ni même cette semaine.

Puis il sortit, en vérifiant son portable, sans rien ajouter. Akihito soupira lasse il aurait, été étonné de recevoir un 'bonjour comment a tu dormis'

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Deux jours plus tard, Asami n'était toujours pas revenus, depuis leur dernier échange.  Après mainte, et mainte réflexion, sur la stratégie a suivre.

Akihito mis son sac a dos, des adidas, un sweat-shirts blanc, sous un blousons bleu, ainsi qu'un jean. il pris une arme dans la table, de chevet d'asami et se précipita, au salon pour tirer deux fois vers la dalle .

Comme prévus, l'armoire a glace, arriva tout aussitôt. Il surgit de sa planque, derrière lui, et réussit a l'assommé avec, un vase qui se brisa sur son crâne.

il sortit, tout aussi rapidement paniqué, de peur de ne pas, avoir réussit a l'envoyer dans, les paumes et se mit a courir vers l'ascenseur.

Après avoir pris un taxi, a la hâte il Arriva chez lui et pris, son sac ses papiers et quelques économies. Puis Sortit de son appartement, toujours hâtif le coeur serré, et arriva dans la rue.

Pour se diriger, vers la gare, il voulant d'abord  quitté la ville, pour s'éloigner le plus possible, de l'emprise d'asami. Travailler un peu, pour gagner assez d'argent pour, par la suite quitter le pays dès, que possible. Et peut être revoir Yuki.

Pourtant, dès qu'il réussit a enchaîné, quelques mètres, vers sa destination, Des hommes, en noir l'encerclèrent.

Pris de panique il crut, d'abord que c'était, ceux d'asami, mais reconnus bien, après les hommes de Daniel. Lorsque son corps se figeat, et que des frissons lui parcouraient l'échine. il  sûs que c'était, un coup foireux, et se mit a courir, le plus vite possible.

Akihito se faufila dans toute, les issus possible, le coeur battant pour échapper a ce malade. bousculade, et manque d'air essayaient de le frêner mais il resista, et se contenta d'accélérer. 

Pourtant après plus, de trente minutes, de course effrénée. il fut stoppé par, un garde dans un tournant. Et fut contraint de répartir dans le sens opposé, pour  essayer a nouveau, de se faufiler, mais il se cogna contre Daniel.

Alors qu'il était, encore sonné dût au choc,  Daniel ne tarda pas, a tirer son bras vigoureusement, l'obligeant a se relever, et lui sourit sadiquement. Avant de l'assomé, aussitôt en le fourant inconscient, dans sa voiture. 

L'HÔTE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant