L'HÔTE

18

Akihito ouvrit, les yeux avec peine la tête, frappante douloureusement . Il observa l'habitacle un endroit, lugubre et sombre au loin on n'entendait presque, rien juste un léger bruit de vague échoué. 

Il resalisa que, c'était un entrepôt abandonné, certainement près d'un port. il voulut, libérer ses mains qui retenue, plus haut par des chaînes en fers, le suspendait au vide. C'est a peine si c'est pieds, touchaient le sol .

Il tira mainte, fois irrité, Mais Une silhouette, surgit de la pénombre tandis qu'il paniquait voulant se libérer. C'était Daniel, un sourire paisible aux lèvres, qui s'approcha de lui en demandant :

-Tu es réveillé?

-Qu'es ce que tu me veux, encore relâche moi tout de suite.

- Tu me donne, des ordres je suis ton patron tu l'a oublié ?

-Tu l'ÉTAIS, avant de me vendre comme du bétail, maintenant relâche moi .

-Tu pense que je t'ai ramené ici pour papoter et te relâcher?  Non non je vais plutôt te vendre.

-Encore? Faudrait changer, de disque c'est raillé.

-Alors je vais te revendre. Tu est très  naïf tu sais, tu vraiment, n'as rien vu venir.

-De quoi tu parle, voir quoi ?

-Je vais t'expliquer, parce que tu le mérite bien. En effet Tu a toujours crus que je voulais, ta soeur n'es ce pas? 

-Ta soeur était bien mais, je ne prostitue pas les femmes. c'est toi que je voulais depuis le début. La dette de ton père n'était qu'un prétexte pour t'attirer sans résistance dans mes filets. Enchaina t'il un, sourire béat aux lèvres.

-parce que vois tu, je sais reconnaître quelqu'un qui a du potentiel, et je ne me suis pas trompé. La dette de ton père est finie depuis, si longtemps la première année ou tu a travailler pour moi .

-Espèce de bât*rd , dit-il en rage essayant de l'atteindre.

Daniel se contenta, de résister a son fou rire.

-Oui oui je sais, je suis fourbe. mais grâce a toi mon, cher petit,  j'ai amassé une fortune, co-lo-ssale, des milliers et des millions de dollars.

-Tu sais comment? Demandait t'il faussement crédule.

-Parce qu'en effet, je t'ai, surcoté.
Voilà comment, j'ai procédé.  je t'es donné, des montants fictifs et j'ai fait payer, a des tas d'imbéciles des sommes faramineuse. 

Daniel fit un sourire triomphant,  face a un Akihito serrant, les poings et les dents.

-Si tu savais combien, d'idiot on déboursé des sommes  astronomiques,  pour t'avoir dans leurs plumard. tu n'y serait, jamais allez.

Il fixa le sol, et se fit plus sérieux quelques secondes, puis enleva ses lunette en relevant, le visage vers sa victime.

- Je vais te confesser une chose, le client de classe B, n'était pas pour yuki, mais pour toi dès le départ. je ne pouvait résister, a son offre et bien sûr tu t'en doute, déjà sûrement. je ne l'ai pas viré, comme membre je lui ai juste promis, qu'il t'aurait de nouveau dans son lit d'ici peu de temps, drôle n'es ce pas ?

- Drôle?  pour toi tout, sa n'es qu'un jeu détruire, physiquement et psychologiquement, des pauvre gosses a cause, de ta cupidité maladive. Tu n'es qu'un, monstre.

- Épargne moi, tes états d'âme gamin. J'ai fait de toi ma meilleur création, mon oeuvre parfaite ma poule aux oeufs d'or.  Tu devrais m'en remercier, grâce a moi tu a, même réussi, a t'attirer les faveur d'un dangereux, mafieux.

Il s'assit sur une, des barres en métal qui remplissait l'entrepôt, fixant Akihito.

-  Asami tu vois, était ma cible depuis bien longtemps. Mais il avait toujours refusé mes offres, c'etait très difficile de l'avoir sous ma coupe.

-c'est pour sa que, j'ai voulus le manipuler a travers, toi mais les choses ce sont compliquées.  Dit il en soupirant le regard rivé au sol.

-vraiment ? Interrogeait sarcastiquement, le blonds.

- Eh, bien Asami s'est, approprié MA propriété. Sa a commencé lorsqu'il  m'a interdit, de te donner des classes B, sa m'a frustré mais, je lui ai fait croire que je m'était, laissé faire.  d'où le stratagème avec yuki.

-Mais après sa, les choses ce sont empiré, et j'ai perdus le pouvoir que j'avais sur toi. 

Il se leva énervé, tourna en rond irrité balayant en arrière, sa tignasse brune. puis saisit le colle d'akihito, avec force  le rapprochant davantage de lui.

-il t'a pris a moi, et a cause de ce salopa*d. je n'ai plus autant, d'argent qu'avant, Tu te rends compte?

-Tu pensais vraiment, que j'allais finir ma vie dans ton trou, a rat a me faire exploiter par, un proxénète cupide comme toi?

-Oui c'était, la suite logique de mon plan, mais après l'incident avec yuki il m'a interdit, de te donner d'autre client. Sa ne, s'est pas arrêté là. il m'a aussi, obligé a coupé cour a ton contrat,  et m'a interdit de m'approcher, a nouveau de toi.

- Résultat tout, mes projets sont a l'eau. Mais ne t'inquiète pas, je ne vais pas laissé, ce type me volé tout mon travail. 

-Ton travail?  A t'attendre parler on dirait que, c'est toi qui te fesait sauté tout les soirs par des inconnus.

-Maintenant, a cause de lui je suis obligé, de te vendre. si je ne te livre comme prevus, non seulement je perds de l'argent, et je risque ma peau.

-Tu n'es qu'un dérangé, tu est malsain vil et pervers. Tu me fait pitié.

-De toute façon d'ici quelques heures tu iras en Amérique, a un amie a moi très sympathique. Tu n'aura plus a t'en faire pour sa, et le meilleur c'est qu'il paiera pour, 20 pendant des années. Donc c'est gagnant gagnant.

-Asami va me retrouver, et il saura que tu y est mêlé.

-Comment sa? tu t'es enfuie, il me semble. Et s'il me demande, je nierais juste en bloc. il pensera juste, que tu t'es tiré, et il ne te retrouvera jamais, ja- mais.

Narguait Daniel, souriant satisfait, tandis, qu' Akihito se contenta de réfréner sa rage, en resserant sa mâchoire. Il se recula, et dit a son garde du corps :

-Fait entrer mes hommes, Ont va s'amuser un peu. Avant que tu n'aille a l'étranger, je veux d'abord, savoir ce que tu vaut, boucle d'or .

Akihito reprima, des frissons et sueurs froides, tandis que Daniel dechirait, son blouson au couteau. Il lui lança juste un regard assassin, énonçant:

- Ne - Me - Touche - Pas.

Daniel sourit, sadiquement , plongeant ses doigts dans, ses cheveux pour lès tirés brutalement en arrière. Dévoilant son cou pour, pouvoir s'y engouffré. Akihito ferma, les yeux réprimant son dégoût .