Aider un criminel

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Je me réveille.
Je suis allongée sur le sol dans cet endroit que je ne connais pas...
Il y fait froid.

Je peine à me relever, je suis fatiguée.
J'entends des bruits étranges en dehors de la pièce dans laquelle je me trouve.
La porte s'ouvre brusquement.
Une chose humanoïde se précipite vers moi en poussant d'affreux grognements.
Dans ma défense, je parviens à le tuer.

J'en entends d'autres. Beaucoup d'autres qui se rapprochaient à cause de tout le bruit causé durant les minutes précédentes.
Je tente de m'éclipser, non sans quelques affrontements.

***

Je suis enfin sortie de ce bâtiment.
Je me trouve dans la rue, j'ignore dans quelle ville je suis et comment je me suis retrouvée là.
Mais qu'importe.
J'avançais vers une rue plus peuplée.
Il y a tout un remu-ménage dans celle de gauche.
Des gens révoltés.

Une alarme se déclenche.

Un homme quitte le bâtiment en alerte.
Sans savoir pourquoi je me mets à le suivre.
Je lui cours après jusqu'à être à sa hauteur.
Sans un mot de lui ou de moi, on avance ensemble.
J'étais résolue à l'aider.

Pour cela, il fallut voler quelques vies humaines. Mais ce n'était rien. Il fallait au moins ça. Je ne voulais pas qu'il se fasse prendre.

Quelques rues plus haut, il décida d'entrer dans une boutique.
La propriétaire arriva au même moment, elle était âgée et ne dit rien.

C'était une boutique de vêtements, sous-vêtements et accessoires.
Je regardais un peu les articles pendant qu'il s'affairait à je ne savais quoi.
Puis il décida que l'on devait partir.

En remontant encore, on a fini par arriver près d'un petit parc.
En tout cas, nous étions sur la pelouse, au pied d'un arbre.
Mais le repos fut de courte durée.
En effet une voiture de police arriva en furie juste devant nous.

Il était à ma gauche.
Et j'avais saisi le tableau volé que nous avions adossé au pied de l'arbre.

Deux policiers sortirent de la voiture, un de chaque côté, pointant leur arme sur nous et nous ordonnant de ne plus faire un geste.

Lui et moi avions eu la même idée, comme si cela avait été d'une pensée commune.
Je n'ai pas pu voir comment il avait fait de son côté. J'étais bien trop concentré du mien.
Le tableau dans les mains, j'avançais déterminée vers ce policier à la tremblotte.
D'un coup de tableau dans la mâchoire je l'envoyais à terre, à plat ventre.
Pour le finir, car j'en voyais là une grande nécessité, je n'ai pas hésité à marteler sont crâne de l'angle inférieur du fameux tableau, que je laissais planté dans la tête de ce pauvre policier.

Une fois mon oeuvre terminée, je laissais le tableau reposer le long du muret pour qu'il tienne debout dans son crâne.

Et nous avons fuit pour continuer notre aventure.
Et alors je savais, que je ferais tout pour que personne ne l'arrête jamais.

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C'était plutôt dérangeant comme rêve
Ce criminel ressemblait à Evan Peters
C'était un dangereux psychopathe mais il était attachant malgré tout.
Je me contentais de lui suggerer quelques idées et d'approuver les siennes.
La grand-mère du magasin ressemblait à celle dans titi et grominet.
Et les monstres du début étaient un mélange entre ceux de Resident Evil et ceux de The Evil Within.
J'ai vraiment un cerveau dérangé...

Ce Ne Sont Que Des Rêves...Donde viven las historias. Descúbrelo ahora