Une star, une histoire !

Chapitre 37

Tandis que nous nous apprêtions à descendre au salon, mon brésilien alla récupérer un short, alors que moi, puisqu'il ne faisait pas très chaud, et que je n'allais pas descendre dans une telle tenue, par dessus mon ensemble, j'ai, simplement, vêtu un gros gilet.

Sur la table du salon, tout notre petit déjeuner était déjà prêt. Nous étions que tous les deux, mais cela ne nous dérangeait en rien. Je m'apprêtais à m'asseoir sur la chaise, à côté de mon cher et tendre, quand il me prit sur ses genoux. Il passa ses mains autour de ma taille et ne manqua pas de me faire des bisous dans la nuque.

Neymar –me regardant les seins– t'es grave sexy sans soutien-gorge !

Moi — non mais ça va toi, je te dérange pas (souriant) obsédé va !

Neymar –rigolant– obsédé de rien du tout, j'ai encore le droit de mater ma copine, non ?

Je me suis levée et assise sur la chaise d'à côté.

Moi — bon allez mange, sale gosse !

Le petit déjeuner se passa dans le calme et la douceur, contrairement au matin, et même si cela faisait pas mal de temps que nous étions réveillés, tout en mangeant, nous émergions à notre rythme, à vrai dire, nous n'avions pas dormi beaucoup la nuit, retrouvailles obligent.

La petite tête blonde, venant tout juste de se lever, arriva toujours dans son petit pyjama au salon. Il était surpris de me voir aux côtés de son papa, il n'était pas au courant de ma venue. Il est directement allé voir son père se faire câliner, puis vint vers moi.

Moi –passant ma main dans ses petites bouclettes– ça va mon petit gars ?

Il hocha la tête, puis monta sur mes genoux, avant de poser sa tête sur le dessus de ma poitrine, il comptait sans doute, finir sa nuit dans mes bras.

Moi –le serrant contre moi– tu as fait un gros dodo ?

Davi — oui !

Neymar — tu veux manger, mon gros ?

Davi –avec sa petite voix de bébé– non !

Moi — bah.. pourquoi, non ?

Davi –râlant– parce que !

Il n'était sans doute pas assez réveillé pour avaler quoi que ce soit. Il voulait juste qu'on le laisse tranquille, au chaud sous mon gilet. Il est resté de longues minutes près de moi, mais se décida finalement à manger, avec la condition de le faire en regardant la télévision.

Moi –ramenant des affaires à la cuisine– ils sont où les autres ?

Neymar — je sais pas, mais on s'en fou !

Il me porta, et m'assis sur le plan de travail.

Moi — et mais tu fais quoi là ?

Neymar –souriant– bah rien, je le droit de te faire un câlin, non ?

Moi — qu'est-ce qu'il est mignon ce gosse !

Il enlaça mes jambes autour de sa taille, et passa ses mains sous mon haut. Je l'ai pas résisté à lui faire quelques petits bisous sur son visage, puis il me pencha légèrement en arrière et commença à me faire un baiser langoureux au niveau de la mâchoire.

Moi — non mais chaton, je veux pas me retrouver avec des suçons partout hein, j'ai assez donné de moi hier, après, les gens ils vont croire qu'on n'arrive pas à passer une journée sans se sauter dessus !

Il termina en douceur, et me regarda en souriant.

Neymar — c'est un peu le cas hein !

Moi –le tapant– comme c'est pas vrai !