Chapitre 24

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On est à plus de 3 000 vues! C'est juste improbable ! Je ne m'attendais jamais à avoir autant de gens qui lisent mon histoire ! C'est... Wouaw ! Si vous avez une quelconque requête, question, n'hésitez pas, je suis toute ouïe !
Encore merci !!!



Point de vue Lily :

Le mois d'octobre venait de pointer le bout de son nez, et avec ça le vent froid automnal qui sévissait sur l'Ecosse. C'était ma dernière année à Poudlard, et en y pensant, je devais avouer avoir un pincement au cœur. J'avais été nommé préfète-en-chef, et ça me remplissait de joie et de fierté. Ombre sur le tableau ? Mon homologue n'était autre que le fantastique, le populaire, le splendide, le talentueux, le poursuiveur, le fauteur de trouble, j'ai nommé... James Potter! Je ne comprenais pas ce qui était passé dans la tête du directeur pour choisir un crétin pareil.

Un des buts *principaux* des Préfets-en-chef était d'éviter que les autres fasses des bêtises, et il demandait au pro des marauderies de s'en charger, trouvez l'erreur !

Justement... En parlant de Ja... Potter. En parlant de Potter, nous n'avions plus reparlé depuis que j'étais partie en Espagne. En fait, je l'évitais à chaque fois qu'il voulait me parler. Chose très difficile en prenant en considération que ma meilleure amie passait tout son temps avec les maraudeurs, et que je passais le plus clair de mon temps avec elle.

Dalithé et Remus essayaient tant bien que mal de me faire parler à Potter, comme quoi il était gentil, courageux, qu'il voulait changé, qu'il était... amoureux. Et ces traites prenaient nos patronus pour prouver leurs dires.

Je me posais pas mal de questions sur ces patronus, justement. J'avais fait des recherches pour voir si je ne pouvais pas annuler ces patronus, que le mien redevienne une panthère. Et dans le livres parlant des patronus Amoureux, ils étaient juste noté, dans un petit bas de page, "si vous voulez retrouver votre ancien patronus, sachez que l'amour vain toujours, sortilèges comme parole et gestes." Je dois avouer avoir longtemps hésité à brûler ce stupide livre. Mais ça me confrontais alors à un autre problème, l'amour comme disait ce livre extrêmement ridicule. Je n'étais pas amoureuse de James, mais apparemment l'amour devait être réciproque. Cela voulait il dire qu'il m'aimait ? Mais dans ce cas que je l'aimais aussi ?

Sentant la migraine germer dans mon esprit, je décidai de stopper là mes réflexions. Ma montre indiquait 00:20 et je savais que l'insomnie dont j'étais victime ne rendrait pas les armes avant au moins une heure, puis ne supportant pas de rester sans rien faire, je décidai de me lever et d'aller dans la salle commune. Habillée d'un jogging, d'un t-shirt simple et de chaussettes en laine mauve.

Je descendis les escaliers de pierre puis arrivai dans la salle commune. Étrangement, le feu crépitait encore dans la cheminée, faisant que la pièce n'était pas trop froide, bien que légèrement inquiétante une fois vide.

Je me dirigeais vers un des fauteuils, et me calai dans le coin. Mon regard se perdit quelques instants dans les crépitements du bois, puis je relevai la tête et laissai divaguer mon regard dans la pièce, puis soudain...

-AAH !!

-Hein ? Quoi ? Qu'est ce qui se passe ? Des vampires ?!

Je le fixai sans bouger, son regard perdu fouillant la pièce, puis il se posa sur moi, et ses traits se décontractèrent, mais une expression de douleur passa dans son regard.

-Oh, ce n'est que ça.

-Que ça ? Demandais-je dans un souffle, me rendant compte que j'avais retenu ma respiration jusque là.

La sœur d'un Maraudeur [HISTOIRE TERMINÉE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant