3m au dessus des nuages

Chapitre 3 : Début d'une seule histoire

  PDV de Lucy

J'arrivais au port et je cherchais désespérément Levy. En chemin, plusieurs gars en moto me dévisagèrent avec un regard tous plus pervers les uns que les autres. Lorsque je passai à côté d'un mur, je le contemplai. C'était une sorte de monument aux morts, il y avait plusieurs noms inscrits dessus ainsi qu'une quantité énorme de bougies. Je me dis que c'est sûrement les personnes mortes lors des courses. D'un côté, cela montrait à quel point ceux qui ont fait ce mur tenait à leurs amis décédés mais cela avait aussi un côté morbide.

Sortit de mes pensées, j'aperçus Levy dans les bras du mec de la dernière fois en train de rigoler.

Levy : Attention Gajeel ! *remarquant la blonde* Lucy ?!

Lorsqu'elle m'appela, je commençai à courir en sa direction en agitant ma main.

Levy : Quelle surprise. C'est super que t'es finalement venue.

Moi : Pourquoi t'as coupé ton téléphone ? Ta mère a appelée.

Levy : Et qu'est ce tu lui as dit ?

Moi : Je lui ai dit que tu dormais... et je sais pas comment ça se fait mais elle m'a crue. Elle vient te chercher demain matin à sept heure parce que t'as des analyses à te faire faire. Rentre de bonne heure s'il te plait, je ne veux pas de problèmes avec ta mère d'accord ?

Elle me fit un signe de la tête positif et je commençai à partir mais je fus retenue par le bras par ma meilleure amie.

Levy : Allez reste !

Moi : Nan, sûrement pas.

Gajeel : Allez on ira manger une pizza ensemble après tous les trois.

Moi : ça m'étonnerait que toi et moi on choisisse nos pizzas au même endroit.

A peine ai-je finis cette phrase que j'entendis le bruit d'une moto. Pitié faite que ce n'est pas Natsu... je ne sais pas pourquoi quand il est là je rougis comme une tomate alors que je le déteste !

N : ça alors mais c'est qu'elle est là notre blondie. T'es venue me voir courir ?

Et merde, c'est lui.

Moi : C'est parce que la blondie ignorais que tu te trouvais ici.

N : Alors pourquoi t'es rouge comme une tomate blondie ?

Moi, en me retournant : C'est juste parce que tu me fais rire, c'est tout.

N : A ouai ?

Moi, énervée : Oui. On verra si tu la ramèneras encore quand t'auras reçu la plainte, parce que ce soir j'ai dit que c'était toi qui avez cassé le nez de Mr Wataya.