Suicide

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"Avant, je pensais le suicide justifiable, que, sous certaines condition, tu ne pouvais pas en vouloir à la personne qui a mis fin a ses jour...

Mais j'ai rencontré deux personnes, avec l'aumônerie, un garçon, et une fille, lui l'aimait, elle l'aimait, mais elle ne voulais pas sortir avec lui pour le protéger, on avait jamais su pourquoi, et lui, il lui a fait la promesse de ne jamais la lâcher avant qu'elle ai dit oui. Malgré la frustration qui émanait de leurs relations, ils devaient figuré parmi le palmarès des personnes les plus heureuse du globes...

Mais, un jour, il reçu un message. C'était les parents de la fille : elle s'était jetée sous un train._

Il ne pleura pas, non, mais il a battu le record mondial du jeté de téléphone. Il ne s'effondra pas dans son lit, mais fit un trous dans son mur a mains nu, et quand il l'a revis a l'hôpital, il ne la pris pas dans ses bras, mais la gifla, et repartit...

Je ne comprenais pas sa réaction, pourquoi là où il devait y avoir tristesse il y avait rage, pourquoi là où il y devait y avoir comprehension il y avait renfrognement... Mais un jour, il me parla, il me dévoila pourquoi...

Il posa les bases "Il n'y a jamais de raison valable à un suicide", puis il s'expliqua, développa : "Si elle en avait parler, ça aurait été plus supportable [...], on aurait pu essayer de trouver une solution.", "J'ai a l'impression d'avoir été inutile, j'étais là pour elle pourtant, tout du long... [...] Je ne lui suffisais donc pas ?.."

Aujourd'hui ? Elle est paraplégique et restera dans un hôpital psychiatrique jusqu'à la fin de ses jours. Il essaie de se cacher, essayant de l'oublier, de se dire qu'il n'avais pas éprouver de l'amour, mais juste de la pitié. Mais nous (toute l'aumônerie) nous l'oublions. Elle sort de nos têtes et de nos cœurs, car, comme le disais si bien un de mes amis : "loins des yeux, loin du cœur"".

Nouvelles AléatoiresWhere stories live. Discover now