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PDV BIANCA.

Une semaine qu'on n'a passé dans cet hôpital, nous avons eu l'autorisation du médecin on peut enfin sortir. Flavio reste toujours dans le coma, les mèdecins sont peu optimiste mais nous on garde espoir même s'il fait un an dans ce lit, il se réveillera parce qu'on lui parle tout le temps.

Finalement toute la famille sait qu'on n'attend un évènement heureux avec Orlando. Ils l'on bien pris c'est déjà bon. Quand cette chienne avait tiré sur Orlando j'avais falli faire une crise cardiaque. Heureusement que la police est intervenu à temps, comme j'ai pas de boulot je vais m'occuper de mon petit copain qui est dans sa chaise roulante direction la voiture. Son père l'aide à s'installer á l'avant et je met ses affaires à l'arrière.

- Je te le confie Bianca.

- Ne vous en faîtes pas Monsieur Morales.

- Je vais à l'entreprise de Flavio, fais gaffe fiston.

- C'est compris papa.

Je quitte le parking et prend la route de la maison.

- Quant est ce que tu vas arrêtez de vouvoiyer mes parents?

- C'est plus fort que moi.

- Habitue toi vite parce que tu les vexe quand tu fais ça.

- J'essaye promis que j'essaye.

- Ne tarde pas en tout cas.

- Ok, ça te dérange pas si je vais faire une course rapide au super marché. J'ai pas eu le temps hier.

- Oui mais je reste dans la voiture.

- Bien entendu, je fais vite.

Je descends de la voiture et d'un pas rapide, j'entre dans le super marché. Je répère les rayons qui m'interesse et fais mes achats. Je retourne à la caisse quand je vois une petite robe rose qui me séduit. Je ne connaîs pas encore le sexe de mon bébé mais je l'achète c'est trop mignon. Peu importe si c'est un garçon je le ferais porter cette robe pour rigoler de lui avec Orlando.
Mes achats en main, je sors quand un homme me fonce dessus et tout tombe.

- Vous êtes malade oú quoi? Abruti.

Je lance à l'intention de ce type qui porte un sweet à capuche qui pue. Je ramasse quand il s'abaisse pour me regarder et me ménacer.

- Dit à ton copain que je vengerais ma copine.

Je me lève rapidement et court jusqu'à la voiture éssouflée je monte et referme derrière moi promenant mon regard en le cherchant pour voir s'il ne pas pas suivi ce fou furieux. Orlando me regarde perdu.

- Je viens ... de voir.... le complice de Mercedes.

- Où ça?

- Devant l'entrée, il m'est rentrer dedans tout les paquets étaient au sol et quand je me suis abaisser il m'a dit de te dire qu'il vengerais sa copine.

- C'est pas vrai, tout va bien chez toi?

- Oui, j'ai légèrement mal à l'épaule c'est tout.

Il compose un numéro pendant le trajet. Par ses réponses j'en déduis donc qu'il parle au lieutnant de la police en charge de cet affaire.

- Je vais rappeler les gardes de mon père il te faut un en permanence.

Je le contredis pas parce qu'il est en rogne. Si je le fais il risque d'être désagréable envers moi alors je ne dit mot et continue ma route. J'ai eu la trouille tout à l'heure, il faisait peur cet homme.

Liée à Lui TOME 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant