Chapitre 3

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PDV Hana:

???: Hana-sama !

Je me retournais en sursaut, et vis le Proviseur. Paniqué comme jamais, je le fut encore plus lorsque je le vis. Des cheveux d'un blond éclatant, des yeux bleu d'un glacial extrême et des lunette lui donnant un air d'intelligence supérieure. Il était aussi très grand. UN vrai géant qui devait faire dans les 1 mètre 90. (NDA: Si vous  n'arrivez pas à le visualiser, regardez dans le média.) C'était un garçon extrêmement charismatique, il était vraiment beau.

Moi: Kris! Que fais tu ici? Tu ne devrais pas te trouver à ? New-York?

En disant cela, je m'entortillais les cheveux autours d'un de mes petit doigt. Mon cousin du sûrement le remarquer car, il s'approcha de moi et passa un bras par dessus mes épaule en me frottant le bras, comme pour me rassurer.

Kris: Mais voyons, Hana, il est tout à fait normal que je vienne rendre une visite à ma future femme le jour de sa rentrée.

Moi: Je ne suis, et ne serais jamais, ta future femme! Tu m'entends!

Kuroko: Quel est donc cette histoire de future femme? Explique toi, Hana.

Je me tordais les mains, afin de trouver une solution pour le sortir de ce guêpier. Quand j'ouvris la bouche pour parler, je me sentis m'envoler pour atterrir sur quelque chose de confortable et chaud. En regardant un peu plus en hauteur, je vis que c'était Atsushi-kun qui avait pris cette initiative. Maintenant, je me retrouvais assis sur son bras, qu'il avait recourbé de façon à donner un siège agréable. J'en étais heureuse, que lui aussi se faisait du souci pour moi. Alors, je pus regarder toute les personne présente de haut, pour pouvoir leur expliquer qui étais Kris.

Moi: Kris est mon partenaire musicale. Il jout au piano tandis que moi, je me trouve au violon. Je vous ferez écouté plus tard mes talent. Sachez que Kris et moi nous sommes connus peu après que j'ai commencé ma carrière. Au départ, j'étais heureuse de m'être fait un ami. Sauf que lui, il nous a vu d'une tout autre manière. D'une manière gênante, carrément, si vous voyez ce que je veux dire. Puis, un jour, alors que nos agent avez autorisé une interview à quelque journaliste, lorsque ces derniers nous ont demandé quel était notre relation, en dehors de la musique, Kris a dit que nous étions... Euh... Comment dire... C'est vraiment gênant de le dire Tetsu-kun!

Chris: J'ai tout simplement annoncé au média que nous étions un jeune couple de fiancé. Ils ont tout gobés sans se poser de question. Et c'est pour ça que nous sommes fiancé.

Kuroko: Quoi!? C'est pour ça que tu tirais une  tête pas possible!? À cause de ce petit crétin!?

Aomine: Kuroko! Calme toi! Écoute machin...

Kris: Je m'appelle Kris, immonde tas de transpiration. Comment ose tu m'adresser la parole et celle de Hana? Tu as interdiction de t'approcher d'elle!

PDV Aomine:

Il commence à me casser les bonbons celui-là. Il m'insulte, ce petit imbécile. Franchement, il vas voir de quel bois je me chauffe. En plus, il a osé effacer le sourire de ma petit poupée. Nan mais dis donc?

Moi: Écoute, MACHIN, moi, j'appelle tous les débile de ton genre comme je le veux. C'est assez clair pour toi? Maintenant, si tu veux vraiment qu'elle devienne ta femme, il suffit de lui posé la question. C'est pas bien compliqué, quand même!? Non? Ou alors c'est que tu n'as aucune cervelle.

Voilà, des déclarations comme je les aimes. Personne n'a le droit de m'adresser la sorte et encore de parlé de la petit poupée. Je le regarde et la vois sourire. Un sourire qui illuminerait le cœur de chaque homme de par sa beauté. Je me retournais, coup sec, en me sentant rougir. Maintenant, je doit être rouge pivoine.

Momoi: C'est vrai, ça. Personne n'a le droit de parler de la sorte à Daï-kun et l'adorable cousine de Tetsuya chou. C'est clair, monsieur yeux de serpents ?

En entendant la fin de sa phrase, je ne peux m'empêcher de rire. C'est tellement drôle que tout l'équipe partie dans un fou rire pas possible, sauf Kuroko qui ne pouvait s'empêcher de fixer l'autre débile d'un regard haineux.

Hana: Merci beaucoup, Daï-chan.

Le rouge me remonta au jour. Merde! Il ne faut surtout pas que le autres le remarqué. Surtout pas Kuroko. Sinon, il me tuerait et ce serait la fin du grand Aomine Daïki. Mais je ne pouvais pas m'empêcher de rougir.

PDV Murasakibara:

Ah, comme elle sentait bon. Si je le pouvais, je la garderais pour toujours au creux de mon bras. Elle a une odeur de fraise avec un soupçon de menthe, ce qui la rendait si sucré et en même temps si fraîche. C'était tellement agréable. Un peu avant qu'elle ne débarque comme ça dans le gymnase, j'avais senti cette délicieuse odeur. Mais je la sentais de plus en plus fort. Maintenant que je l'avais avec moi, on pouvait carrément dire que c'était une drogue. Oui, une fabuleuse drogue. Je voulais renifler ses cheveux, sentit le creux de son coup si blanc. Mais non. Je ne voulais absolument pas qu'elle me prenne pour un pervers. Sinon, je lui donnerais la pire des impression de moi, sachant que l'on se connaissait à peine. À la tentation était vraiment trop forte. Il faut absolument que je me calme.

PDV Midorima:

Je ne comprend pas comment ce fait il que ce garçon idiot puissance avoir l'autorisation de parler avec Hana. Au moins, dans les bras de Murasakibara,elle ne risque rien.

PDV Nijimura:

Au départ, je la trouvais gonflée de me parler de la sorte. Finalement, je la trouve charmante et vraiment mignonne. Je ne sais pas moi, mais j'ai comme l'impression qu'il pense tous à la même chose. La petite créature si attentionné et pleine d'entrain, avec une énergie surdimensionné, avait réussis à faire tomber tôt le monde sous son charme. J'espère ne pas lui avoir fait mauvais e impression, tout à l'heure.

PDV  Kise:

Comment le crétin au cheveux blond décoloré parlait avec la mignonne p'tite Hanacchi. Vraiment, ça ne se faisait pas. Après, il vient de la ramener en disant: "Moi, j'aime à la folie Hana!". Décidément, je ne peux pas le saquer, celui-là. Vraiment.

PDV Akashi:

Comment cet chose peut-elle donc parler à ma future propriété. Oui, je la considère comme mienne. Peu m'importe ce qu'elle dise et ce que pense Kuroko, elle est à moi. Je la connais depuis son commencement dans la musique, et j'en suis tombé directement sous le charme. Oui, j'ai étais charmé par sa mélodie, pleine de mélancolie, mais aussi remplie de joie et de bonheur. Je suis allé à la plus part de ses concerts, la contemplant depuis mon emplacement. Oui. Je la voulais tellement. À la fin du spectacle, je voyais bon nombre de personnes se relevant de leur siège, une l'arme perlant aux creux de leurs yeux, causé par la beauté du son qu'avait provoqué la superbe et minuscule fille se trouvant sur scène. Oui, je sais tout d'elle.

PDV Susumu:

Belle. Voilà ce qu'elle est. Belle. Magnifique. Brillante. Et j'en passe. Je la veux pour moi. Pour moi tout seul. En ce moment, j'aimerais me retrouver dans la même situation de Murasakibara. Oui. Je me demande comment il peut résister à son parfum. Quand Murasakibara la prises dans ses bras, je me trouvais juste à côté, et, j'ai reçu une effluves de son parfum si enivrant. Ah la la. Pas bon pour l'équipe tous ça.

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Et voilà pour le troisième chapitre. J'espère qu'il vous aura plus. Sinon, n'hésitez pas à me mètre en commentaire ce que je devrais améliorer ou bien changer pour pouvoir m'aider à rendre cette histoire meilleure. Merci et good bye les gens gens!

Kuroko no basket: Aimée à jamais.Where stories live. Discover now