What to think ?

TOME 2- Chapitre 4

POINT DE VUE DE RAFINHA

Neymar était arrivé chez moi, il y a à peine une heure, quand il parlait Marie haussait les sourcils, soufflait, je ne comprenais pas son comportement face à Neymar.
J'avais l'impression qu'elle s'en foutait de ce que Neymar raconté.

Après deux heures, Neymar décida de partir, et heuresement parce que cette situation devenait presque gênante. 

Neymar m'avait dit qu'il voulait parler à Marie de leur relation avant cette tragédie, mais apparemment lui aussi a senti cette conversation gênante.

Marie- J'aime pas Neymar, je trouve il est arrogant.

Moi- Tu le connais pas assez, je t'assure que c'est un gars bien.

Marie- Enfin en attendant, j'ai pas super envie de le revoir.

Moi- Et si je te dis qu'il a des trucs à te dire, tu voudrais le revoir ?

Marie- Est-ce du chantage ? Je ne joue pas à ses jeux là, - rigolant- désolée.

J'avais enfin l'impression de retrouver Marie, sa bonne humeur, son sourire à en faire tomber plus d'un, son côté parfois timide, parfois folle, je l'avais entièrement retrouvé..

Marie- Je vais peut-être retourner chez moi ...

Moi- Ça ne me dérange pas si tu restes ici encore un moment

Marie- C'est gentil, mais ..

Moi- la coupant - Mais il n'y a pas de mais, ça fait quatre ans que je t'attends.

POINT DE VUE DE NEYMAR

Une conversation gênante, un regard noir, rien que ça me faisait frissonner.

Pourquoi réagit-elle comme ça ?

Le coma "endort" mais ne change pas une personne !? Enfin, je pensais.

Je reçu une photo suivit d'un message de Bruna.

"De : Bruna

< Fichier> 

Hey mon amour, tu vas bien ? Tu me manques terriblement."

"À: Bruna

Fallait pas partir avec ta pote."

Ce message froid n'allait pas lui plaire.

" De : Bruna

Tu fais passé tes entraînements et tes matchs avant moi, je ne vais pas t'attendre pour vivre mon cher. Je voulais, de base, passer un bon week-end ensemble, mais tu as eu encore un appel de ton entraîneur. Bientôt j'aurais des craintes, y a quoi comme relation entre vous ?! Allez tu m'as saoulé, je vais bronzé. "

Je lis, mais ne répond pas.

Vous sentez ce goût amer en moi ? Non.
Moi si, j'en ai marre de me prendre la tête avec elle, on peut pas être normaux.

"De : Gil

Alors avec Marie ? Tu lui a avoué ?"

"À : Gil

Tu parles, j'ai rien pu dire, elle me regardée blazée, je la faisais limite chier je suis partit au bout de 2h. "

"De : Gil

Elle te connaît pas trop, et puis laisse lui du temps faut qu'elle se réhabitue à la vie, ça fait quatre ans elle est dans le coma, dis toi qu'elle aurait pu y rester. "