What to think ?

TOME 1- Chapitre 90: quoi faire ?

Nous sommes déjà le trois février.

Un mois que je n'ai pas de nouvelles de lui.

Un mois que j'aurais dû faire quelque chose.

Un mois que j'aurais dû dire les quatres vérités à ma mère.

Un mois que je me détruit et que je me laisse faire.

Je suis impuissante face à cette situation.

Aujourd'hui, je me réveille fatiguée, comment chaque matin.

Je m'habille, mange, et sors de chez moi pour rejoindre Tom chez lui.

Je pris ma voiture pour y aller. Et oui, j'ai acheté ma propre voiture !

Charlie était présent.

J'entre chez Tom et je les rejoins dans le canapé.

On parle d'études avant de dévier sur Neymar.

Tom- tu ne peux pas rester comme ça ! T'en a parlé avec Luis Enrique ?

Moi- je ne lui ai pas reparlé à Luis Enrique depuis la dernière fois.

Charlie- et Neymar ? Même pas un appel ? Un message ?

Je souffla et répondit qu'il n'y avait rien, et qu'il s'était desabonné de tous mes comptes sur tous les réseaux sociaux.

Tom- va chez lui !

Moi- non, ça servirait à quoi ? Je me suis comporté comme une gamine ...

Tom- à récupérer tes vêtements et tu pourrais en profiter pour lui parler.

Charlie- je t'accompagne à la porte si tu veux !

Moi- à la porte de chez Neymar ?

Charlie- bah non de Tom !

Je fit un léger sourire avant de remettre mon manteau.

Je me rend chez lui.
J'hésita à sonner ... Mais il était déjà devant moi quand je réalisa que j'avais déjà sonné.

Neymar- froidement - tu veux quoi ?

Moi- je viens chercher mes vêtements que j'ai laissé ...

Il me laissa à la porte et partit chercher un sac.

Neymar me tend le sac en me disant qu'il l'avait déjà préparé.

Neymar- me tendant une pochette - j'ai retrouvé ça aussi, tu devrais continuer ... - refermant la porte - salut !

J'étais encore devant la porte fermée, le sac à la main. La pochette dans l'autre. On avait pas eu le temps de parler, il n'avait pas pris le temps de parler.

Je retrouva mon appartement, je m'allongea et je resta pensive en regardant le plafond blanc.

Pourquoi j'ai fait ça ? Pourquoi tu as réagis comme ça face à la menace de ta mère ?

Pourquoi ... Pourquoi ... Pourquoi ...

Ses questions défilaient dans ma tête comme une tornade en plein désert, comme une avalanche en montagne ...

Il fallait que je lui parle, il fallait que l'on s'explique, il le faut ...

J'ouvre la pochette qu'il m'avait donné.

Des dessins, des dessins de vêtements que j'avais dessiné étaient dedans. Je ne m'en rappelais plus.

Je les regardais tous attentivement.