《 Look at Me, just Me. 》

Chapitre Un : 《 Look at me, just me.》

Otome Game Coréen. : Mystic Messenger.
Univers : UA.
Pairing : Jumin x Seven.
Genre : Yaoi.
Type : Chapitre un.
Mots : 727.

Et le crédit !
Jumin : @RubyChuu my Sexy Jumin as Gay ~
707 : @NARA

☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆

- 《  Qu'es ce que je vous sers ?~ 》

D'où venais cette voix ? Avait il trop bu ? Avait il encore toute sa tête ? Mais... De qui parlons nous ? D'un homme en costume, noir. Cet homme posséder, une chemise à rayure grise. Une cravate noir, sur celle ci se trouvait une broche en argent, rien de plus rien de moins. L'homme en question mesuré un bon mètre quatre vingt quatre. Mais, cela ne se voyait pas, pourquoi donc ? Car l'homme de 28 ans, était affalé sur le comptoir. Depuis quand buvait il ? Mais encore, depuis combien de temps, buvait il ? Lui, le plus grand chef d'entreprise, était au plus bas sans compagnie. Il était seul, avec lui même. Seul, était un grand mots dans le bar, ou il se trouvait, il était vraiment le seul. Cet homme, à l'allure imposante, mal grès sont affalement, porter le nom de Jumin Han. Oui, oui. LE Jumin Han. Aimé, et jalousé par tous. Le fameux Jumin, n'était pas en larmes, non. Ce n'était pas quelqu'un qui pleurait, mais ce n'était pas un sens sentiment.

Pourquoi était il dans cet état ? Pourquoi était il là ? A boire, à en devenir ivre mort ? Et bien remontant en arrière. 

Cela, faisait trois semaine, jours pour jours qu'il n'était plus en état. Trois semaine que son univers c'était effondré. Trois semaine... Remontant trois semaine, pour comprendre. Jumin était dans son bureau, un grand bureau grand et spacieux, simple mais grand, tout simplement. Le grand homme d'affaire se lever pour prendre une pause déjeuner car oui. Tout le monde en avait une, alors pourquoi pas Jumin ? Le grand brun s'apprêtait à sortir, mais il reçu, un appel ce qui le stoppa. Cet appel en lui même lui décrocha un très léger sourire.  Sa bonne humeur était revenu. L'homme d'affaire porta son portable à son oreille.

- 《 Bonjour, Jumin. Si tu as du temps, il faut que nous parlions. 》

Le sourire de Monsieur Han, disparut ce n'était jamais bon signe lorsque son petit ami, qui est accessoirement l'un des plus grand Mannequin qui se trouvait être très demander, deux éléments se trouvant dans le même milieu.

- 《 Eh bien, attend moi, devant le restaurant au coin de la rue. Je t'y rejoindrai. 》

Le mannequin portant le nom de Zen, raccrocha le premier. Jumin descendu l'immeuble grâce à son ascenseur,  et sortit assez vite, et arriva devant le Fameux restaurant, ou il reconnu,  son amant. Zen était un Albinos aux yeux rouge, avec une queue de cheval toujours bien habiller et coiffé. Zen le fixait dans les yeux. Son regard était sérieux. Ce fut l'albinos qui débuta la conversation sans laisser le temps à l'homme d'affaires.

- 《 Comme je te l'es dis, j'ai quelque chose d'important à te dire. Voilà,  cela faisait un moment que j'y pense, je ne me sens pas bien, avec toi. Tu ne vois que par ton stupide chat, non laisse moi finir. Tu a un comportement hautain à mon égard et ne cherche pas à penser à moi, comment je vais, comment se passe mes journées. J'ai pris beaucoup de courage à t'en parler, mais, je met fin à notre relation. C'était plaisant mais... Je n'en peux plus... Je suis désolé. Oh et je ne regrette en rien mes mots. Sur ce au revoir Jumin. 》

À ce moment là, alors que Zen partait, lui était immobile, son univers venait d'être brisé en mille morceaux. Il resta immobile pendant une dizaine de minute avant de marcher doucement, il n'arrivait pas à réaliser. il chercher à comprendre, mais n'y arriver pas. Pourtant, deux jours avant tout était bien ! Et parfait ! Il n'arriver pas à comprendre ces reproches. Il n'arriver pas à comprendre tout court. Lentement, et petit à petit,  les trois semaine se transformèrent, en enfer psycologiquement parlant. Tout aller bien à son travail, souvent de très mauvaise humeur, mais c'était pour cacher à quel point, il était triste et pire que dévaster.  Il gardait un visage de marbre, mais le soir venue, pendant ces trois semaines, il avait commencer à noyer son chagrin dans un bar, peu connue, enfin, peu connue le soir très tard. Le bar ne disait rien, et fermer le bar pour lui, chaque soir, le laissant décompresser, jusqu'à qu'il soit ivre mort et décide de partir. Comme actuellement. Et pourtant, ce fameux barman faisait beaucoup pour lui. L'avait il déjà vu ? Ou déjà contacté ? Va savoir.