Une enfance pas parfaite

Quantre ans

Maintenant quatre ans que je suis dans ce monde bizarre, où mes adultes se déchire pour des choses que je ne comprend pas .

Peu de temps après mon anniversaire, on donna la garde à ma génitrice qui ne supportait plus sa ville d'origine et voulait absolument réaliser son rêves de vivre à Bayonne.

Elle me prit sans l'accord de mon père et dans l'intention de ne plus me 《 partager 》 avec lui, oui partager c'est comme cela que je le comprenais petite.

On se retrouva dans un appartement, un peu lugubre mais il fallait vivre .
On adopta un chien, un bâtard, nommé Caramel, car il était 《 marron comme le caramel》, mais on le perdit quelques temps après car, ma génitrice, ne prenait pas le temps de le sortir elle même. Elle ouvrait la porte pour le faire sortir et attendait qu'il est terminer et revienne. Plusieurs fois la fourrière ou un voisin nous le ramenaient mais un jour non .

Caramel était un pilier pour moi, un repère .

Quand ma génitrice commençait ses soirée arrosé, a boire, pas de l'eau non ... de l'alcool a gogo comme elle avait l'habitude de le crier . Elle faisait venir des hommes, de parfait inconnu, et elle passait des heures avec eux dans la chambre où je dormais .

A Quatre ans je ne comprenais pas ce qu'elle faisait, pourquoi être autant enfermer avec des hommes, a l'heure d'aujourd'hui J'ai compris et j'en suis dégoûté !
La où je dormais !

Ma génitrice était schizophrène, alcoolique, drogué et avait une psychose . Tout ça ne fait pas bon mélange , je vois l'accorde.

Elle avait un délire a dire que je sortais la nuit, pendant qu'elle dormait, a quatre ans ... elle a trouvé comme solution de m'attacher les mains avec de la corde à la poignet de la fenêtre qui était au dessus de mon lit, ainsi que mes pieds au radiateur qui avait en face de celui ci pour éviter que je m'en aille en pleine nuit .

Je lui disais qu'elle me faisait mal, que c'était trop serrer mais rien à faire elle refusait de desserrer les liens . Je passais toute les nuits ainsi .

Quand il était l'heure du bain, la poignet de la salle de bain était cassé, elle enlever celle ci pour pas que je sorte de la salle de bain et elle allait vaquer à ses occupations .
La voyant faire, pour moi cela était un jeu, un beau jour elle prenait le bain et je me retrouvais avec elle dans la salle de bain.
Je pris la poignet dans la main mais manque de peau nous nous sommes retrouvés bloqué dedans.
Énervé, elle est sortit dans la baignoire et m'a frappé continuellement avec cette poignet  de porte . Je n'en voyais plus la fin, je hurlais, mais personne intervenait .

De là les coups on commencé, de plus en plus récurrent, ils ne se passait une journée sans que je n'en reçoivent. J'avais chaque nuit encore les mains et les pied attachés.

Alerté par les voisins, qui entandais mes cris et mes pleurs , les services sociaux on débarqué et m'ont emmené au foyer, chez les bonnes soeur .

Ma génitrice avait un droit de visite chaque mercredi et de me faire le tour du parc de l'église sous surveillance .

Mais un jour elle a mal été surveillait, je me rappellerai toujours, elle venit avec un cadeau, le château de Disney avec Minnie en figurine.
Le temps de jouer un peu Elle me prit par le bras pour me faire faire le tour du jardin mais nous avions changé de route habituel, on se dirige vers des buissons où elle me fait passé a travers . Nous n'étions plus dans l'enceinte de l'église, maintenant que je suis adulte, je sais que nous appelons ça un kidnapping.
Un type nous attendait dans une voiture, nous soir montait et j'ai aperçus des bagages. Je demande à ma génitrice ou allons nous ? Elle me répond simplement 《 en vacances 》 .

Je reconnais au loin la gare avec les trains, le type nous dépose devant et fait un signe de la main .
Ma Génitrice me prend par la main, j'étais fasciné par ces énorme transport, je regardé par tout sans me soucier de ce qu'il se passait .

On monte ensuite dans le train . Je dors pratiquement tout le trajet, elle me réveil pour changer de wagon, je me rendort de nouveau.

Nous arrivons, je lui demande où nous somme et elle me répond 《 À Venise en Italie , la d'où nous somme 》 je me contente de contempler le paysage . Elle me fait monter dans un bateau pour arriver à notre destination . Un vaporeto mais malheureusement Je J'ai pas apprécié le voyage comme J'ai étais malade .