Mille et une histoire kpop

Introduction

Malgré les oiseaux chantant, les cerisiers japonais qui fleurissaient, les rayons du soleil qui illuminait la petite ville de Busan, on pouvait y trouvait en ce jour deux personnes dans leur demeure. Des personnes normales certes, mais pourtant alors que tout était parfait dans leur vie, l'un commît l'irréparable. Celui qui dû subir le traumatisme de perdre la personne qu'il aimait le plus au monde n'est d'autre que Yu Ki Hyun. Depuis cette nouvelle il ne mangeait plus, n'allait plus dans ce lycée qu'il maudissait dès à présent, ne sortait plus de sa chambre, n'écouter que la mélodie du silence. Il n'écoutait même plus le chant des oiseaux comme il les faisais auparavant. Il n'avait plus aucune émotions joyeuse, il n'avait que de la souffrance. Un jour un colis était sous son nom. C'est dans cette boîte que l'aîné allait savoir toute la vérité. Des cassettes. Des cassettes numérotées de 1 à 13. Malgré ces mains tremblantes et son air d'incompréhension, il empruntât le CKRL de son père, introduit la cassette, appuya sur un des nombreux boutons de l'appareil puis commença à écouter la lecture en silence sans se soucier de savoir de quoi cela parlait et pourquoi lui avait-on envoyé cela. "Certainement une blague" avait-il pensais un moment, mais il ne renonça pas pour autant.
"- Salut c'est Jooheon. Lee Jooheon. Installe toi bien car je vais te raconter l'histoire de ma vie. Ou plutôt pourquoi ma vie c'est arrêtée. Et si tu écoutes ceci, tu en est l'une des raisons.
A l'entente de cette voix familière, il enleva son casque dans un mouvement brusque. C'est comme si tous les souvenirs lui remontaient en tête et le voilà qu'il refait une crise. Il devint en quelques sortes schizophrènes le temps d'une bonne heure. Il tentât de se calmer comme il le pouvait mais en vain. C'est seulement au bout de quelques minutes qui semblât pour lui une éternité qu'il réussit à prendre sur lui. Il décida ensuite d'aller se couchait après ce qu'il venait d'entendre.
Quelques jours était passé, et durant ces quelques jours, Ki Hyun n'a pas détacher son regards de ces mystérieuses cassettes. Les questions fusaient dans sa tête. Des questions tel que " Comment sont-elles arrivé jusqu'à moi?, Qui sont les autres personnes sur ces cassettes?, Pourquoi s'est-il suicider?, Devrais-je les écouter?, Comment se sentait-il au moment ou tout à basculait?" Et encore pleins d'autres.
Pour se changer les idées et aussi parce qu'il le fallait bien, Ki Hyun retourna en cours quelques mois après cet événement. Il eut le droit comme accueille a des regards noirs, de pitié ou parfois même aucuns regards. L'atmosphère varier chaque secondes sa en devenait insupportable et d'un coter assez gênant. Il s'apprêtait à séché le réfectoire pour s'abriter à l'arrière du bâtiment afin d'être seul. C'est seulement quand il sentit une pression sur son bras qu'il se retourna pour savoir qui était cet oppresseur. Il n'eût aucunes surprises en voyant l'air désolé sur le visage fin et pâle de Hyngwon. Il n'eût pas la force de prononcer un quelconque mot qu'il retira son bras de l'emprise de celui-ci et partit sans lui adresser un seul regard. Il ne voulait pas de pitié de la part de qui que se soit et surtout pas de la part de celle de Hyungwon. C'est encore un peu plus loin dans les marches qu'il se fit une nouvelle fois arrêter par quelqu'un d'autre. "Génial ma première journée de cours et tout le monde commence déjà a me faire chier." Pensa-t-il.
"- Hey mec sa fait un bail !"
"- Comme tu le vois j'ai pas tellement envie de dialoguer."
"- Écoute c'est facile pour personne tu sait tout le monde l'aimais c'éta..."
"- Tu comprends les mots que je viens de prononcer à l'instant I.M? Lâche moi maintenant et tu pourras dire à tes toutous de pas venir me parlais au passage."
En un coup de vent il partit. Il allait faire quelque chose qu'il n'avait que rarement fait auparavant avec Jooheon. Il allait sécher. Certes ce n'est pas la meilleure chose à faire mais il s'en foutait royalement. Il ne voulait plus voir la tête de ces faux-culs. Parce qu'il ne savait en réalité rien sur eux. Ils pouvaient certainement jouer un rôle. Ils pouvaient sûrement y être pour quelques choses eux aussi. Il plongeât encore dans ces réflexions. Arriver chez lui, il prit son courage a deux mains et écouta la cassette numéro 1.