extrait-15

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-pardon ?
Avait-il dit comme s'il s'était adresser à une demeuré.

 PourQuoi n'avait t'elle pas prit ces jambes à son cou? Mais l'envie de le poussé à bout.. Avait été  plus forte. 

-vous ne m'avez pas compris ? avait elle répliquer  avec assurance 

-mais tais toi salle...

-laissez nous seule.

Avait Interrompue Gonzalo 

-mais patron...

-je m'en occupe Alexandra cette Chose aboie, mais ne mord pas..

-tu as compris ton patron ? Allez oust..Avait elle ironisé à l'encontre de la garde du corps.

Elles s'étaient à nouveau  mesuré  du regard..Alexandra avait une mine déformée par l'envie de la tué. .Alors que la sienne était sadique. 

Mais elle avait finit pas sortir en lui faisant un doigt d'honneur suivi de marco...Qui avait un sourire moqueur jusqu'aux oreilles apparemment la scène l'amusait.

Dès qu'ils furent dehors ,

Lentement, Gonzalo s'était levé de sa chaise et s'était approché d'elle. ..elle AVAIT reculé jusqu'à se coller contre le mur.

Sa respiration était saccadée. .alors que le sien était normal avec un air assassin dans le regard.

Elle avait détourner les yeux apeurer.

 il avait pencher sa tête vers elle dans l'intention de mumurer quelque chose dans son oreille Mais interprétant mal son geste. 

Elle voulut l'échapper, mais son geste fut si spontané qu'au lieu de l'éviter .. Le pire se produisit.

Leurs lèvres se rencontra à leurs grandes stupéfaction.

Réagissant en premier, il voulut la repoussée Mais ayant mal interprété son geste encore une fois.

Croyant qu'il voulait l'attirer à lui... elle se colla a lui.

Elle avait perdu le contrôle de ces gestes. c'était plus manuella, mais une autre personne s'était emparé de son corps. 

Son torse était bombé on n'avait pas besoin de deviner qu'il passait des heures a la salle de muscu ça se devinait sur les pectoraux qui se dessinaient sous sa chemise Et son odeur il sentait le mâle  mélangé a l'odeur de son après rasage  c'était divin.

Elle avait entrouvrit les lèvres et l'avait embrasser. 

ces lèvres étaient douces elle en n'avait jamais expérimenté pareil elle avait eu  le regard fermé et  il avait  brisé  le silence qui s'était installé brusquement avec ces mots :

-Nom de dieu ..Mais tu es pire que ta mère. 

Il l'avait devisager bizarrement, c'est alors qu'elle avait  réaliser  ce qui venait de se passer. 

Oh la honte,

En n'y repensant son estomac, se tordit de douleur, mais qu'est ce qui lui AVAIT prit bon sang...de se comporté de la sorte? C'était la première fois que cela l'arrivait  perdre ainsi tout ces sens et se jeter dans les bras de son ennemie.

Comme si cela ne suffisait pas, il avait ajouté.

-décidément, tu ne vaux pas pas mieux que ta mère ... Elle t'a façonnée à son image
Une esclave sexuelle.

Sa déclaration avait eue sur elle l'effet d'une douche froide.

Puis il avait ajouté.. Avant qu'elle n'ouvre la bouche 

-sauf qu'avec moi.. Les esclaves sexuels, c'est moi qui ne les domine pas le contraire.

Et avec une vitesse hallucinante 
Elle s'était retrouvée plaquée au mur..Ses jambes remontées sur son bassin collé au sien.

Elle avait avalé sa salive la gorge paralysée par la surprise quand elle réalisa soudainement que sa virilité s'était manifesté.

El presidente GarciaWo Geschichten leben. Entdecke jetzt