Imagine avec Michael

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La vie de tournée, c’est bien. Il faut s’entendre, c’est bien parce que ce n’est que temporaire. C’est bien parce qu’on sait qu’éventuellement, ce sera le retour chez soi, dans un lit confortable et stable. Le retour dans une maison qui ne bouge pas. Une maison qui ne doit pas faire des zigzags pour éviter les nids de poule, les trous d’hommes et les cinquante mille autres inconvénients de la route.

Bien sûr, la tournée a également ses avantages! Elle permet de voyager, de découvrir, de s’empiffrer de mets exotiques comme des porcs, de s’amuser et de passer du bon temps entre copains et avec ma chérie. Enfin, « passer du bon temps » est relatif quand c’est entre amoureux…

Avez-vous déjà essayé de faire l’amour dans un bus de tournée?Avez-vous déjà essayé de faire l’amour dans un bus de tournée, qu’il soit en mouvement ou qu’il soit arrêté? Avez-vous déjà essayé de faire l’amour dans un bus de tournée, qu’il fasse jour ou qu’il fasse nuit?Avez-vous déjà essayé de faire l’amour dans un bus de tournée, que ce soit dans l’un des lits ou sur le sofa? Si vous y arrivez, faîtes-le moi savoir. Apprenez-moi. Il n’y a pas moyen pour Judy et moi d’être seuls dans ce fichu bus!Le temps file, les soirs défilent, mais rien ne se passe. Rien ne se passe comme on le voudrait.

Dès que Luke s’en va, Calum arrive. Dès que Calum s’en va, Ashton entre. Dès qu’Ashton quitte, Luke revient. Quand ce ne sont pas eux, ce sont les membres de l’équipe qui cherchent quelqu’un – ce quelqu’un étant moi la plupart du temps. La vie est contre nous. Dieu, serait-ce trop te demander de me laisser UNE HEURE tranquille avec Judy?

Un gars a beau être patient, un gars a beau aimer son travail et ses meilleurs amis, il vient aussi un moment où un gars a besoin de passion et d’amour physique.

*

« Mike, qu’est-ce que tu fais?
– C’est une surprise, je te l’ai dit!
– Mais je t’ai dit que c’est une mauvaise surprise de me faire marcher les yeux bandés! Tu me connais, tu sais que je vais finir par tomber!
-Arrête de chialer, tout va bien aller. Je te tiens. »

Évidemment, je me sens tellement rassurée! Je déteste les surprises. Je n’aime pas ne pas savoir, être dans le doute, l’ignorance, le néant. J’aime quand tout est organisé, planifié, contrôlé. Plus que tout, j’aime pouvoir faire usage de mes yeux afin de regarder où je vais. On verra bien – oh mais non, je ne vois rien! Je ne vois rien et j’angoisse. Il vaudrait mieux pour lui que sa surprise en vaille vraiment la peine.

*

Elle est anxieuse, je le vois bien. Sa main tremble dans la mienne, elle avance à pas de tortue et elle se mord l’intérieur de la joue. Je sais que ma surprise va lui plaire.

*

« Judy, il y a 3 marches à monter.
– Et tu crois que je vais pouvoir y arriver alors que je vois rien?
– …
– …
– Bon, hé bien, puisqu’on est arrivé de toute façon… »

Je sens les doigts de Michael détacher le bandeau, et je sursaute presque lorsque mes yeux voient autre chose que du noir. Nous sommes à l’entrée du bus. Je ne sais pas comment réagir, je ne suis même pas certaine de comprendre ce qu’il fait.

« Allez, monte, me chuchote-t-il à l’oreille en me caressant les fesses. »

Son toucher est comme une décharge électrique qui me pousse à avancer. À la vitesse de l’éclair, je franchis les 3 marches. Derrière moi, j’entends les pieds de Michael qui touchent à peine le sol. J’entends toutefois la porte qui se ferme derrière lui, tout comme le petit « clic » de la serrure.

*

Elle ne sait pas ce qui est sur le point d’arriver, mais je le sais. Je le sais, et le simple fait d’y penser fait accélérer les battements de mon cœur. Je vois son regard dévier vers mon pantalon et vers la bosse qui est en train de s’y former, et je sais qu’elle vient de comprendre mon plan. Son corps se rapproche du mien : elle me saute dessus et enroule ses mains autour de mon cou. Ses jambes se nouent naturellement à ma taille, mes mains se posent au creux de ses reins. Nos bouches se trouvent. L’air nous manque, mais c’est si agréable que ça n’importe pas. Un pas devant l’autre, je nous emmène à l’arrière du bus. Je la dépose sur le divan avant de retirer mon tee-shirt ainsi que le sien. Mes doigts effleurent les courbes de son cou, de ses épaules, de sa poitrine, de ses hanches. Je sens son corps frissonner. Mes lèvres déposent de brefs baisers sur son corps alors que ses mains ébouriffent mes cheveux et les tirent. Lentement, je défais les boutons de son pantalon avant de le lui enlever, le lançant derrière moi. Son intimité est là, devant moi, un simple string m’en séparant. De mes dents, je le descends le long de ses cuisses.

*

Ma respiration se fait de plus en plus forte. De son nez, il chatouille ma peau, il chatouille mon ventre. Il sait quel effet il me fait, quelle emprise il a sur moi. Il en profite, il me fait languir. Après bien trop longtemps, sa langue va à la rencontre de mon intimité, et c’est comme une explosion de feux d’artifices. Mon dos se courbe, mon corps entier se voûte, et Michael doit maintenir mes jambes sur le divan. C’est bon. C’est trop bon, et ça m’avait manqué. C’est bon, ça m’avait manqué, mais j’en veux plus. J’ai besoin de plus. Mon corps en veut et en demande plus.

« Mike…, haletais-je, le souffle court. »

Je le vois sourire. Je le vois ensuite se battre avec sa ceinture. Il est assis sur mes jambes. Je m’assois à mon tour avant d’éloigner ses mains afin de m’en occuper. En deux secondes, je la lui enlève avant de l’enrouler autour de sa nuque pour l’attirer vers moi et l’embrasser. D’une seule main, je maintiens ses lèvres contre les miennes. De l’autre, je déboutonne son jean et glisse ma main dans son boxer. Sa langue fait un tour dans ma bouche.

*

J’ai failli m’étouffer avec notre salive lorsque j’ai senti ses doigts contre ma verge. Ils font des mouvements verticaux, et doivent aller toujours plus haut. C’est si agréable… Puis comme ça, d’un coup, tout s’arrête.

« On a assez joué. Vas-y.
– Mais j’ai pas encore mis…
– Je prends la pilule et je m’en fous, me coupe-t-elle. Je te veux. Maintenant. »

Ce que madame demande, madame reçoit. Sans plus de chichi, j’écarte ses jambes et insère mon membre dans sa fente. Son corps se courbe à nouveau sous le plaisir alors que ses dents mordent ses lèvres pour se retenir de crier. Malgré tout, ce n’est pas assez pour contenir les sensations qu’elle éprouve, et de petits soupirs se font entendre. Tantôt lents, tantôt rapides, tantôt doux, tantôt puissants et brusques, j’alterne mes coups de hanches. Ça la rend folle à chaque fois.

*

Je ne sais plus si c’est parce que nous nous sommes abstenus pendant si longtemps, mais il me semble que tout est meilleur cette fois. Chaque sensation est multipliée par dix, par cent, par mille. Tout est plus fort, plus intense, plus vibrant.

« Oh Mike, oh Mike, oh Mike…
– Je sais, moi aussi, chuchote-t-il de sa voix suave. »

Ses coups de hanches se font encore plus intenses. J’explose de plaisir lorsque je le sens, lorsque je sens son sperme couler en moi. J’ai chaud, mon corps est épuisé et en sueur. Je sais que je devrais bouger. Je sais que je dois aller aux toilettes après avoir fait l’amour. Je sais déjà tout ça. Mais d’être simplement là, couchée avec Mike, son corps nu contre le mien… ne me donne pas envie de faire quoi que ce soit d’autre. Je refuse d’interrompre ce moment de plénitude, notre nirvana que l’on attend depuis des semaines, voire des mois.

« Alors, ma surprise?
– Tu devrais me surprendre comme ça plus souvent.
– Si on le fait trop souvent, ça sera pas aussi magique que cette fois-ci.
– Arrête, c’est toujours magique quand c’est avec toi. »

Hey ! Comment ça va ? Alors j'ai poster ce petit imagine avec Mikey car c'est une de mes meilleures amies qui l'a fait et qui m'as demander de le poster pour elle. Donnez moi vos avis bisous 😘

Mathilde xx 💝💝

Imagines Et Préférences avec 5 Seconds Of SummerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant