Quelques dossiers sous le bras, j'entrais une fois de plus dans ce café. Ce café n'ayant l'air de rien parmis les hauts édifices du cartier des affaires.
Je pris le temps de m'installer, quelques tables plus près des fenêtres, afin de profiter du soleil sur mes épaules dégagées. Le printemps se montrait rapidement cette année. Le type de journée parfaite pour avancer les textes dont j'avais mis temps de mal à débuter. L'inspiration aurait pu y être de plein fouet. Cependant, la charge de travail à exécuter devenait importante.
Café, deux laits.
Merci.
Je déposa qu'un seul dossier devant moi, me disant que cela aiderait à la productivité d'en voir un seul à la fois devant moi. D'un autre point de vue, je me donnais l'idée de la liberté de pouvoir quitter après un ou deux sans porter attention aux tâches non-exécutées.
J'ouvris la chemise. L'impression que les études y siégeant n'étaient plus écrites en français me pris soudainement.
