Âme soeur

Chapitre 1

La vie de Maya n'a jamais été très facile, ni pour elle ni pour ses parents, comme on dit les crises d'adolescence. Mais elle avait quelque chose de différents des autres ados et des autres enfants. Elle croyait depuis toute petite qu'elle était la moitié de quelqu'un et qu'un jour, ils seront amenés à se rencontrer. Elle croyait dure comme fer à cette légende qui avait changer la vision de sa vie.

Elle devait avoir 6 ans à cette époque. Ses parents étaient de sortes d'historiens. Sa mère était professeur de langue ancienne, le grec, et le latin. Quant à son père, il était archéologue. Ce mot vient du grec "archès" qui veut dire commencement, ancien. C'était son monde à elle, elle ne voulait changer quoi que ce soit. Chaque soir elle avait droit, soit à un conte de fée soit à un mythe.

A chaque fois qu'elle se réveillait, elle avait hâte que la nuit tombe, elle voulait se retrouver dans son lit et entendre les magnifiques histoires que lui contait sa mère. Ces histoires étaient pour elle, des épanouissements, des raisons d'oublier ses soucis, ses problèmes. Maya était une jeune fille Autiste, au début elle avait beaucoup de mal à s'intégrer dans sa classe.

Son premier jour d'école fut un cauchemars. Elle haïssait l'école alors, nonobstant elle avait appris à aimer s'y rendre. Ses parents lui avait dit d'être naturelle, qu'elle était gentille, il n'y avait pas de raison qui pousseraient les autres à ne point l'aimer. Elle y croyait de tout son cœur. Seulement, elle était timide et tout ce qui lui arrivait de dire était incompris par ses camarades. Ce jour là, elle s'était âppretée comme tous les matins, la seule différence venait du fait qu'elle devait aller à l'école. Elle était contente, mais arrivée en classe, les nouveaux visages l'avait effrayé. Elle ne voulait pas rester. Elle hurlait de ces cris super aiguë que personnes ne pouvait s'entendre. Les autres enfants avaient également pris peur et la plupart se sont mis à crier comme elle.

Elle se tue de surprise et elle compris qu'ils étaient aussi effrayés.

Par contre, la maîtresse pour calmer les autres enfants avait commencé à parler de sa maladie.

- Calmez-vous, je vous présente votre camarade, elle s'appelle Maya Carl. Elle est autiste, c'est une maladie qui touche certains enfants.

Maya était resté perplexe, c'est parents avait longtemps dit que pour eux elle était normal, elle n'avait pas compris la nuance entre les deux. Pour elle être normal aux yeux de ses parents la rendait normal.

- Vous vous trompez maîtresse, je suis une fille normale comme vous tous et je ne suis pas malade. Maman m'a toujours dit que tous les hommes étaient semblables.

- Ta mère s'est alors trompé !

- Non non maman ne se trompe pas, je suis bien normal. La seule différence, j'ai une capacité de réflexion plus développée que les autres.

- Oui donc tu vois que tu n'es pas normal ? Et en plus cette capacité, tu le tiens que parce que tu es une erreur de la nature. Une enfant mal formée.

Pourquoi Bernadette était si méchante avec elle. La petite ne comprenait pas, elle était resté sur le choc ! Donc ses parents lui avait mentis ? Ils auraient préféré une fille comme les autres. Elle s'était engloutie dans plusieurs sortes de réflexion. Mais comme elle était très fragile du cœur toute ces nouveautés lui ont fait faire une crise de stress. Elle venait de s'évanouir sous les yeux de la tous. Elle était très mal, c'était la première qu'elle faisait une crise de cette ampleur.

La maîtresse venait de se rendre compte qu'elle venait de faire une grosse bêtise. Son égoïste allait provoquer une catastrophe. Mais on pouvait envisager de lui pardonner.

Plus jeune, elle avait accouché d'un garçon trisomie 21, s'était pour elle toute sa vie. Elle l'aimait malgré tout. Mais il n'était pas aimé de ses amis et se faisait harceler. Et un jour un gamin l'avait poussé, malheureusement, une voiture passait par là. Et le gamin est mort.

Sa mort a été chose horrible pour elle, elle en voulait à tout le monde et elle ne pouvait plus supporter son travail, voir des enfants éveillait en elle, la souffrance, d'avoir perdu son enfant et la haine contre ces même enfants qui avaient fait son bonheur depuis tant d'années. Elle avait passé deux ans sans exercé son métier. Mais elle allait mieux. Elle arrivait de nouveau à prendre plaisir dans cette école.

Par contre quand elle avait entendu parler de Maya, sa haine était revenu parce que son handicap lui rappelait énormément son petit garçon.

Elle avait pété son câble.

Maintenant elle s'en voulait énormément, et se rendu compte qu'elle venait de faire presque pareil que les enfants qui avaient tué son fils. La journée fut éprouvante pour tous, les parents, les enseignant et les élèves. Maya ne voulait plus entendre parler d'école ni rien qui se rapportait à cela. Elle avait passé toute la moitié de la journée dans le lit d'un hôpital.

Sa mère était souffrante, elle pleurait. Son père l'a consoler en lui disant que ce n'était pas grave mais le médecin insistait pour savoir qu'est ce qui l'avait mis dans un tel état. Elle raconta sa petite aventure d'une voix triste et enrouée. Elle voulait que ça s'arrête, elle ne voulait pas, et en aucune façon devoir se souvenir de cette journée. C'était la pire journée qu'elle n'avait jamais passé.

Et coupant la parole à sa mère elle pose enfin la question qui la turlupine depuis tout à l'heure.

- Maman! Papa! Vous ne regrettez pas trop de ne pas avoir eu un enfant comme la plupart. Es ce que vous n'aimez tout de même. Je ne veux pas rester seule. Je vous aime et si Ouranos, enceinta Gaïa, c'est bien pour avoir kronos.

- Ma chérie, ton père et moi nous t'aimons beaucoup beaucoup beaucoup. Et nous sommes fière d'avoir une fille aussi merveilleuse que toi. Tu verras, tu te feras pleins d'amis et un jour tu rencontreras quelqu'un comme dans le mythe des âmes soeurs.

- Quelle mythe?

- Je te raconterai une fois à la maison.

Cette histoire est un mixte entre plusieurs styles d'écritures, moi personnellement j'adore les mythes. J'espère que c'est le cas pour vous.

Bonne lecture et j'espère que cela vous plaira.