SPÉCIAL 150K: analysons une de mes anciennes histoires

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Les amis, l'heure est grave.

Enfin, pour moi.

Ah, les clichés, vient d'atteindre les 150K de vues (MERCI MERCI MERCI MERCI), et j'ai donc décidé, pour vous remercier, de faire quelque chose d'un peu différent...

En effet, pour cette analyse numéro 27, je vais me ridiculiser, me taper la honte, et me moquer de moi-même.

L'auto-dérision, c'est la base.

Mes très chers lecteurs, aujourd'hui, nous allons analyser une de mes anciennes histoires.

(On n'a pas encore commencé et j'ai déjà honte).

Bref, cette introduction était beaucoup trop sérieuse à mon goût.
Laissez-moi mieux vous expliquer.

J'écris beaucoup, et depuis toute petite. J'ai récemment retrouvé une de mes histoires, et... je ne savais pas si je devais en rire ou en pleurer.

Donc, comme je n'arrête pas de critiquer les autres histoires dans ce livre, je me suis dit qu'il fallait que je me auto-analyse.

Quelques petites précisions avant de commencer ce carnage:
-Cette analyse va être longue,
-Le texte est l'original, je n'ai rien changé, et je n'ai pas corrigé les fautes d'orthographes (Aïe aïe aïe),
-Vous avez le droit de vous moquer, mais allez-y molo quand même,
-Le texte est en Italique, mes commentaires en écriture normale,
-L'héroïne a vraiment un nom de merde (je vous en avais déjà parlé) et elle est insupportable,
-J'ai écrit ce texte quand j'étais assez jeune, et donc j'ai évolué entre-temps hein,
-J'ai honte.

C'est parti *déglutit*

CHAPITRE 1:

- On va faire du shopping cet aprem' ? Me demanda ma cousine Lucy en dégageant ses cheveux mi-longs blond de son visage.

Pour ceux qui lisent mon histoire Distinct, voici la première apparition de Lucy dans mes histoires.

- Non, j'ai pas envie. Lui repondis-je, affalé sur mon lit.

- Une promenade près de la mer alors? Proposa t-elle encore, me fixant de ses grand yeux bleu parfaitement maquillés.

- J'ai envie de rien faire, Lucy, lui informai-je en soufflant sur une mèche de mes long cheveux ondulés bruns qui tombait sur mon visage. 'mais tu peux y aller sans moi, t'inquiète pas.

Les fautes d'orthographes me font mal aux yeux. Et puis c'est lourd quand tu mets une phrase après chaque dialogue (genre "proposa-t-elle patati patata").
Et déjà, l'héroïne à l'air chiante.

Génial.

Elle souffla silencieusement et s'assit à côté de moi, le visage inquiet.

- November, dit –elle calmement. 'tu sais très bien pourquoi on est ici.

OUI, JE SAIS, C'EST UN NOM POURRI.
Mais j'étais jeune et conne, pardonnez-moi.
Allez-y, moquez-vous de moi. Vous avez le droit, je l'aurais fait aussi à votre place.

Bien sûr que je le savais. Je ne passais pas une minute de la journée sans y penser.

- Tes parents veulent que tu t'amuses et que tu oublies un peu...elle s'arrêta, cherchant ses mots. '... tu sais de quoi je parle. Écoute, on est dans un super camping, près de la plage, privée en plus, un bungalow rien que pour nous – même si tes parents en on un pas loin- pendant 1 mois, il fait super chaud, il y a une piscine, plein de mec trop beaux et un centre commercial pas loin. Alors lève toi de ce lit et amusons nous!

Ah, les clichésOù les histoires vivent. Découvrez maintenant