Un passé surgie

Chapitre 9.

Maman était tellement ému et abasourdie lorsqu'elle m'a vue. Ses larmes coulaient à flots, je l'avais serrer fort dans mes bras, elle ne voulait plus me lâcher.

- " Oh mon dieu, mon bébé, mon fils chéri... c'est un miracle de la vie... "

Ma mère, depuis toujours, c'est la personne que j'aime le plus au monde. Bien sur Kurt aussi, je l'aime énormément, c'est l'amour de ma vie, il me comble de bonheur chaque jours, mais l'amour d'une mère c'est le tout premier que l'on reçoit.

Elle s'est excusée mille et une fois de m'avoir choisit un père pareil. Mais bon, ce n'est pas de sa faute, elle le sait très bien, il n'était pas comme ça quand elle l'a renconter.

Une fois lui avoir expliqué tout mon périple avant d'être revenu ici, en lui épargnant bien sur, toutes les souffrances que j'ai subit, c'était mieux pour elle qu'elle ne le sache pas. J'ai alors insisté en lui disant que c'était grâce à Kurt si j'était la. On s'est tenue la main et on s'est embrassé, devant ma mère, si heureuse, elle à toujours été notre fan numéro 1.

Kurt est rentré chez lui et m'a laisser le temps de ranger toutes mes affaires , me rehabitué à ma maison, à ce qui est pour moi, une vie normale. Vers 15h, alors que je fut dans ma chambre, très ému, à regarder mes albums photos, celui dédié à l'époque ou j'etudiai à la Dalton Academy, celui de Mckiley, puis, je suis tomber sur ce vieux cd, avec inscrit " To my porcelaine & Blaine. Klaine. " signé Sue Sylvester. Je l'ai inséré dans mon ordinateur, qui était rester tel quel, sur mon bureau. J'ai alors redécouvert cette vidéo, qui retracait mes plus beau moments passé avec Kurt, de notre première rencontre à ce fabuleux mariage ... ce moment on nous nous sommes échangés nos alliances, ce moment où nous nous sommes dit "oui " devant tous nos proches réunis...
Je pense que c'est à cet instant précis qu'il on vraiment découvert l'étendu de l'amour que l'on se portait l'un pour l'autre.

Ensuite, dans ma pandrie, j'avait retrouvé ma très longue collection de bowties ( des noeuds papillons ), c'est vrai, j'adorai en porté, je m'en souvient, Kurt trouvait ça sexy, et il avait beaucoup de plaisir à me les retirer d'une manière très sauvage, ce que j'adorai par dessus tout, lorsque l'on faisait l'amour.

Quelques minutes plus tard, j'ai du descendre dans le salon, ma mère voulait absolument que je descende. Elle m'a montrer le piano, mon piano. Ma seule véritable passion, avec le chant. Des partitions y était encore installés, elles sont restés tel quel, depuis la dernière fois ou j'ai posé mes doigts sur ces touches. C'était celles de " Teenage Dream ". Je me suis installé, je n'était pas certains que mon timbre de voix aurait le même effet, ca fait beaucoup de temps que je n'ai pas chanté. Quand mes premières notes fut sortit, je me suis sentit revivre, j'ai terriblement pensé à Kurt en chantant, c'est notre chanson, c'est notre histoire. Teenage Dream parle d'un amour d'adolescence, une rencontre au mois de février. Nous nous sommes rencontré au mois de février, et nous étions si jeune.

Comment oublié ces notes, ces paroles... elles resteront en ma mémoire à vie.

Quand j'eu terminer de chanter, j'entendais des applaudissements, puis quelqu'un vint se coller à mon dos en me serrant avec ses bras, Kurt était entrer pendant que je chantais. " C'était très beau monsieur Anderson. " -m'a t-il chuchoter à l'oreille, après m'avoir embrassé ma joue.

Après ça, nous nous sommes diriger vers la maison de Kurt qui se trouve à une petite dixaine de minutes de chez moi. Nous marchions main dans la main, mais je n'était pas totalement rassuré, j'avais vraiment l'impression d'être suivi. À plusieurs reprises je me suis retourné et j'ai regarder autour de moi, j'eu vu qu'une seule fois quelqu'un de dos, marcher en contre sens, la capuche sur la tête.

Merde, et voila que j'oublie mon portable maintenant ! " J'ai oublié mon téléphone, va y toujours je te rejoint mon coeur, ok ? " - ai je dit à Kurt.

Il m'a fait signe de la tête et m'a déposé un jolie baiser. J'ai alors rebrousser chemin, lorsque, quelques mètres plus tard, je me suis fait barrer la route par cet homme. C'est lui, celui qui portait une capuche, c'est lui qui nous suivait ! J'ai commencer à m'emporter, et à m'énerver sur lui puis il m'a pris par le col et m'a brusquement plaqué contre une haie, c'était un endroit hors de tout les regards.

- " Chuuut " - m'a t-il lancé.
- " M ... mais qui vous êtes? " - je lui est répondu effrayé.
- " Ça fait très longtemps que l'ont ne sais pas vu ... "

Lorsqu'il à retirer sa capuche et relevé la tête, je reconnu ce visage, neutre, mis quelque chose avait changé ... il avait une cicatrice très impressionnante sur l'oeil gauche, un côté de la bouche paralisé. Je fut rester bouche bée devant cette tel atrocité.

- " Promet moi de ne pas t'enfuire en courant. "

- " Coop... Cooper ? C... c'est toi ? "

- " Oui oui. C'est bien moi. T'a vu, j'ai pris un sacré coup hein. "

- " Mais, mais tu ... tu m'a suivi, mais comment tu savais que j... "

- " J'ai des choses à voir avec toi mon petit ... "

Sa voix ricanante et très étrange me laissa sans voix, j'était à cet instant consterné.

C'était quand même troublants... je viens à peine de revenir dans ma ville natale, que, déjà quelque chose d'inquiétant se passe...

Après ce que je venais d'entendre, désolé du terme, mais quand quelqu'un vous balance ça à la gueule, moralement, ça fait très mal.