En quelques secondes mon bandeaux fus baissée d'une traite. Je clignais instantanément des yeux parce que je voyais flou.

Maintenant que m'a vu est nette. Je regarde autour et qui je vois ? Mes parents et Aluna à côté de moi attachée eux aussi.

— Papa ! Maman ! Aluna ! m'exclamais-je.

Alia — Ma puce, tu vas bien ? s'exclame t'elle les larmes au yeux.

— Oui, oui, et Camélia ? dis-je inquiète.

Emilio — Normalement elle doit être chez votre grand-mère, ne t'inquiète pas pour elle.

Aluna — Et vous dites ça comme sa ! ON VAS PEUT-ÊTRE MOURIR ET VOUS PARLEZ COMME SA ! dit-elle en foudroyant mon père du regard, SI NOUS SOMMES LA C'EST DE VOTRE FAUTE À TOUT LES DEUX ! rajoute t'elle.

— Comment ça c'est de leur faute ! m'exclamais-je.

? — Bon vous aviez finis vos retrouvailles familiales ? dit l'homme bling bling que j'avais aperçu juste avant.

J'avais même pas remarqué ça présence.

Alia — Laissez nous partir s'il vous plaît, supplia m'a mère en pleurant.

? — Mais non Alia, nous sommes réuni en famille juste avant le mariage, pourquoi nous séparer maintenant, dit-il avec sarcasme.

— LE MARIAGE ? m'exclamais-je.

? — Demande ça à ton gentil Papa, en émettant un petit rire, hein Emilio révèle à ta petite princesse quel genre de père tu es vraiment.

Je tourna mon regard vers ma mère tout d'abord, qui elle avais directement fuis mon regard. Je regarda alors mon père qui lui baissa les yeux.

— Papa ? De quoi il parle ? demandais-je la gorge nouée.

Je m'efforçais de croire que ce n'était pas ce que je pensais, que jamais mes parents m'auront fais un truc pareil, enfin je croyais.

— Papa, réponds moi.

Il relève tous doucement la tête et me regarde dans les yeux. Il avait les yeux rouges, rempli de pardon.

— Cette homme que tu vois devant toi, commença t-il, il s'appelle Ilan et, il marqua une pose.

Alia — Tu vas devoir te marier avec lui, le coupa t-elle, je te promet que moi je n'étais pas d'accord ma puce, me dit-elle, tous ça c'est à cause de ton père ! Emilio c'est plus le moment de faire ton air de chien battu ! Si tu ne te serais pas fourré dans les affaires de cette homme, nous en saurons pas la ! s'adressant à mon père.

Je ne disais plus rien. J'étais complètement ailleurs. Perdu, oui je suis perdu. Je n'arrive pas à y croire. Ça peux pas être vrai, non mon père ne ferais jamais ça il m'aime beaucoup trop pour ça, je suis ça fille, il me ferais jamais ça, non j'y crois pas.

— C'est faux, dis moi que c'est faux Papa, c'est faux n'est ce pas ?

Emilio — Malheureusement, c'est bien vrai Amelia.

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