Chapitre 23

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Elle se réveilla sur son torse, quand elle remua sa joue contre sa peau. Il fit gonfler son torse. Elle releva la tête, posa son menton sur son torse et il lui offrit un magnifique sourire.

- Bonjour Rosie.

Elle écarta ses jambes et se redressa pour se mettre assise sur lui. Son cœur palpitait, elle n'avait jamais ressentis une telle sensation. Faire l'amour ? Elle avait trouvé ça peu agréable la première fois. Mais son avis venait de changer en comprenant qu'elle n'avait pas eu le bon partenaire.

- Comment j'étais ? Demanda Rosie intimidé.

- Parfaite ! Je t'interdis d'en douter.

Il avait pris ses mains pour les porter à ses lèvres.

- C'est la deuxième fois que je fais l'amour. Confia-t-elle en se pinçant la lèvre.

Il semblait surprise et leva un sourcil. 

- Ne me regarde pas avec cet air !

- Bien sûr que si, je suis surpris et c'est une bonne surprise.

Il la ramena vers lui en tirant sur ses mains.

Elle se blottie dans ses bras.

- Tu es décidemment différente des autre Rosie Horth. Murmura-t-il contre ses cheveux.

Elle poussa un soupire en laissa ses doigts courir sur son épaule. Ils étaient restés l'un contre l'autre pendant un long moment avant qu'il ne l'achève

- Il va falloir que l'on se lève Rosie.

Elle se plaignit en se redressant.

- Pourquoi ?

- J'ai du travail, juste un petit peu, ensuite je t'emmènerai en balade le long de la côte.

Cette nouvelle surprise la fit sourire.

Mais quand il se glissa contre son corps pour le lever, elle se sentit bien seule. Elle ramena les draps contre son corps alors qu'il s'était levé complètement nu.

- Tu as sans doute faim ? Demanda-t-il. Salvatore l'observa s'empourprer joliment, elle regardait son sexe un doigt à la bouche et cligna des yeux pour lui revenir.

- Hein ?

Il s'avança et se pencha.

- Je disais tu dois avoir faim ?

- Affreusement faim. Affirma-t-elle une étincelle dans les yeux.

Il écarta le drap qui enfermait sa nudité, son travail pouvait largement attendre.

Il revint vers elle, rampant sur le lit les yeux plissés.

- Qu'est-ce que tu fais ?

- D'après toi Ragazza !

- Hein ? Dit-elle en gloussant.

Il retira entièrement le drap et embrassa son cou.

- Jai dit d'après toi jeune fille.

Elle tomba sur le lit, Salvatore prit un infime plaisir à dévorer son cou.

- Tu as dit que tu avais du travail. Souffla-t-elle en glissant ses mains dans ses cheveux.

- C'est moi le patron c'est moi qui décide.

Il caressa l'intérieur de sa cuisse et comme si leur deux corps parlaient pour eux, il sentit des vibrations émettre de son corps pour traverser le siens.

Ils firent l'amour encore une fois, Rosie dut se lever du lit pour qu'il en sorte à son tour, quand elle s'enferma dans la salle de bains, elle posa sa main contre son cœur et se dernier battait à mille à l'heure.

Était-ce possible de ressentir autant de sentiments en aussi peu de temps ?

Elle se posa une main sur le front en inspirant profondément.

Il fallait absolument qu'elle réprime ses sentiments au risque de s'y perdre. Elle secoua de la tête en fermant les yeux.

- Rosie ?

Elle sursauta, retirant son dos qui était collé à la porte.

- Oui ?

Il tenta de l'ouvrir.

- Millie ta préparé ton petit déjeuner tu veux que je te le monte ?

- Qui est Millie ?

- Elle travaille pour moi quand je viens ici, il faut que tu l'as rencontre Rosie, elle est merveilleuse.

Elle posa son front contre la porte.

- Je me prépare et j'arrive.

- Très bien dépêche toi, je n'aime pas quand tu t'enfermes.

Il était partit, elle se redressa en prenant une grande bouffée d'air. Elle laissa ses yeux vagabonder dans la salle de bains, il y avait tant de lumière, elle se glissa dans la douche et laissa couler l'eau sur sa peau, elle avait l'impression que l'odeur de l'homme, disparaissait. Comme si leur nuit n'était plus qu'un souvenir

L'eau cessa de couler, quand elle releva les yeux, il était là en face d'elle, impassible.

- Je t'entends Rosie.

- Je n'ai pas le droit de prendre une douche ?

-Si, mais tu n'as pas le droit de faire la tête de quelqu'un qui semble avoir du regret. Gronda-t-il en saisissant une serviette.

Il la fit sortir de la douche et l'enveloppa sans ménagement.

- Tu regrettes ? Lâcha-t-il d'un ton mordant.

- Non ! Je ne regrette pas arrête !

- Alors pourquoi tu fais cette tête ?

Elle tenta de se dégager mais il la tenait si fermement qu'elle cessa de se battre.

- Je pensais à mon père !

Les yeux noirs il posa sa bouche contre son front.

- Alors descend, il attend sûrement que tu l'appelles. Ordonna-t-il sombrement.

Elle le regarda partir en serrant la serviette autour de son corps.

Éprise d'un MilliardaireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant