Éprise d'un Milliardaire

Chapitre 22

Il s'avança lentement, alors que son torse se gonflait à chaque respiration.

- Premièrement, c'est toi qui a cherché et deuxièmement... tu n'as pas le droit de me faire ça.

Elle serra son peignoir contre elle pour ne lui laisser aucune chance de reposer ses yeux sur son corps à moitié nu.

- Bien sûr que j'ai le droit autant que toi tu t'es donné le droit de me laisser plantée au milieu du couloir.

Au moment où il fit un pas vers elle. Rosie mit sa main devant lui.

- Défense d'avancer monsieur Cortezy !

- Je regrette mais c'est impossible, pas après avoir vu ton corps ainsi mit en valeur, je suis littéralement au bord de l'implosion.

Rosie leva un sourcil, s'amusant de la situation.

- Donc.... j'ai gagné ?

Il écarta ses bras et se mit à genoux devant elle.

- Je suis à toi Rosie Horth tu as gagné. Tu viens de tuer mon orgueil !

Rosie ne sentait plus son sang affluer dans ses veines.

Elle sourit et s'avança lentement pour faire durer encore le suspens, et enfin se mit devant lui alors qu'il était à genoux les yeux dans les siens.

Elle retira son peignoir et le laissa tomber sur le sol.

De là, l'homme baissa les yeux en expirant comme un fauve prêt à sauter sur sa proie.

Il toucha du bout de ses doigts ses cuisses, d'une pression, il la ramena plus près. Il caressa ses hanches, puis ses fesses.

- Ta peau est douce. S'exclama-t-il d'une voix rauque..

Elle ferma les yeux quand il déposa un baiser contre sa cuisse, toujours agenouillé.

Elle glissa sa main dans ses cheveux avant qu'il ne se relève en récupérant toute sa hauteur.

Il posa ses mains sur son visage pour l'embrasser avec ardeur, il la retourna pour la coller contre son dos.

Sa main se posa contre son ventre, elle ferma les yeux et se sentit soulever dans les airs. Il traversa le couloir pour parvenir à sa chambre et la posa sur le lit. Rosie, captive de son regard, dut avaler sa salive pour rendre humide sa gorge tandis qu'il s'était mit sur elle, contemplant son corps sans un mot. La dentelle fut écartée laissant apparaître sa nudité, sans toucher ses seins, comme s'il voulait qu'elle soit entièrement nue, il retira de la plus lente dans manière ses bas. Rosie ouvrit la bouche quand il ôta le reste tu body en le faisant glisser le long de ses jambes. Enfin, il embrassa son ventre et remonta sans cacher son impatience.

Son érection se dévoila la laissa incapable de bouger. Elle n'eut pas le temps de prononcer un son qu'il écrasa sa bouche contre la sienne, en caressant son corps tout entier en remontant contre ses seins. Brûlante de la tête aux pieds, elle se cambra contre son corps quand posa sa main sur son intimité, elle laissa un gémissement traverser ses lèvres et il plongea en elle, avec douceur et envie. Elle ferma les yeux, savourant cette sensation exquise, il bougea si lentement qu'elle eut envie de lui crier d'aller plus vite.

Salvatore savourait chaque centimètre parcouru dans l'intimité de la jeune femme, son corps en tremblait, il ferma les poings contre le matelas tout en la regardant émettre des sons savoureux. Il bougea en elle lentement pour ne pas faire exploser le plaisir toute suite, car des milliers de sensations prenaient son corps. Il ferma les yeux et jeta sa tête en arrière quand elle noua ses jambes autour de ses hanches. Il revint à ses lèvres pour savourer le goût sucré de ses lèvres. Rosie ouvrit les yeux pour voir un désir brute dans les yeux de son compagnon.

Enivrée par le plaisir, elle sentit la fin arriver et il le comprit, si bien qu'il accéléra la cadence en serrant son corps contre le siens. Il s'étendit sur son corps agrippant ses fesses de la plus sensuel des façons, Rosie était dans un état second, elle en perdit la voix, sa jouissance resta bloquer dans sa gorge alors que Salvatore Cortezy avait prit plaisir à le faire éclater au creux de son oreille.

Elle glissa ses mains dans son dos, les yeux fermés alors qu'il tremblait entièrement.

Elle déplia ses jambes, les orteils crispés et les laissa glisser sur les draps froissés.